Après la catastrophe du vaisseau-mère : Pléiades
Vous devez comprendre que, depuis la catastrophe survenue au vaisseau-mère, les gens étaient condamnés à demeurer dans un environnement hostile. Ils souffrirent horriblement : la maladie, les empoisonnements, l’extrême chaleur et la difficulté à respirer étaient devenus leur lot.
L’équipement dont ils disposaient était inapproprié pour mener à bien une telle réalisation et, en raison de leur situation, ils n’étaient pas non plus aussi attentifs qu’il l’aurait fallu. Ils durent modifier quelque peu leurs procédures et apprendre plus rapidement tout en mettant aussitôt à profit l’expérience acquise au fur et à mesure. Les femmes se portèrent à nouveau volontaires.
Tous travaillèrent très dur et collaborèrent assidûment avec la lumière du cristal à imprégner les petits fœtus. La nouvelle race fut appelée Uluru, ce qui signifie « Présent de Dieu », et on peut affirmer que le Peuple des Étoiles a connut le succès car ce sont ses descendants qui résident sur la Terre aujourd’hui.
- Pourquoi, dans ce cas, me sens-je coupable?
- Vous n’allez pas tarder à obtenir la réponse.- Qu’en est-il de tous ces Etres-chats dont a parlé mon mari ?
- Une expédition avec des guerriers sirians et léonins fut mise sur pied. Son but était d’aller sur Terre et d’y exiger la réparation pour les abominations perpétrées par les reptiliens contre le vaisseau-mère et sa mission. Ces derniers eurent à répondre de leur comportement et, quoi qu’il vous en coûte, à en juger par vos remontrances d’hier, je dois vous dire qu’il n’y avait pas d’autre alternative que de les annihiler. Pour aussi cruel que cela puisse paraître, bien qu’ayant eu le choix, les reptiliens avaient pris la décision de renier leurs promesses ; une telle conduite leur avait fait perdre tout droit à la clémence.
Ces individus s’incarnèrent par la suite dans d’autres formes à partir desquelles ils reçurent assistance.- Et c’est John, mon mari d’aujourd’hui, qui dirigeait la mission?
- Oui, John était alors Himel, le commandant sirian.
Peu après l’arrivée de ses appareils à votre camp de fortune sur la Terre, il fut mordu à la cheville par un serpent, autre création des Reptoïdes, et le venin l’infecta rapidement. Sa lumière s’altéra au point qu’il en perdit ses pouvoirs. Les Léonins, de leur côté, se dispersèrent sur la Terre dans le but d’éliminer ceux qui agissaient à l’encontre des ordres Elohims. Les quelques reptiliens qui survécurent à leurs attaques allèrent se réfugier dans des cavernes sous la Terre.
Impuissant et immobilisé, Himel était en proie à la colère car il supportait difficilement de devoir laisser les Léonins prendre la direction de la situation. Pourquoi était-il devenu si vulnérable?
Sa fragilité le rendait confus et l’inquiétait beaucoup. Pour avoir appris à dépasser ces émotions que lui ne faisait que découvrir
- vous étiez sur Terre depuis cinq ans – vous et d’autres dans la communauté, étiez en mesure de lui venir en aide. Himel s’attacha beaucoup à vous, mon enfant, et vous vous aimiez l’un l’autre. Quand, leur mission achevée, les Léonins et les Sirians décidèrent de retourner chez eux, il choisit de demeurer ici, auprès de vous, par amour, et aussi parce que sa propre lumière avait tellement décliné qu’il n’aurait pas pu servir pleinement, comme par le passé, au sein de sa société. IL savait qu’il serait plus utile en restant sur la Terre. C’était néanmoins difficile à accepter pour le guerrier inné qu’il était, même si son rôle n’avait plus de raison d’être.- Quand vous dites que nous nous aimions l’un l’autre, insinuez-vous que nous avions des relations sexuelles? demandai-je.
- Vous vous aimiez et vous vous êtes consacrés l’un à l’autre également, cependant vous n’aviez pas de relations sexuelles. Himel était issu d’une race strictement mâle. Ils se reproduisaient par l’intermédiaire de ce que vous appelez le clonage, et pour lequel un ovule féminisé n’était nullement nécessaire. Il s’agissait d’un processus particulier créé par l’Esprit avec la permission de la Source, un acte hautement sacré. Imaginez une « fraction d’énergie » que l’on retire et que l’on copie.
C’est ce qui se pratiquait au sein de cette race exclusivement masculine. Dépourvus d’organes sexuels, ils expérimentaient cependant le plaisir dans différents aspects de leur corps. Il s’agissait d’une sensation d’élévation provoquant des fourmillements dans tout l’organisme, soit un effet comparable à un orgasme les connectant directement à la Source. Ce point est fondamental, j’aimerais que vous le compreniez, car l’expérience sexuelle sur la Terre et l’union qu’elle implique est en fait une manière de se relier à la Source par l’amour. C’est un merveilleux cadeau, le moyen le plus profond et le plus transcendant pour les petits Terriens de connaître et comprendre Dieu. A cet effet, la seule chose véritablement importante, voire essentielle, est de focaliser son attention sur le cœur et l’amour au lieu du corps physique.
Voilà une façon absolument merveilleuse d’entrer en contact avec la Source. Le sexe, tel que pratiqué sur la Terre ne relie pas à la Source si la volonté qui le motive est erronée. L’intention, mon enfant, est la clé de l’histoire.- Est-ce donc, dis-je en souriant, la raison pour laquelle, en dépit de la douleur, j’ai ressenti une sorte d’orgasme démesuré, une extase, en donnant le jour à mes bébés?- C’est pareil, en effet.
- Et en ce qui concerne le mariage entre vous et moi au temps de la mission, comment avons-nous eu des enfants?- Nos organes sexuels étaient situés dans le corps physique que nous habitions à ce moment-là. Nous avions l’aptitude nécessaire pour concentrer notre énergie sur ces organes reproductifs et avons ainsi créé des enfants en nous unissant dans l’harmonie, dans le désir et dans l’amour, bien entendu.
- Comment les bébés se sont-ils développés au sein de la mère des étoiles que j’étais alors?
- Le nouvel être grandissait à peu près de la même façon que le fait le fœtus chez la mère physiologique d’un Terrien. Sa croissance se déroulait à l’intérieur de sa propre petite chambre d’énergie, il était nourri par ses deux parents. Nous parlions tous les deux à la conscience qui devait investir l’embryon de l’enfant à naître.
Vous n’aviez pas de vagin comme en ont les femmes d’aujourd’hui. En tant que Pléadienne (ou Lyrienne), vous avez mené à terme notre premier enfant. Notre corps possédait une ligne allant du nombril jusqu’à la base du chakra de la colonne vertébrale qui, le moment venu, s’ouvrait naturellement et sans douleur, un peu comme une fermeture à glissière. L’enfant et son enveloppe amniotique étaient alors dégagés, placés dans un réceptacle spécialement prévu à cet effet, pour se développer jusqu’au moment approprié où l’enveloppe se briserait spontanément et libérerait le bébé.
Tel était l’aboutissement de millions d’années d’évolution.- Quand un bébé était retiré, il n’était donc pas prêt à naître?
- Loin s’en faut. Pendant qu’il grandissait dans son enveloppe amniotique et était alimenté par la lumière de la Source, quelques femmes de la Lyre veillaient sur lui. A l’abri dans son réceptacle, tel le poussin dans sa coquille, le petit choisissait lui-même le moment de sortir. Lors de la phase que je viens de décrire, il était visible de tous. Ceux qui prenaient soin du fœtus, dans une communication consciente, ne cessaient de lui adresser une lumière aimante. Le petit être naissait dans un état de croissance plus avancée que ceux auxquels vous donnez le jour aujourd’hui. Je dirais qu’il ressemblait plus à un enfant de quatre ou cinq ans.
- Qu’arriva-t-il lorsque nous fûmes projetés sur la Terre, privés de tout notre attirail technologique?
- Ceux de vos vaisseaux ayant échappé à la catastrophe disposaient de matériel adéquat car de nombreuses races possédaient déjà cette connaissance. Les méthodes que vous avez dû utiliser sur la Terre n’étaient pas exactement celles par lesquelles vous et moi avons produit nos enfants, mais vous aviez compris le processus : un ovule était prélevé sur la femme volontaire et intégré aux cellules des créatures singes bipèdes. Une force de lumière fertilisait l’ovule qui alors se divisait. Les difficultés concernant la réfrigération et l’indisponibilité d’autres équipements vous obligèrent à implanter sans attendre le petit embryon chez les mères des étoiles consentantes. La fécondation se pratiquait à la base de l’estomac à travers l’aspect « fermeture à glissière » de l’être. L’ovule y était maintenu et alimenté jusqu’à ce que le moment soit venu pour l’enfant de voir le jour.
En l’absence du matériel permettant la poursuite du processus évolutif de l’enfant, la mère devait continuer à le porter. Il naissait prématurément encore assez petit, mais en sûreté, et il survivait. Dans le cadre de l’expérimentation qui fut mise au point, certains ajustements s’avérèrent nécessaires. Les cellules étaient prélevées sur les grands singes bipèdes indifféremment dans diverses parties de leur corps ce qui avait pour résultat des comportements variables de la part des cellules en question. C’était une chose qu’il fallait comprendre et avec laquelle il était important de se familiariser. Le niveau vibratoire de la Terre altérait la progression de la cellule récemment introduite dans le petit embryon marquant ainsi des différences notables comparées à celles que vous connaissiez dans vos mondes d’origine.
Les survivants des étoiles commençaient à s’accommoder de ces nouvelles conditions. Des reptiliens qui, après avoir rejeté la hiérarchie reptoïde, vous avaient rejoints, cherchèrent refuge auprès de vous. Ils apportaient leur concours en vous communiquant de précieuses informations. Les premières tentatives, pénibles et laborieuses, ne donnèrent pas les résultats escomptés. Les essais toutefois se poursuivirent et, finalement, atteignirent l’objectif désiré : la création d’une nouvelle race apte à recevoir l’esprit/âme à l’intérieur de chaque petit être. Une fois formés, ils pouvaient alors naître sur la dimension de la Terre et vivre confortablement dans son atmosphère. Vous comprenez maintenant que je distille l’information graduellement de façon à ce que vous ayez une vision plus ample de l’ensemble du tableau. Je suis très satisfait que vous ayez réagi ainsi que vous l’avez fait, mais il est vrai que j’ai donné mon accord pour vous assister bien longtemps avant votre venue sur cette Terre et vous le savez.- Bien, soupirai-je, ce n’est pas aussi abominable que je le craignais. Je crois que je comprends, merci.- Je suis très heureux de vous avoir communiqué ce savoir et je pense que l’expérience est plus profonde que les mots quand elle entre en résonance avec votre connaissance intérieure.
Extrait de « Contacts Avec Les Pléiadiens : La Mission Du Rexégéna » recopié par Francesca – paru aux éditions Hélios par Valérie J. Barrow
Vos petits messages !