Jésus Vivant
Toutefois, enveloppés d’une équanimité paisible, nous expérimentons joyeusement notre perfection lumineuse qui avait été simplement obscurcie, mais qui reste cependant présente tout au long des saisons de temps. Nous sommes vraiment libres dans l’union avec le grand Tout et cela, mes amis bien-aimés, est notre plus grand potentiel humain.
- J’ai toujours été intriguée par une photo qui a été prise il y a de ça une vingtaine d’année. Depuis longtemps, je cherche une explication plausible, la preuve physique que l’on peut « capter » différentes réalités. J’ai toujours pensé qu’elle était réelle sans savoir comment un tel phénomène avait pu se produire.
Effectivement, cette photo est réelle. Cette anomalie plutôt étonnante représente mon petit-fils Yeshua, mon fils aîné Joseph d’Arimathie, mon petit-fils Jean Marc (le demi-frère de Yeshua) et Philippe de Bethsaïde. Ils sont à ce moment-là dans l’ouest de la Turquie. Le lieu précis était un champ de blé en culture situé à l’intérieur des terres, à une courte distance du littoral à l’est de la Méditerranée et au sud-est de la ville d’Ephèse. Pour situer la scène dans le temps, j’ajouterai qu’elle se passe en l’an 39 après Jésus-Christ, soit neuf ans après la crucifixion et la résurrection de Yeshua. Il s’agit ici d’une scène projetée dans l’éther et qui prend place simultanément à deux endroits.
A cette époque-là, la plupart des membres de la famille, y compris Marie Madeleine et moi-même, avaient été relocalisés au sud de la France et au sud-ouest de la Grande-Bretagne. Joseph d’Arimathie avait amené en voyage sa sœur marie Anna (Mère Marie), Jean Marc le fils de 15 ans de cette dernière, Marie Madeleine ainsi que plusieurs autres disciples. Ils devaient aller rencontrer divers congrégations dispersées le long des rivages du nord et de l’est de la Méditerranée, car plusieurs d’entres elles connaissaient beaucoup de différends portant sur les enseignements de Yeshua. Marie Anna désirait les aider à réconcilier leurs points de vue et à trouver la paix.
La perspective présentée dans cette scène est celle de Marie Anna et Marie Madeleine. Elles étaient là, debout. Une très puissante infusion d’énergie s’est produite à ce moment-là. L’homme qui a pris la photographie au Mur des lamentations à Jérusalem était à cet instant-là connecté au niveau de l’âme aux Annales akashiques. Il expérimentait simultanément deux réalités, étant à la fois au Mur de Jérusalem et en Turquie puisqu’il était un des disciples qui faisaient partie du voyage et qu’il se tenait debout à côté de Marie Madeleine et de marie Anna. (Si vous êtes intéressés à en savoir plus sur l’histoire de Yeshua et de la famille après la résurrection, je vous recommande de lire la suite à laquelle Claire se réfère plus haut dans son introduction).
Ce genre d’anomalie photographique se produit rarement. Il y a eu d’autres exemples enregistrés montrant une impression énergétique des corps d’énergie subtile de Marie Anna et de Marie Madeline qui interpénètrent et chevauchent le plan physique photographié. Plus communément à cette époque-ci, des expressions très subtiles de la conscience de maîtres aussi bien que de la conscience d’autres êtres apparaissent sur des pellicules photographies ou sur des images numériques, telles que les orbes ou les sphères de lumière. Ce sont tous des phénomènes intéressants, ouvrant les esprits et les cœurs réceptifs à la possibilité qu’il s’en passe plus que ce que les yeux physiques conditionnés peuvent percevoir. Extrait de la série Kryeon canalisé par Lee Carroll – 2011 Devenir – Eveiller le grand potentiel Humain – page 156 – propos de Kryeon, Hildon, Chandra et Flex, Anna, grand-mère de Jésus, invité spécial : Simion, recueillis par Martine Vallée.
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