Parapsychologie et OBE

De nombreuses personnes ont expérimenté au moins une OBE, ou expérience extracorporelle, durant leur vie.

floatiesUne enquête d’Hornell Hart (1945) révéla que, sur 155 étudiants de sociologie, 27% avaient vécu au moins une OBE durant leur vie, et, parmi ceux-ci, 70% l’avaient vécue plus d’une fois.

 Deux enquêtes de Celia Green (1967), avec des étudiants anglais, donnèrent les pourcentages suivants : 19 % sur 115 personnes, et 34 % sur 380 personnes.

Une étude de Charles Tart (1971) sur 150 personnes utilisant la marijuana, révéla un pourcentage de 44% de personnes s’étant perçues en dehors du corps.

 Robert Crookall, un géologue anglais, analysa plus de 1000 rapports d’OBE et publia ses résultats dans trois ouvrages parus en 1961, 1964 et 1972. Dans 50 cas sur 250 le corps projeté était relié au corps physique par un lien ou une corde. Il divisa ces expériences en deux groupes : les expériences naturelles (sommeil, veille, maladie, seuil de la mort) et les expériences forcées (suffocation, noyade, drogues, hypnose, projection volontaire).

 John Poynton (1975), professeur de biologie à l’Université de Natal (Afrique du Sud), obtint, en réponse à un questionnaire paru dans la presse locale, 122 rapports analysables. 74,5% des sujets vécurent une fois une OBE. Seulement quatre d’entre eux furent aperçus par des tiers, et 9% virent la corde les reliant à leur corps. 24,5% des sujets « eurent des sensations très claires d’entrée et de sortie du corps physique, et 50% firent cette expérience dans un état normal (veille, relaxation, bon état de santé) ».

 Celia Green (1968) obtint 377 cas par l’intermédiaire des médias anglais, la plupart d’entre-eux s’étant produits en état de relaxation. (12)

Scott Rogo (1978) a distingué :

 • La « clairvoyance somnambulique » (dans laquelle aucun corps projeté n’est mentionné).

• Les « apparitions des vivants » (dans lesquelles le sujet n’a pas conscience d’avoir quitté son corps).

• Les OBE proprement dites (dans lesquelles les sujets se perçoivent dans un corps projeté).

Il constata que le sujet, en état d’OBE, pouvait se percevoir de trois façons différentes :

* Avec un corps « parasomatique ».

* Comme une conscience enveloppée de brume ou d’une sphère de lumière (sans impression de corps).

* Comme une conscience séparée, dans l’espace, du corps, mais sans aucune forme. 

Il a ainsi distingué trois façons dont la conscience peut s’extérioriser du corps physique : 

1. Une conscience pure sans véhicule formel.

2. Un corps ressemblant au corps physique.

3. Un véhicule « ultra-physique » autre qu’un corps (sphère de lumière, etc.).

 Scott Rogo a cité quelques cas où l’individu, séparé de son corps physique, qu’il regarde à partir d’un deuxième corps, se sépare aussi de ce deuxième corps. Robert Crookall (1964) a cité le cas d’une personne qui se trouvait au lit avec une température de 39° : 

« Soudain je me rendis compte que je pouvais voir mon corps physique allongé dans le lit, et un autre corps, lui aussi dans une position couchée, mais placé hors du lit, à peu près à cinquante centimètres au-dessus du corps physique. Ce deuxième corps était d’un bleu scintillant et pulsant de lumière. Mais il me semblait que ‘‘moi’’ j’étais dans un autre corps qui regardait les deux autres, bien que je n’aie aucune conscience de la forme de ce troisième corps. J’avais l’impression que ce qui était mon « je » voyais à la fois le corps physique et le corps lumineux. » (13)

 Ce corps lumineux correspondait manifestement soit au corps éthérique (précisons néanmoins que sa séparation complète entraîne la mort), soit au corps astral. Le troisième ‘‘corps’’ est identifiable au corps astral ou au corps mental. Quelques travaux expérimentaux ont essayé de mettre en évidence l’existence d’un corps projeté lors d’une OBE : 

- Le psychologue Karlis Osis travailla notamment avec le médium Alex Tanous en étudiant l’effet d’une projection OBE sur une jauge de contrainte, celle-ci pouvant détecter les plus infimes mouvements physiques. 

- En 1973-74 le psychologue Robert Morris expérimenta avec le sujet psi Blue Harary en utilisant des détecteurs humains, la détection par des animaux et des détecteurs physiques. Parmi les expériences sur les animaux « seules celles avec le chat présentèrent une signification statistique ». Il s’agissait d’analyser le comportement du chat sensibilisé à la présence de Blue Harary, lors de l’état de projection présumé de ce dernier. Pendant les périodes OBE, écrit Robert Morris, « le chat démontra une des caractéristiques présumées d’un vrai détecteur : il demeurait tranquille » pendant chaque OBE. En général les détecteurs physiques ne donnèrent aucun résultat consistant. (14)

 

Source : http://www.mondenouveau.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=80&Itemid=48

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