La Mère
Toute chose doit être en équilibre, tous ceux qui bâtissent des Églises le savent bien. Certains inventent même des choses pour y arriver. Il faut un équilibre… Pas nécessairement entre le masculine et le féminin. Je vais vous le dire. Il faut que ce soit la Mère. Il faut qu’il y ait de la Mère. Ce qui nourrit. Pensez un instant à la mère. L’amour d’une mère…. Vous ici, qui avez un petit enfant, oh mes très chers, est-ce que vous n’aimez pas ce petit bout de chou ? Est-ce que vous ne feriez pas tout pour lui ? Il vous regarde dans les yeux à partir de votre propre biologie. Forte et féminine, voilà la Mère. Il faut qu’elle soit là, et il y a longtemps qu’elle n’était plus là, n’est-ce pas ? C’est la Mère.
Même l’Église s’en rend compte. Regardez l’une des plus grandes Églises de la Terre. C’est ce que nous allons faire tout de suite parce que ça concerne quelque chose que vous n’avez jamais entendu jusqu’à aujourd’hui. Les prêtres catholiques ont décidé que ce qu’il fallait, c’était le célibat. Il n’y a rien de mal là-dedans car cela a été fait dans l’esprit d’honorer la relation à Dieu en évitant les distractions. Vous allez peut-être dire : « Mais où est l’équilibre ? » et moi je vais vous dire qu’il est dans la religion, c’est Marie. Ils lui vouent un culte. Il ne s’agit pas seulement du vicaire du Christ, du pape, du Christ, mais de Marie. Dieu-Mère.
Le pape Jean-Paul II aimait Marie à tel point qu’un de ses vœux les plus chers – je vais vous le dire, je vais vous le révéler – ne pouvait pas être réalisé à cette époque. Il le savait et il en était peiné. Il aurait voulu voir des femmes prêtres. Mais ceux qui étaient autour de lui, dont le pape actuel, disaient : « Vous ne pouvez pas faire ça, parce que ça rompt avec toute l’histoire de ce que nous avons fait ». Le pape Jean-Paul II était un peu plus que ce que vous imaginiez. Il était un Lémurien. Vous savez ce qu’il voulait ? La paix sur Terre. La paix sur Terre. Voilà la couche numéro 11.
Kreyon, canalisé par Lee Carroll
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