Ramtha et le Point Zéro
Le Point Zéro accomplit sa nature, faire connaître l’inconnu et évoluer, en imitant l’acte de contemplation du Néant. Ce faisant, le Point Zéro produisit un point d’éveil – de conscience – comme référence qui lui servit de miroir et grâce auquel il pourrait devenir conscient de lui-même ; Ramtha réfère à cette conscience miroir come étant la conscience secondaire ; le Point Zéro repose au sein du Néant et il n’existe aucune limite à ce qu’il peut connaître. La réflexion entre le Point Zéro et la conscience miroir crée un environnement, un plan tangible d’existence dans le temps et l’espace. L’Esprit est l’aspect dynamique du Point Zéro. C’est la volonté ou l’intention qui désire connaître et faire l’expérience de l’inconnu. La création des sept niveaux de conscience et des sept niveaux correspondants de temps et d’espace, ou fréquence, est le résultat de l’exploration des potentialités du Néant par le Point Zéro et la conscience miroir. Ce cheminement et cet acte de création lors de la descente de ces sept niveaux de conscience et d’énergie sont connus comme le cheminement de l’involution. Le cheminement de retour vers Dieu et le Néant est appelé le cheminement de l’évolution. L’âme est différente de l’Esprit. Ramtha parle de l’âme comme étant le Livre de Vie. L’âme enregistre toutes les expériences et la sagesse gagnée au cours du voyage dans l’involution et l’évolution.
La condition de l’être humain est décrite en termes d’oubli, d’amnésie et d’ignorance de ses origines et de sa destinée. Le voyageur ou conscience miroir, s’est tellement identifié au plan d’existence le plus dense et le plus lent qu’il en a oublié son immortalité et sa propre divinité. L’humanité est devenue une inconnue pour elle-même, pour le Dieu qui vit en nous et que nous sommes et elle a recherché assistance, signification et rédemption dans une source extérieure. En agissant ainsi, l’humanité renie sa propre divinité et prévient toute chance de libération de sa condition présente.
Il est important de noter que, dans le système de pensée de Ramtha, le monde matériel – le plan d’existence le plus dense – et le corps physique ne sont jamais considérés comme néfastes, indésirables ou intrinsèquement mauvais. L’interprétation dualiste de la réalité typique des traditions gnostiques – qui souligne la lutte entre le bien et le mal, le bon et le mauvais, la lumière et l’obscurité, le péché et la vertu – est totalement exclue du système de pensée de Ramtha. Ce qui devient une condition indésirables est de demeurer dans un état d’ignorance et de reniement quant à notre nature et à notre destinée véritables. Il est absurde de défendre nos limites quand nous en sommes, en tant que conscience et énergie, els créateurs.
La voie de l’illumination passe par le chemin de l’évolution qui nous ramène au Point Zéro. En accomplissant cette tâche, la personne remplit le mandat de faire connaître l’inconnu et apporte au Néant son expérience personnelle afin que celle-ci se transforme en sagesse perpétuelle.
[…] En conclusion, les quatre pierres angulaires de la philosophie de Ramtha sont le concept du Néant, la conscience et l’énergie qui créent les sept niveaux de la réalité, l’affirmation : « Vous êtes Dieu » et le mandat de faire connaître l’inconnu. On retrouve de nombreuses traces de la pensée de Ramtha dans les traditions anciennes. Cependant, dans la plupart des cas ce ne sont que de faibles échos qui ont tès mal résisté au passage du temps et à la disparition du contexte qui aurait permis leur interprétation. Parmi ces traditions se retrouvent les philosophies des anciens Egyptiens et du pharaon Akhenaton, la description que Bouddha fit de lui –même en tant qu’être éveillé, la niton de Socrate sur la vertu et l’immortalité de l’âme, le concept des formes universelles de Platon, la vie et les enseignements de Yeshua ben Joseph les œuvres de l’apôtre saint Thomas, l’Hymne de la Perle, l’Hymne de la Parole Divine dans l’Evangile selon saint Jean, Apollonius de Tyrane, Origène, les Cathares et les Albigeois, François d’Assise, les mystiques juifs et chrétiens, le dessin de l’ascension du mont Carmel par saint Jean de la Croix, où le sommet de la pyramide se trouve placé au sommet de la tête du sujet, les oeuvres d’art de divers artistes comme Michel Ange et Léonard de Vinci , les écrits et les expérieinces msytiques de Sainte Thérèse d’Avila, les œuvre de Fray Luis de Leon, les humaniste du mouvement de la Renaissance en Europe, les Rosicruciens, les maître de l’Extrême-Orient et plusieurs autres .
Issu du livre de Ramtha : La civilisation humaine, les origines et l’évolution – aux éditions AdA – Note de l’éditeur– page 20…
Vos petits messages !