Des propos de Marie Madeleine

« Les femmes doivent obtenir l’égalité pour que, dans les profondeurs de la psyché humaine, le soleil et la lune s’équilibrent et que le grand androgyne universel apparaisse enfin. » 

Introduction de Judi Sion 

Les lignes qui suivent sont très audacieuses, car je crois qu’il est temps que les femmes fassent preuve d’audace.

  

création/animation d'Alice : bannière vierge

Les messages électroniques et les lettres que nous recevons au sujet du « Manuscrit de Marie-Madeleine » commencent trop souvent par les mots « Cher Tom », comme si je n’avais pas participé à l’écriture de ce livre, et pourtant ces messages portent fréquemment sur la section de l’ouvrage que j’ai écrite et qui raconte en vérité l’histoire de toutes les femmes. Bien que mon ego ne se soucie guère de cette exclusion, mon cœur s’attriste de ce que la femme soit si facilement oubliée, et je ne peux m’empêcher de me demander pourquoi la plupart du monde s’adresse d’abord au mâle. Alors que tout ce livre porte sur un retour du balancier et spécifiquement le retour du féminin, ceux qui le louangent ne considèrent jamais la présence féminine qui fut mobilisée dans sa création. Si l’on ne peut même pas considérer la présence féminine dans la création, quel espoir nous reste-t-il ? 

Pourquoi est-ce que je soulève cette question si mon ego n’est pas en cause ? Pour souligner une évidence ; non seulement le féminin est-il toujours négligé, mais il est presque totalement ignoré dans ce monde dit moderne. 

J’aime la matière fournie par Marie-Madeleine pour le livre intitulé La Grande Transformation. Il s’agit d’un appel aux femmes pour qu’elles ne demeurent pas silencieuses. Le silence tue. Il peut tuer, aussi horriblement que simplement, une femme qui se tait pendant des années et qui développe alors un cancer, invariablement dans une partie féminine de son corps. Las de se résigner au silence, son corps crie pour recevoir de l’attention d’une façon ou d’une autre. 

J’ai écouté chaque parole de Madeleine depuis que nous l’avons contactée pour la première fois en l’an 2000,  à ma demande, et je vais vous dire ce que j’en pense. Les hommes n’agiront pas à notre place. Ils ne feront pas avancer les choses suffisamment ; madeleine a plusieurs fois exprimé sa tristesse de voir les femmes se dresser si facilement et si rapidement les unes contre les autres en suivant leur propension à la jalousie et à la manipulation. Nous devons laisser cela de côté. Nous devons nous unir et proclamer notre vérité à tout prix. 

La plus grande leçon que j’aie apprise, c’est que je dois dire ma vérité sans me soucier de ce que pensent les autres. Cela, je l’ai appris surtout grâce à ma relation sacrée avec Tom, car j’ai dû en arriver à un point où malgré tout mon amour pour lui, je ne me souciais aucunement de ce qu’il pensait et où seule ma vérité – ce que je pensais – m’importait. Si le fait de dire cette vérité me faisait perdre cette relation, c’était là un pris que j’étais volontiers prête à payer. N’y voyez pas de l’égoïsme. Ne vous laissez pas leurrer par la religion au point de confondre avec l’égoïsme le fait de prendre soin de soi-même et de récupérer son pouvoir. C’est là le moyen d’acquérir la maîtrise. 

J’entends Madeleine demander que les femmes qui lisent son message se fassent entendre. Je l’entends demander à chacune d’entre nous d’exprimer sa vérité. Qu’avons-nous peur de perdre ? Craignons-nos de perdre la vie ? Si c’est le vas, nous ne croyons pas réellement que la vie existe au-delà de ce plan d’existence. Si nous vivons réellement que la vie continue au-delà de celle-ci, de quo aurions-nous peur ? Si la conscience persiste au-delà de ce plan-ci, qu’avons-nous à craindre ? En disant la vérité avons-nous peur de perdre les gens que nous aimons ? Sont-ils à ce point important à nos yeux que nous préférons taire cette vérité que de voir la désapprobation dans leur regard ? 

Mon vieux guide disait souvent ; « Réfléchis, maître ». Il nous appelait « maître ». il disait que nous ne comprendrions jamais que nous sommes Dieu, des êtres divins, tant que nous appellerions « maîtres » des êtres extérieurs à nous au lieu de nous donner ce titre à nous-mêmes. Il disait également : « Regardez autour de vous. Personne de votre entourage ne vous servirait de bouclier pour vous protéger contre une balle de révolver. S’ils ne sont pas prêts à mourir pour vous, pourquoi donc vivez-vous pour eux ? » 

Les Hathors et Marie Madeleine – issu de La grande transformation de Kryeon canalisé par Lee Carroll 

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