Glyphes dans les champs : théorème mathématique
C’est arrivé ! On a enfin parlé des glyphes dans les champs dans une revue scientifique. Et non seulement dans un magazine scientifique, mais la section mathématique de cette publication ! Il semblerait que les cercles nous offrent des théorèmes que même Euclide n’avait pas trouvés ! L’article qui suit est une histoire rapportée par Science News.
Lisez attentivement le dernier paragraphe de cet article mathématique. Non seulement deux individus équipés de bâtons et de ficelle peuvent-ils, de nuit, fabriquer des douzaines de formations de « glyphes dans les champs » mais ces deux individus sont des mathématiciens de premier ordre nous offrant de nouveaux théorèmes qui n’avaient jamais été découverts sur terre à ce jour, même pas Euclide !
Voici l’article : MATHEMATIQUES – Les glyphes dans les champs : des théorèmes.
Il y a plusieurs années, l’astronome Gerald S. Hawkins, aujourd’hui retraité de l’Université de Boston, remarqua que certaines des formes les plus frappantes des glyphes dans les champs exprimaient des théorèmes géométriques mettant en lumière des relations numériques spécifiques entre les différents cercles, triangles et autres formes qui constituaient ces configurations. M. Hawkins découvrit qu’il pouvait utiliser les principes de la géométrie euclidienne pour démontrer quatre théorèmes basés sur les relations existant entre les formes de ces configurations. Il en découvrit aussi un cinquième, plus général, duquel il pouvait déduire les quatre autres.
Etrangement, Gérald Hawkins ne put trouver la moindre référence à un tel théorème dans les travaux d’Euclide ni dans aucun des ouvrages qu’il consulta. Lorsqu’il mit au défi les lecteurs de Science News et du Mathematics Teacher de trouver son théorème inédit à partir des quatre variations qu’il leur fournit, personne n’y parvint. L’été dernier, cependant, Hawkins déclara que les « créations de glyphes dans les champs venaient de montrer leur connaissance du cinquième théorème ». parmi les douzaines de formations qui apparurent subrepticement dans les champs de blé d’Angleterre, au moins l’une d’entre elles s’appliquait au théorème de Hawkins.
Les responsables de cet ingénieux montage mathématique sont toujours inconnus. Leur ouvrage dénote une aisance peu commune avec la géométrie euclidienne et indique une déconcertante facilité à pénétrer dans les champs sans se faire repérer, afin de courber des plantes sur pied sans en casser les tiges et de tracer des formes précises et complexes, en utilisant sans doute autre chose que des piquets et de cordes, le tout dans l’obscurité.
Extrait de la série Kryeon, canalisé par Lee Carroll. TOME 4, page 351 de : Partenaire avec le divin. Aux Editions Ariane.
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