DES ENFANTS DE DIEU LIBRES ET AIMES
Il est commun de vos jours de dire que votre civilisation est cruelle, que nulle part ne règle l’Amour. Pourtant, l’Amour n’est absent d’aucun lieu. L’Amour est en tout, y compris sur votre plan. Si vous ne le voyez pas, c’est parce que vous le refusez. Non, je n’exagère pas : vous refusez de le voir. Car pour le voir, il vous faudrait en premier accepter Qui vous êtes. Et cela vous fait peur.
Il est bien curieux pour l’être que je suis de constater que vous refusez d’accepter Qui vous êtes car, ce Que vous êtes est si beau, si magnifique ; Nous, depuis nos dimensions, nous contemplons la lumière qui vous habite. Nous la voyons rayonner dans tous les autres plans pour les enrichir tout en s’enrichissant elle-même de ce Que nous sommes. Vous grandissez malgré vous et vous nous apportez sans le savoir. Je viens d’une dimension particulière puisque celle-ci est incréée, ou plutôt non manifestée, sinon par sa présence au cœur de la vôtre. En réalité, elle est la dimension centrale, celle qui a permis la manifestation de toutes les autres. Pour prendre un autre terme, nous pouvons dire qu’elle est la dimension source, même si ce n’est pas une image tout à fait exacte, mais nous en parlerons plus tard….
Vous ne voyez pas le cœur des atomes, vous ne sentez pas la légèreté de l’Esprit, pourtant vous êtes composés de ces atomes et de cet Esprit. Alors dans ce cas, comment pouvez-vous continuer d’aller à l’encontre de ce que la vie vous demande : devenir vous-mêmes, c’est à dire des êtres qui manifestent ce qu’ils sont : des enfants de Dieu libres et aimés.
Ne vous croyez plus prisonniers de votre existence. Je viens de vous le dire, vous êtes lires et aimés. Cela signifie que vous pouvez ou non accueillir cet amour qui vous est offert. Votre vie est le résultat de votre choix. Et quel que soit celui-ci, vous restez aimés car l’amour est la nature même du Créateur.
Ce n’est pas parce que d’autres vous semblent tristes que vous devez l’être aussi. Il n’y a pas à partager ce genre de sentiment. La raison de la tristesse, la vôtre ou la leur, est que vous vous êtes coupés de l’Amour du Père-Mère. Dans toutes les situations que vous rencontrez, reliez-vous aussitôt à son Amour, laissez-le consciemment vous pénétrez et, naturellement, pas à pas, cet Amour rayonnera de vous-mêmes et vous apportera son présent : la joie de vivre. Avec la joie de vire, vous devenez vraiment divin, vous exprimez simplement et sans effort les attributs de Dieu dont l’un des premiers est la reconnaissance de soi. Se reconnaître, c’est vivre en Dieu, c’est être en Lui, c’est être Lui. Dès lors, vous ne pouvez plus avoir peur car vous possédez la certitude que vous êtes aimés et d’une telle manière qu’il n’existe dans votre langage aucun mot pour l’expliquer. En faire l’expérience est la seule façon de comprendre l’Amour. Alors , mes enfants, faites-là, maintenant.
Consciemment, laissez l’Amour vous pénétrer, faites-le à chaque instant, surtout lorsqu’une lourde pensée vient vous titiller. Faites-le jusqu’à ce que la joie de vivre vous revienne : elle reviendra. Quand elle sera présente, ne vous complaisez pas dans cette joie mais utilisez-la, entretenez-la en permanence, en l’offrant par votre attitude à tous ceux que vous rencontrez. Ainsi vous les toucherez de cette lumière qui vous habite. La joie de vivre doit être un acte conscient. Dès que vous la vivez pleinement, alors l’expression du soi et l’amour le plus merveilleux qui existe seront instantané : une illumination.
Extrait de « Au coeur de l’Amour » transmis par Hilaïhi 2012- aux Editions HELIOS
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