L’Economie de la Mort !

 Le détournement de la sexualité n’est pas un phénomène nouveau. La pornographie enfantine, l’esclavage des enfants, des hommes et des femmes sur l’ensemble de la Terre, et le viol des hommes et des femmes ont toujours été répandus. Dans vos chroniques de la Terre, vous avez jeté un voile sur ces pratiques et n’étudiez jamais ce sujet dans les écoles. Peut-être envisagerez-vous d’analyser l’aspect maléfique de l’existence en créant, dans vos institutions, un cours portant sur le ténébreux détournement de pouvoir ?

 En éduquant vos enfants, il est important d’aborder franchement la question du Mal. Dans de nombreuses régions de la Terre, les forces des ténèbres sont acceptées, des offrandes leur sont faites, et des gages leur sont donnés. Même durant les rituels d’exorcisme mis en œuvre contre des entités ayant une emprise sur les humains, on offre à celles-ci de la nourriture diverse de façon à les attirer hors du corps humain.

 Vous abandonnez la partie de votre histoire illustrant la bonté de la vie et vous la troquez contre des textes inutiles qui exigent que vous assimiliez des informations sans importance afin de continuer à mener des existences sans buts. Vous participez à des réunions de famille, à des pique-niques et à des cocktails, vous continuez à payer vos hypothèques et vous êtes ainsi considérés comme de bons citoyens. Vous buvez et consommez les poisons produits par votre société et offrez vos enfants à Big Bother [référence au livre de George Orwell, 1984 (NDT)] à l’Equipe-qui-dirige-le-monde et qui contrôle les esprits, dans cette société où l’on ne réfléchit pas, mais où l’on doit simplement produire de plus en plus vite sous peine d’être éliminés. Les journaux, les chaînes de télévision et tous les autres médias sont détenus et dirigés par une petite poignée d’individus. Les véritables propriétaires de ces entreprises sont difficilement identifiables en raison d’une imbrication extrêmement complexe des organisations et des acteurs.

 De ce fait, rien n’est exactement ce qu’il paraît être. Le moment est venu de vous réveiller et de prendre conscience que vous êtes nourris d’informations destinées à limiter vos possibilités et à vous dominer afin de faire de vous non seulement de supporters actifs, mais des contributeurs de cette économie de la mort. En perdant votre vitalité, vous passez d’un soi-disant médecin à un autre, utilisant vos assurances, vos héritages, si vous en avez, et pour obtenir quels résultats ? Plus vous êtes malades, plus vous dépensez d’argent, plus vous alimentez cette économie de la mort. Comprenez-vous ?

 En abordant avec vous l’aspect ténébreux de vos chroniques, comme la dissimulation des pratiques sexuelles perverties de vos dirigeants, il ne nous appartient pas de donner des noms. Vous découvrirez par vous-mêmes que, dans chaque pays du monde, ceux qui détiennent les positions dominantes ont été placés là parce que leurs perversions les qualifient pour avoir du pouvoir sur autrui. Ce fait a été tenu secret pendant des éons mais, aujourd’hui, chacun étale ses perversions au grand jour. Des maires se travestissent en public et, bientôt vous verrez un président ou un pape se trémousser comme un chorus girl. Tout est maintenant sens dessus dessous, et l’on ne peut plus se fier à quoi que ce soit ; vos valeurs deviennent incertaines, et il est bien qu’il en soit ainsi. Cela vous permet un bon point de départ. Lorsque vous examinerez attentivement le ténébreux détournement de l’humanité, la façon dont vous avez été trompés, escroqués, et le complot permanent dont vous avez été victime, peut-être rejetterez-vous alors toute frivolité et rétablirez-vous des valeurs pour vous-mêmes basées sur le pouvoir intérieur qui vous appartient, en votre qualité d’êtres biologiques spirituels.

 Nous espérons sincèrement qu’il s’agit là de la direction  que vous prendrez au moment où les fils du changement tissent leur trame à l’aube du vingt et unième siècle.

 Enseignements de notre famille de Lumière – Barbara Marciniak canalisation des Pléiadiens  - Famille de Lumière aux Editions Ariane – page 163.