Les vaisseaux spatiaux Pléiadiens
L’homme de la Terre a certes ouvert une toute petite lucarne sur le vol spatial, mais cela ne correspond qu’à de premières tentatives plutôt élémentaires. Même si l’homme est allé sur la lune en fusée, il n’a pas encore atteint l’espace pour autant. Et de toute façon, il ne l’atteindrait pas dans les conditions actuelles.
Il lui faut obligatoirement un système de propulsion à même de transpercer l’hyperespace et de faire s’effondrer les distances infinies.
Ce n’est pas l’espace et le temps qui viennent à bout de l’espace et du temps mais l’absence d’espace et de temps, ce qui signifie que l’espace et le temps s’effondrent et se redressent au temps zéro. il faut mettre au point un système de propulsion qui, d’une certaine manière, modifie la matière dès lors que la vitesse de la lumière est franchie et que le vaisseau spatial est catapulté dans l’ hyperespace, paralysant ainsi l’espace et le temps.
Un voyage dans l’espace réel doit nécessairement se faire à l’aide d’un systéme de propulsion capable de dépasser largement la vitesse de la lumière. Mais cette propulsion ne peut entrer en fonction que lorsque la vitesse de la lumière est atteinte. De ce fait, un autre système de propulsion doit ajuster la vitesse normale à celle de la lumière. un vaisseau spatial doit être doté de deux systèmes de propulsion : une propulsion normale permettant une accélération jusqu’à la vitesse de la lumière et une hyperpropulsion.
La propulsion, qui produit une vitesse de la lumière qui ce compte en millions et en milliards ; l’hypervitesse donc, grâce à laquelle l’espace se brise.
Un espace où chaque masse s’agrandit à mesure que la vitesse augmente.
C’est ainsi que le temps et l’espace s’effondrent et qu’ils se transforment
en temps zéro et en espace zéro.
Autrement dit : l’espace et le temps cessent tout simplement d’exister. Et c’est grâce à cela que les distances d’innombrables années lumières peuvent être divisées en fractions de secondes sans pour autant occasionner un décalage horaire. Si, par exemple, les Pléiadiens quittent les pléiades et mettent 7 heures pour atteindre la terre, 7 heures s’écouleront également sur leur planète d’origine et sur la terre.
Ils mettent autant de temps car, avec la propulsion normale, ils sont contraints de s’ envoler depuis la zone des planètes et ne peuvent effectuer le parcours vers la terre en hypervitesse dans l’espace qu’une fois cette zone franchie. Depuis l’hyperespace, les Pleiadiens arrivent bien en-dehors de notre système solaire et volent à l’aide de la propulsion normale.
Il ne faut jamais entrer dans l’hyperespace en étant trop près d’une planète. Cela provoquerait une déchirure qui transformerait la planète en projectile mortel.
Les scientifiques de la Terre travaillent déjà sur des systèmes de propulsion qui permettront à l’homme de voyager loin dans l’espace. Il s’agit de :
– la propulsion émettrice de lumière (en anglais : light-emission drive)
- la propulsion à tachyons (tachyon drive)
La forme d’une fusée à réaction n’a pas d’importance mais dans l’idéal la fusée devrait avoir une forme de disque aérodynamique ce qui permet d’obtenir le moins de résistance possible dans les zones d’atmosphère et aussi dans l’eau. Pour se servir de l’hyperespace, il faut entrer des données de coordination très précises, par lesquelles seules il est possible de sortir à l’état matérialisé à nouveau de l’hyperespace, pour aboutir au point précis de destination. Le calcul et la fixation des coordonnées est absolument nécessaire, sinon un vaisseau spatial reste éternellement dans l’hyperespace ou est projeté en un lieu inconnu.
Toute la technique des appareils volants des Pléiadiens de forme interstellaire comporte une protection contre tous les effets de la relativité, comme p. ex. contre la distorsion temporelle, le vieillissement prématuré et autres, mais aussi contre les forces dé gravitation de forme stellaire, planétaire, ainsi que cosmique. Les courbures de l’espace et autres, ainsi que tous les autres facteurs en rapport avec des influences cosmiques etc., avec lesquels le terrien se débat encore aujourd’hui avec ses problèmes et recherches, ne présentent plus aucune difficulté.
Et ce qu’il faut encore dire: la prétendue antenne sur les vaisseaux spatiaux plus anciens des Pléiadiens, n’était effectivement qu’un collecteur d’électricité atmosphérique, quand les vaisseaux rayonnants/vaisseaux spatiaux se déplaçaient dans des sphères planétaires. Ces énergies captées ont été utilisées pour l’antigravitation et pour la propulsion dans des atmosphères planétaires, mais cette technique n’est plus utilisée qu’isolément chez les vaisseaux rayonnants des Pléiadiens.
Patricia Cori, porte-parole du Haut Conseil de Sirius – série Kryeon,
très bonne publication mais quand l’homme pourrat depasser cette vitesse ?