Ce n’est qu’un au revoir
Ce chant : Auld Lang Syne (en français, la mélodie : Ce n’est qu’un au revoir).
Ce chant, je vous demanderai de la chanter aujourd’hui, à la fin de cette présentation historique. Les peuples de la Terre l’ont reçu par l’intermédiaire des Irlandais ; « Nos vieux amis, comment les oublier ? » Faut-il nous quitter sans espoir, sans espoir de retour ? Faut-il nous quitter sans espoir de nous revoir un jour ? » Que croyez-vous qu’il se passe ce soir ? Nous sommes tous d’anciens compères qui retrouvent ceux du domaine visible et leurs chers collègues encore invisibles à leur yeux actuels. Nous incluons aussi tous ceux qui liront éventuellement ces lignes.
Avant l’engloutissement de notre Lémurie bien-aimée, il avait été prophétisé que, dans un avenir éloigné, nous nous réunirions de nouveau pour chanter cet air, dans la certitude absolue de la victoire de la Terre. Chers amis, célébrons ce moment tant attendu ; la prophétie s’accomplit ; aujourd’hui, nous entamons cette « réunion » tant espérée.
Emue aux larmes, je vous laisse savoir, par Adama, que plusieurs d’entre vous ici présents faisiez partie de ces âmes courageuses qui ont sacrifié leur vie pour le bien de la collectivité. Acclamons votre bravoure d’antan, et pour le présent, réjouissons-nous de ces retrouvailles. Nous sommes désormais en mesure de perpétuer notre précieuse mission lémurienne : aider la planète et l’humanité en vue de leur magnifique ascension.
A Telos, un aspect de leur mission consistait à préserver l’équilibre et les énergies de l’ascension pour la planète jusqu’au moment où les habitants de la surface pourraient le faire par eux-mêmes. Aujourd’hui, le temps est venu pour nos deux civilisations de s’unir dans ce but, comme un seul cœur.
Message de Telos, canalisé par Aurelia Louise Jones
Vos petits messages !