Vous êtes une créature à trois dimensions

 

images (5)- Esprit, âme et ego s’exprimant sur un plan de densité. Trois dimensions suffisent pour réaliser l’éternité. Parlez au Seigneur Dieu de votre être. Il vous entendra. Lorsque vous parlez, que ce soit un seigneur, un Dieu, un maître qui parle. Lorsque vous lui dites de se souvenir, il se souviendra. Lorsque vous lui dites d’être plus, il sera plus. Et lorsque, depuis le Seigneur Dieu de votre être, vous désirez posséder une compréhension illimitée, il ouvrira votre esprit pour permettre à des fréquences de pensée supérieures d’être ressenties par le corps, développant ainsi la connaissance.

Il n’y a besoin de rien faire d’autre.
Lui en donner l’ordre suffit, et les glandes endocrines obéissent. Et au moment où vous ressentez que votre être est comme électrifié dans un entendement supérieur, rendez grâce au Dieu en vous de ce que les choses soient aussi simples.

Comment peut-on parvenir à une plus grande compréhension de tout ce qui est ?

En sachant que vous y êtes parvenu. La manière dont vous pensez et dont vous parlez détermine ce que vous vous permettez de connaître. Ne dites pas : ” J’espère connaître davantage, ” car cela n’est pas ainsi que vous y parviendrez. Et ne dites pas : ” Je vais essayer de connaître davantage, ” car essayer n’accomplit rien. Et ne dites pas : ” Je cherche à connaître davantage, ” car si l’on cherche, on ne trouve jamais. Dites : ” Depuis le Seigneur Dieu de mon être, je connais tout ce qu’il y a à connaître en ce moment même. Qu’il en soit ainsi ” et attendez la réponse. Peu importe que vous sachiez ou non en ce moment-là ce que vous désirez connaître, le fait de dire ” Je connais ” ouvre la porte permettant à cette réalisation de se produire. Cela suffit, et la connaissance aura lieu.

En disant que vous ne savez pas ou en mettant en doute la connaissance qui vous est donnée, vous posez des limites à votre créativité et à votre vie. La pire abomination est contenue dans ces mots : ” Je ne sais pas. “ Rappelez-vous, vous êtes celui qui établit les lois, et ce que vous pensez et dites est loi. Si vous dites ” Je ne sais pas “, vous ne saurez pas. Si vous dites ” Je ne pourrai jamais “, vous ne pourrez jamais. Si vous dites ” Je ne mérite pas l’amour du Père “, vous ne le recevrez jamais. Si telle est votre manière de parler, telle doit être votre manière de penser. Et si telle est votre manière de penser, le sentiment de cette pensée est enregistré dans votre âme, et votre âme manifeste la réalité qui satisfait vos processus de pensée.

Vous êtes comparables à un ordinateur. Chaque jour, vous mettez en mémoire des doutes. Vous mettez en mémoire le manque. Vous mémorisez, en vérité, de ne pas connaître. Le voleur de votre royaume, c’est vous. Ne connaissant que le doute et la limitation, vous vous volez la force de vie, de par votre manière de penser et de parler.

Je vous le dis, vous avez l’aptitude à connaître tout ce qui est et qui sera à jamais. Dites simplement : ” Je sais ” et la porte de la connaissance s’ouvrira. La compréhension ne tardera pas à se produire. Cela prendra peut-être quelques moments ou quelques jours, mais elle surviendra. Cela est inéluctable, car le mot ” Connaître ou savoir ” est absolu, il rend votre désir absolu. La pensée de connaître, si vous la ressentez dans votre âme, se manifeste dans votre être en ouvrant votre glande pituitaire, vous permettant de capter des pensées plus élevées. Le fait de connaître est la porte qui permet au fleuve de la pensée de couler en vous sans entraves.

Connaître n’est pas croire. La croyance est conjecturale, la connaissance est, elle, absolue. En croyant à quelque chose, votre âme comprend en vérité que quelqu’un – et ce quelqu’un peut être vous vous assaille en sorte de vous convaincre d’une vérité dont vous n’êtes pas instruits ou dont vous n’avez pas la certitude car cette vérité n’est pas encore devenue une réalité dont vous ayez fait l’expérience. Je ne vous demande pas de croire en quoi que ce soit. Je veux que vous sachiez. Être illuminé signifie savoir, en dehors du doute, de la croyance, de la foi ou de l’espoir. Ceux-ci sont conjecturaux. Tant que vous croirez ou aurez foi en quelque chose, celle-ci ne sera pas. Le fait de savoir la rend absolue, et le connu est manifesté. La manifestation de la pensée réalisée dans une expérience amènera la compréhension. Alors, elle fait partie de votre être, elle n’est pas quelque chose dont il faille vous convaincre.

Savoir absolument est ce qui crée la totalité de votre royaume. Afin de devenir tout-connaissants, dites simplement : ” Je sais.” N’ayez ni doute ni hésitation. Sachez avec une absolue conviction. Chaque fois que vous dites “je sais “, vous émettez en votre être une pensée de certitude qui créera l’espace nécessaire à la manifestation de cette connaissance. Vous devenez un génie lorsque vous ouvrez la porte de la connaissance, permettant ainsi à des pensées plus élevées de se réaliser sous une forme créative.

Si vous dites résolument : ” Depuis le Seigneur-Dieu de mon être, je connais maintenant la réponse à cette question -j’y suis réceptif/réceptive. Qu’il en soit ainsi “, cette connaissance vous apportera les solutions recherchées. Bien que la réalisation puisse ne pas se manifester aussitôt, la porte est grande ouverte pour sa réalisation dans une expérience porteuse de sagesse. Votre être s’accordera sans délai à votre connaissance et ainsi le deviendra. Il est inutile de travailler pour un tel accomplissement. Il n’y a pas à chercher, à lutter ou à combattre. Il n’y a nullement besoin de chants et de rites pour l’obtenir. Simplement sachez. En sachant, vous êtes dans un état de réceptivité permettant la prise de conscience de cette possibilité d’accomplissement.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

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