Apprenez à vivre en connaissant et en permettant
Alors vous serez maître de l’ego altéré. Alors vous serez maître du septième niveau, du septième ciel, car le septième est exempt de jugement et ne comporte que l’Être perpétuel de la vie. Une fois le jugement maîtrisé, vous maîtrisez la totalité de ce plan et pourrez le quitter à tout moment de votre choix.
A moins que vous n’ayez l’aptitude en cet instant de produire un clone de votre propre corps – ce qu’il est possible de réaliser avec un cerveau qui fonctionne dans son intégralité, ne soyez pas trop pressé de le détruire. Aimez votre corps. Soyez bon envers lui, nourrissez-le, prenez-en soin. Il est l’instrument pur d’expression qui vous permet de faire l’expérience de la vie sur ce plan. Devenez illimité dans vos mécanismes de pensée, mais choyez également le véhicule qui vous permet de réaliser cela.
Si vous êtes une femme, soyez une femme ; si vous êtes un homme, soyez un homme. Aimez ce que vous êtes. N’abusez jamais de votre corps. Ne l’endommagez pas et ne le souillez pas. N’exigez pas de lui des choses pour lesquelles il n’est pas fait. Considérez la grandeur de votre être. Considérez-vous divins. Vêtez-vous des étoffes les plus délicates pour votre peau. Parfumez-vous. Ne donnez à votre corps que la nourriture qui lui convient. Si vous lui prêtez l’oreille, il vous dira ce dont il a besoin pour être nourri.
N’absorbez jamais de substances dommageables, que vous savez être dommageables. Tout ce qui entrave la circulation de l’oxygène dans le cerveau fait périr un grand nombre de cellules; celles-ci sont perdues à jamais car le cerveau n’a pas la capacité de reproduire ses cellules. Lorsque les cellules de votre cerveau sont détruites, votre capacité à transférer une pensée en émotion réalisée est amoindrie. Vous pouvez contempler la pensée, mais elle ne représente rien pour vous. C’est alors que la joie cesse ; comment en effet une pensée pourrait-elle vous rendre joyeux si vous ne pouvez pas la devenir en la ressentant ?
Lorsque vous n’êtes pas capable de ressentir, vous êtes incapable sur ce plan d’enregistrer les connaissances. Tels sont les dégâts causés par la consommation de ce que vous appelez les drogues qui produisent des illusions. Chaque fois que vous y recourez, il y a diminution d’oxygène dans le cerveau. C’est votre cerveau mourant qui occasionne ce que vous appelez l’euphorie que vous ressentez. C’en est la cause. Chaque fois, votre capacité de connaître diminue. Et le temps viendra où vous ne pourrez plus ni rire ni pleurer car plus rien ne pourra susciter en vous l’émotion suffisante.
Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “ traduit par Chantal Lafont Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, Editions AdA Inc. Varennes (Qc)
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