Préoccupation de notre règne
L’absence de préoccupation pour les animaux peut devenir une préoccupation pour les humains
Qu’est-ce qui préoccupe le plus notre règne ?
La longévité de certaines espèces, la disparition de plusieurs de nos compagnons, l’empiètement de l’humanité sur les habitats qui nous sont précieux et déjà trop peu nombreux, et le manque de conscience avec lequel le gibier est chassé comme de la simple marchandise. Est-ce que nous vous recommandons de devenir végétariens pour que nous demeurions nombreux ? Non.
Nous comprenons vos besoins, car nous comprenons les nôtres, mais ce manque aigu de préoccupation pour nous, risque de devenir bientôt une préoccupation pour vous –mêmes. Lorsqu’une espèce se retourne contre une autre, le résultat est souvent désastreux pour les deux. Déjà, il y a des virus, des infections et d’autres anomalies chez le gibier qui fait partie de votre approvisionnement alimentaire. Cela n’est pas dû uniquement à de mauvaises conditions de transport et d’élevage, mais à une véritable rupture des communications à l’intérieur des espèces et entre elles. Un véritable respect et une véritable communication entretiennent le bien-être chez les espèces et entre elles, tandis qu’un manque de respect et une mauvaise communication génèrent des maladies qui, ignorées ou négligées, compliquent davantage la situation. Nous ne blâmons personne. Nous soumettons simplement ce sujet à votre réflexion, puisque l’occasion de dire notre vérité nous est offerte.
Issu de Transition 2010 – série Kryeon – Redéfinir la dualité, canalisé par Lee Carroll –. Gaïa canalisée par Pepper Lewis, en page 171.
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