Orné de la tête d’un Hathor
Les Hathors jouèrent longtemps un rôle primordial au sein de l’école de mystères de l’œil gauche d’Horus. Quand bien même ils n’étaient pas natifs de la Terre, ils furent toujours là pour nous aider à développer notre conscience. Ils nous aimaient énormément, tout comme ils le font aujourd’hui encore.
Alors que notre conscience d’assujettissait de plus en plus à la troisième dimension actuelle, les Hathors disparurent finalement et ne purent continuer à nous enseigner comme ils le faisaient jadis. Mais puisque nous recommençons à nous développer ; il sera de plus en plus facile de communiquer à nouveau avec eux en toute conscience.
Il s’agit d’une race d’êtres qui vivent dans la quatrième dimension, sur Vénus. On ne peut pas les voir dans la troisième dimension, mais si l’on pénètre dans la quatrième, et plus spécialement dans ses sous-plans les plus élevés, on y découvre leur vaste culture. Ce sont les êtres les plus intelligents et les plus aimants de notre système solaire. En fait, leur civilisation est le quartier général ou le point focal de tout ce qui évolue autour de notre astre solaire. Quiconque entre dans notre système solaire depuis l’extérieur doit toujours obtenir leur permission avant de poursuivre sa route.
Les Hathors sont des êtres qui irradient un amour immense, celui-là même de la conscience christique. Ils peuvent émettre toute une série de sons pour communiquer et accomplissent de véritables tours de force avec le seul pouvoir de leur voix. Ils ont aussi des oreilles extraordinaires leur permettant de mieux capter les sons. Il n’y a pour ainsi dire aucun aspect sombre chez eux. Ce sont simplement de grands êtres de lumière purs et aimants.
Les Hathors sont très comparables aux dauphins. Comme vous le savez sans doute, ces derniers utilisent leur sonar à toute fin, et les Hathors, leur voix. Nous autres humains, nous créons des machines pour éclairer et chauffer nos bâtiments. Les Hathors, quant à eux, recourent aux sons par le biais de leur voix.
Il n’existe plus beaucoup de statues d’eux, plus spécialement de sculptures représentant leur visage, car les Romains, pensant qu’il s’agissait de mauvais esprits, se mirent à détruire toutes les images d’Hathors qui leur tombaient sous la main. Une sculpture se trouve à Memphis. Cette belle tête est perchée tout en haut d’un pilier de plus de douze mètres. De nos jours, le niveau du sol s’est élevé d’autant et a recouvert la presque totalité de ce pilier, dont seul le sommet, orné de la tête d’un Hathor, émerge (grâce à tout un travail d’excavation). Le temple dédié à la race des Hathors n’a été découvert que récemment en Egypte.
Physiquement, les membres de cette race sont très, très grands par rapport à nous. Ils ont une taille moyenne qui varie de trois mètres à quatre mètres quatre-vingt. Les Hathors ont aidé les gens sur terre pendant très longtemps, et presque toujours par le biais de leur amour et de leur incroyable maîtrise du son. Il existe une initiation en Egypte au cours de laquelle le son de la croix ansée est créé – c’est une des initiations dans la Grande Pyramide. Il s’agit d’un son continu que l’Hathor peut produire sans s’arrêter de respirer et qu’il peut laisser rouler dans sa gorge pendant plus d’une demi-heure, même jusqu’à une heure. On y recourt principalement pour guérir le corps ou rétablir l’équilibre dans la nature, un peu comme si l’on chantait le OM tout en continuant de respirer.
Les Hathors ont appris à faire ce son sans arrêter de respirer. Ils inspirent par le nez, faisant passer l’air dans les poumons et expirent par la bouche. Cette cérémonie d’initiation du son-de-le-croix-ansée était seulement une des nombreuses formes d’aide que les Hathors accordaient aux humains, et ceci, dans le but de les aider à retrouver l’équilibre dans leur vie. Ils restèrent sur la Terre pendant des milliers d’années pour aider l’humanité de cette manière.
Le fait de continuer à inspirer et à expirer alors qu’on produit un son continu n’est pas une pratique complètement inconnue de nos jours non plus. Tous les félins, autant que les aborigènes qui jouent du didjeridoo, savent comment s’y prendre. Ils utilisent un genre de respiration circulaire. On peut émettre un son continu pendant une heure tout en contrôlant le passage ou l’expulsion de l’air dans les poumons. En fait, ce n’est pas très difficile à apprendre.
Extrait de l’Ancien secret de la Fleur de Vie - Tome 2 – de Drunvalo Melchizédek
bonjour,
Je lis regulierement vos écrits mais svp, pourriez-vous mettre un fond blanc pour le confort de ma vue et donc un plaisir plus grand à la lecture? merci d’avance.
Merci de votre assiduité Sofia.
Cependant en ce qui concerne le fond blanc, il est aujourd’hui bien difficile d’y remédier, cela impliquerait de reprendre tous les articles pour les remettre en écriture noire… Beaucoup trop fastidieux au point de l’avancée de ce blog.
Désolée, j’aurais dû y penser avant.
Merci à vous !