Au sud de la frontière américaine
Depuis la parution de l’ouvrage précédent, l’équipe Kryeon s’est rendue au Mexique et en Argentine. Ces deux voyages m’ont permis d’acquérir de précieuses connaissances et de vivre d’intéressantes expériences. Comme j’ai toujours vécu à San Diego, dont près du cinquième de la population est hispanophone, je connais bien la langue et la culture espagnoles.
Je raffole de la cuisine mexicaine et j’aime vraiment ces gens-là ! À San Diego, j’ai toujours eu des contacts positifs avec les Mexicains et j’ai pu observer de près leurs coutumes familiales ainsi que leur grande sociabilité. J’étais bien préparé pour ces deux voyages, mais surtout pour celui au Mexique. Je désire vous rapporter ici une expérience personnelle qui a eu pour moi une grande signification et que j’ai vécue grâce à deux professionnels mexicains, un médecin et un ingénieur. Cette expérience tout à fait inattendue m’a conduit encore une fois aux frontières du connu et aux limites de la compréhension.
Le docteur Luis Oscoy a créé un superbe spa, le Hostal de la Luz (« Auberge de la Lumière »), à Amatlan de Quetzalcoatl, un village situé au sud de Mexico. Non seulement ce lieu est-il hautement énergétique, mais, pendant notre séjour, il fut béni par un représentant du dalaï-lama venu le consacrer comme la première zone de paix du Mexique. Le Hostal de la Luz avait rempli toutes les conditions établies par le dalaï-lama pour recevoir une telle bénédiction, y compris la construction d’un ashram et d’un labyrinthe. Mon site [www.kryon.com/mexico] contient plusieurs photos de ce spa et de la cérémonie qui s’y déroula en 2006.
Le docteur Luis (je l’appelle ainsi) me présenta à Jorge Alberto Báez Guerrero, un ingénieur profondément engagé dans l’interprétation de la recherche sur les calendriers aztèque et maya. « Profondément engagé », c’est peu dire… C’est là sa passion et il désirait me faire partager d’étonnantes découvertes. Grâce à son vaste savoir personnel et à sa pénétrante intuition, Jorge s’était rendu compte de quelque chose qui avait échappé à la plupart. Même si les écritures aztèques et autres ont survécu durant des siècles dans des codex et sur les murs des anciens sites, et que nous possédons ainsi une grande quantité d’informations sur les Aztèques et les Mayas, Jorge a découvert par une autre voie quelque chose que nous devrions tous comprendre. J’aimerais bien pouvoir vous dire tout simplement de lire son livre, Energia Vital en Movimiento (« L’énergie vitale en mouvement »), mais, au moment où j’écris ces lignes, il n’a encore été publié qu’en espagnol. Le titre de la première édition est trompeur, car il semble très intellectuel, mais une deuxième édition a maintenant été publiée, sous le titre de Vital Energy in Movement (The Secret of 2012). C’est plus proche ! Je veux rendre hommage ici à Jorge et au docteur Luis, car ils sont tous deux concernés, le second étant un fervent admirateur du travail du premier, d’où l’invitation qu’il m’avait lancée pour participer à cette expérience. Je les en remercie tous les deux.
Jorge oeuvre à contre-courant des érudits mexicains traditionnels, qui suivent la « ligne du parti » en matière d’information. Quand je l’ai appris, j’ai trouvé cela bien étrange, car j’avais toujours cru que les archéologues, à l’instar des scientifiques, étaient enthousiasmés par de nouvelles découvertes et curieux de tout savoir. Comme je me trompais ! Il m’arrive souvent d’oublier le sort que la politique réserve à la vérité. Dans certaines parties du Mexique, c’est une simple question de survie universitaire. Je ne veux offenser personne, mais je parle de ce dont j’ai été témoin.
Au Mexique, tout archéologue travaille d’une façon ou d’une autre pour le gouvernement, et s’il s’écarte trop des informations et des interprétations officielles sur les coutumes indigènes, il ne peut aller très loin. Ce qui se passait dans les temples et les observatoires est considéré comme une information sacrée que le gouvernement désire conserver dans toute sa pureté et sous son contrôle.
Voici donc Jorge qui apporte une information spectaculaire reliant entre eux tous les faits dans un système bien conçu, et on l’accepte tout en l’ignorant. J’ai vu comment il fut traité sur l’ancien site de Xochicalco, dans l’État de Morelos, à 38 kilomètres de Cuernavaca, au Mexique. J’étais très excité, car lui et le docteur Luis avaient organisé pour moi et quelques membres de l’équipe un petit voyage en un lieu où vont très peu de gens, l’un des anciens observatoires solaires des indigènes, dans les ruines du temple. C’était l’un de trois observatoires verticaux dans lesquels la lumière pénétrait par le haut et était ensuite dirigée par un système particulier qui créait des motifs sur une dalle placée à une hauteur précise dans l’observatoire. Les Anciens observaient ainsi les mouvements du soleil et de la lune alors que la lumière traçait des motifs sur cette dalle tout au long de l’année, ce qui leur permettait de mieux comprendre le comportement de ces corps célestes, d’estimer leur taille et d’en apprendre davantage sur les équinoxes, les solstices et les éclipses. Nous allions donc entrer dans ce lieu sacré et le voir de nos propres yeux !
Avant de nous entraîner dans cette aventure, Jorge et Luis nous présentèrent, durant une heure et à l’aide de PowerPoint, les véritables découvertes. Jorge avait assemblé un calendrier complexe en utilisant l’information ancienne. Cependant, au lieu d’être un calendrier comportant des jours, des mois et des années, c’était un calendrier d’énergie ! Quand je l’ai vu et touché, je l’ai aussitôt qualifié de « calculatrice », car, intuitivement, je recevais de Kryeon l’information sur sa fonction réelle. De plus, Jorge fournissait aussi de l’information sur notre ADN, qu’il liait aux changements de l’énergie terrestre.
Il associait les différentes polarités aux acides aminés contenus dans la chaîne d’ADN, en affirmant que la polarité active était abandonnée avec la vieille conscience afin de laisser place à la polarité passive activée par les changements magnétiques que nous traversons. (Changements magnétiques !) Il expliqua le mécanisme qui, à l’intérieur de l’ADN, génère de la lumière qui renforce notre champ énergétique.
Jorge démontra que les Mayas et les Aztèques (et d’autres encore) connaissaient les divers changements de l’énergie terrestre et en avaient fait le tracé exact. Ce sont des changements de conscience de l’énergie de la Terre, et non de simples changements calendaires. Poussant plus loin son explication, il montra les phases de ces changements ainsi que leur durée (plus de mille ans). Chacun portait un nom et avait une couleur, clairement indiqués par les Anciens qui les avaient tracés. En plus d’utiliser les observatoires pour suivre les mouvements du soleil et de la lune, ils avaient aussi développé une méthode pour suivre les phases d’énergie que la Terre avait traversées dans le passé et prédire celles qu’elle traverserait dans l’avenir.
C’est pourquoi Kryeon m’a dit qu’il s’agissait d’une calculatrice, car on s’en servait pour calculer ce qui s’en venait. Cette calculatrice indique clairement que nous nous dirigeons présentement vers un changement majeur. Selon ce calendrier énergétique circulaire, les Anciens ont établi que nous sommes en train de fermer la conscience d’une vieille énergie planétaire pour en ouvrir une autre. La date prévue pour l’événement ? L’année 2012. Voilà ce que les Mayas nous ont vraiment dit au sujet de 2012 et de l’énergie impliquée, nous fournissant des explications historiques et même une calculatrice de phases fondée sur leurs observations. Ils ont prédit la fin d’une époque et le début d’une nouvelle. Démontré ainsi, c’est tellement évident ! Jorge s’était servi de son intuition et de son intellect pour voir au-delà des apparences de l’information connue et tirer des conclusions logiques sur son sens réel. Sa calculatrice circulaire montrait comment leurs phases d’énergie correspondaient aux événements mondiaux, à notre propre histoire et à notre situation actuelle. Le plus captivant de la démonstration, c’est que tout ça était du Kryeon 101 [de l’information fondamentale fournie par Kryeon depuis dix-huit ans].
J’ai dû énerver Jorge à force de l’interrompre constamment pour lui faire dire par l’interprète : « C’est exactement ce que dit Kryeon ! » Plus tard, je me suis rendu compte que Jorge n’avait même pas lu un seul ouvrage de Kryeon. (La prochaine fois, j’essaierai de me tenir tranquille, mais j’étais tellement excité de trouver la confirmation des messages de Kryeon sur les murs du temple, pour ainsi dire, et d’entendre ensuite Jorge parler du magnétisme de l’ADN !) Le travail de cet homme est vraiment passionnant.
Essentiellement, les Mayas et les Aztèques nous disent qu’une nouvelle énergie se manifestera en 2012 et qu’elle sera supérieure. Typiquement, comme lors de tout changement énergétique, ceux qui se sont habitués à la vieille énergie ne dureront pas. Nous entrons dans l’énergie de ce que ces Anciens appelaient « un nouveau soleil » (en l’occurrence, le sixième soleil). Dans leur système, chaque phase de civilisation possède sa couleur solaire, et notre nouvelle couleur sera le jaune, qui suivra le violet. (N’oubliez pas qu’il s’agit ici d’un système de notation spirituel et non des couleurs réelles du soleil.)
Pendant des années, Jorge a obtenu des autorités chargées du site historique la permission d’entrer dans l’observatoire, qui ne semble plus être à ce jour qu’une profonde grotte souterraine. Il y avait étalé ses papiers et tracé les mouvements du soleil et de la lune, tout comme le faisaient les Anciens. Il ne se contentait donc pas de lire les documents que lui avaient fournis les archéologues. Il utilisait leurs propres outils ! J’étais impressionné, et tout autant réconforté de savoir que les enseignements dispensés par mes transmissions l’étaient aussi par les Anciens, et ce, d’une façon très claire.
J’ignore ce que les spécialistes dans l’entourage de Jorge croyaient vraiment, puisqu’ils ne pouvaient le dire, mais ils l’accueillirent par des sourires et avec respect, en lui permettant de pénétrer dans leur « sanctuaire intérieur ». Je crois que c’est révélateur de leur sentiment réel à son endroit. Le docteur Luis a également usé de son influence pour que nous puissions accéder au site. J’ai eu l’impression que ces deux hommes étaient des familiers du musée et du terrain du temple. Le docteur Luis est bien connu dans cette partie du Mexique pour son travail humanitaire et il jouit d’une excellente réputation professionnelle à titre de médecin. Cela nous a sans doute tous aidés ce jour-là. Il nous avait vraiment ouvert la porte.
Avant de vous en apprendre davantage sur notre visite à l’observatoire, laissez-moi vous raconter une anecdote amusante qui est bien révélatrice de l’ignorance contrôlée dans laquelle nous tiennent les autorités. Encore une fois, la ligne du parti est importante pour les politiciens, mais, dans le cas qui nous occupe, je ne comprends toujours pas pourquoi on ne permet pas à la nouvelle information scientifique de circuler. En fait, l’idée même qu’il se trouvait là un observatoire sophistiqué est également bannie.
Au-dessus du sol, au sommet de chaque observatoire vertical, se trouve une ouverture circulaire. C’est par elle qu’entre la lumière et elle est donc cruciale pour tout le système. Si, à l’époque, on avait eu des lentilles complexes, on en aurait placé une là. L’autre se serait trouvée à mi-chemin du puits, pour concentrer l’image du soleil ou de la lune en une mince lumière au fond (sur la dalle, de la hauteur d’une table), afin de pouvoir inscrire les mouvements précis de ces deux corps célestes. Dans ce temple aztèque/toltèque, on disposait forcément d’un système optique quelconque composé, selon Jorge, d’« obturateurs», mais il s’agissait simplement de trous de diamètres différents et peut-être d’écrans de diffusion faits d’un matériau de l’époque. Ces gens furent toutefois capables de construire ces obturateurs de manière à focaliser suffisamment l’image pour pouvoir établir avec précision le tracé de la lumière. Il leur fallait absolument contrôler la lumière, sinon ils n’auraient obtenu qu’une tache lumineuse informe sur la dalle surélevée.
Imaginez un télescope dont on aurait enlevé les lentilles aux deux bouts. Ce ne serait plus qu’un tube inutile. Vous savez bien cependant, si vous avez des connaissances élémentaires en optique, que l’on peut focaliser la lumière du soleil sur un mur au seul moyen d’un trou d’aiguille dans une feuille de papier foncé, si on sait comment s’y prendre. Plusieurs artistes ont découvert qu’ils pouvaient ainsi projeter une image sur un mur et peindre par-dessus, atteignant de la sorte un réalisme artistique inédit. En d’autres termes, on peut focaliser la lumière grâce à plusieurs moyens optiques qui ne requièrent pas la fabrication de lentilles sophistiquées.
L’ouverture au sommet de l’observatoire était alignée avec précision sur les mouvements du soleil et de la lune. En outre, il y avait là un système d’alignement (peut-être des encoches) pour faire tenir, en haut, une pièce ronde spécialisée faisant office de lentille, aujourd’hui disparue, et qui pouvait être placée sous des angles précis favorisant la vision astronomique (tout comme les marques sur certains télescopes modernes).
Comme ces Anciens savaient très bien où serait le soleil à tel ou tel moment de l’année, ils pouvaient faire pivoter la pièce supérieure et l’ajuster dans les encoches prévues à cette fin. Ils disposaient sans doute de différentes pièces pour les diverses options de vision selon les moments de l’année. C’est ici que ça devient amusant. Ces pièces supérieures des observatoires ont disparu depuis longtemps. Aux dires de Jorge, si jamais on les retrouvait, il serait facile de prouver que ces observatoires étaient beaucoup plus sophistiqués que ne le suggère ce site historique. On comprendrait alors que ces gens en savaient beaucoup plus qu’on ne croit.
Nous sommes entrés sur le site en passant d’abord par le secteur où se trouvent le plan général du terrain, les cabinets, la boutique de cadeaux et un musée abritant des artefacts sous verre. C’est par là que les touristes commencent leur visite, souvent en compagnie d’un guide qu’ils rémunèrent. J’ai constaté encore une fois que les guides du site connaissaient Jorge et le traitaient respectueusement. Après avoir décrit leur tâche, ils le laissaient dire le reste de l’histoire, sans sourciller, semblant savoir qu’il avait raison.
Nous sommes entrés dans la zone où étaient exposés sous verre des artefacts bien préservés, avec explications en espagnol de leur fonction. Tout était évidemment dans cette langue, mais je ne m’en suis pas formalisé. Nous trouvons toujours des interprètes dans chaque pays visité par Kryeon, et, cette fois, il s’agissait de Leslie Pascoe, le traducteur officiel en espagnol des séances de Kryeon au Mexique, en Argentine et au Chili, et qui m’aide actuellement à me souvenir de tout ceci pour le présent texte !
Jorge se dirigea vers l’un des présentoirs de verre et s’arrêta devant en nous demandant : « Reconnaissez-vous ceci ? » Sous nos yeux s’étalait une pièce du sommet de l’observatoire ! On en avait trouvé ! Elle était très bien préservée, de sorte que l’on pouvait voir clairement les trous et les encoches s’ajustant parfaitement à l’ouverture du sommet de l’observatoire ! De plus, elle portait un indicateur d’angle qui, nous expliqua Jorge, correspondait à un système de degrés bien connu aujourd’hui en astronomie. À l’évidence, cette précieuse pièce appartenait à l’observatoire que nous allions visiter sous peu. J’exultais. Jorge nous invita alors à lire l’explication en espagnol inscrite sur la petite carte accompagnant l’objet.
Leslie nous la traduisit. On y disait qu’il s’agissait d’un « artefact provenant d’une cabine de sudation ». Quoi ? Nous avons tous éclaté de rire ! Jorge nous jeta un regard qui signifiait :
« Que voulez-vous que je vous dise ? » On avait improprement étiqueté cette précieuse pièce d’observatoire. Mais, au moins, on l’avait conservée ! Peu à peu, je me rendais compte qu’on ne nous avait pas tout dit sur ces peuples anciens.
Malheureusement, les responsables de cette tromperie en ont peut-être oublié eux-mêmes les motifs et ils ont quitté le pouvoir depuis belle lurette. À mon avis, tout un groupe d’archéologues ne sont plus, à cause de cela, que de simples gardiens du site qui doivent en outre se tenir tranquilles et s’abstenir de vivre leur passion afin de conserver leur emploi difficile à obtenir. Jorge, par contre, est un spécialiste solitaire, qui ne travaille pas pour le gouvernement ni pour aucun de ses organismes. Il est donc libre d’enseigner la vérité telle qu’il l’a découverte. N’empêche que cela ne va pas sans péril.
Nous avons visité deux autres observatoires « horizontaux » qui se faisaient face à environ 45 mètres l’un de l’autre. Ils étaient situés tous les deux au sommet de larges plateaux et nous devions monter plusieurs marches pour y accéder. Jorge nous expliqua leur fonctionnement. Le soleil, à son lever et à son coucher, gravait des motifs de lumière sur le mur arrière, tout au long de l’année. Le but du processus nous était évident, mais il l’était moins pour les guides officiels, qui expliquaient aux visiteurs que ces lieux servaient à des cérémonies religieuses, voire à des sacrifices humains. Peut-être, mais ce furent d’abord des observatoires. Nous avons aussi visité la célèbre pyramide de Quetzalcóatl, sise au sommet d’une mesa. Les quatre faces de cette pyramide sont couvertes de glyphes. Après qu’un guide nous en eut expliqué le sens, Jorge nous révéla le reste de l’histoire.
Ces glyphes, expliqua-t-il avec conviction, représentaient en réalité les phases d’énergie croissante ou décroissante au cours des âges. Il ne s’agissait pas simplement d’une opinion personnelle parmi d’autres, puisque les glyphes appuyaient historiquement ses dires. C’était inscrit dans la pierre… et pourtant ce n’était pas dans le manuel officiel des guides.
Comment une telle chose avait-elle pu leur échapper ? Le temps était venu de passer à l’attraction principale. Nous sommes entrés à la file dans le flanc de la colline pour accéder à l’observatoire. Comme il faisait sombre ! J’étais le dernier du groupe de sept, afin de pouvoir photographier les autres. Nous sommes finalement arrivés à la chambre principale, localisée directement sous l’ouverture par laquelle entrait la lumière. En l’absence du système de focalisation, la lumière qui y pénétrait ne formait qu’une colonne créant sur le sol un hexagone de la même grosseur que l’ouverture. Elle n’était pas très forte non plus et nous avons dû nous asseoir un peu dans l’obscurité afin d’y habituer nos yeux. Pour certains, cette visite aurait pu s’avérer décevante : une simple caverne sombre et froide, éclairée par le haut. Quant à moi, je me sentais chez les Anciens ! J’étais très ému d’être dans ce lieu où très peu de gens vont et dont je pourrais ensuite vous parler dans un livre. J’ai tenté de prendre quelques photos avec mon appareil (sans flash), mais je n’avais pas apporté mon trépied et je voulais des poses. Ce ne fut pas facile, mais j’ai pu en saisir une de Luis debout au milieu de la colonne de lumière. Elle me plaît beaucoup. Bien qu’il n’en ait rien dit, je pense que ce médecin très cultivé se sent lié à ce qui s’est produit en ce lieu dans les temps anciens. Il était certainement très ému d’être là, même s’il avait déjà visité l’endroit de nombreuses fois. J’étais très heureux d’avoir pu y accéder et de me faire appeler amigo par ces magnifiques érudits.
Si vous désirez joindre Jorge pour obtenir davantage d’informations sur son livre, ou si vous êtes éditeur et voulez le publier en quelque langue que ce soit (y compris l’espagnol), vous pouvez lui envoyer un message électronique à l’adresse suivante : jorge@kryon.com.
Kryeon canalisé par Lee Carroll
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