La Cellule Conceptuelle et la foi négative
La cellule conceptuelle est la matrice de tout ce que tu es ici-bas et sur tous les autres plans. Elle est en quelque sorte la Source de toute chose. Elle porte donc tous les possibles manifestables dans les dimensions. Ce simple fait peut te permettre de comprendre que tu peux tout, absolument tout, et qu’il suffit de croire pour que la création correspondante se manifeste à tes yeux. Et puisque tu es la cellule conceptuelle, il n’est pas un instant de ta vie qui ne soit foi, qui ne soit croyance, qui ne soit créativité.
Tu t’étonnes de mes paroles et tu me rétorques que tu es en proie au doute, souvent ou de temps en temps. Je le sais, pourtant je répète que tout dans ta vie est un acte de foi ou de croyance, selon le terme qui te convient. As-tu jamais réfléchi à ce qu’est le doute ? Tu pourrais en écrire des pages, me relater bien des expériences vécues dans ce domaine. Et tes dix doigts te seraient insuffisants pour compter tes échecs, n’est-ce pas ? Cependant, je te le dis, je connais tous les instants de tes vies et je puis t’assurer que pas une seule fois tu n’as échoué. Bien au contraire, tu as toujours connu la réussite et toutes tes demandes ont été exaucées.
Car le doute, mon Ami, n’est rien d’autre que la foi négative… négative dans le sens où elle t’apporte des expériences qui ne te paraissent pas agréables ou qui ne sont pas à l’image de ce que tu désires. Pourtant, je viens de le préciser, toutes tes demandes sont exaucées. Comme la foi positive, la négative utilise le principe créateur : « Crois et tu verras ». Cela signifie que le doute est simplement l’expression d’une croyance, celle de la pensée que la réalisation de ton désir est impossible ou, au mieux incertaine. Et comme la pensée est créatrice et obéissante, elle t’apporte donc la non-réalisation.
Mais je dois m’étendre davantage car le doute est ton compagnon de vie. Il partage tous tes instants et tu écoutes volontiers ses conseils : « Tu vois, j’avais raison, te murmure-t-il parfois. Tu voulais cette maison et je t’avais dit qu’elle était trop belle pour toi ». Et comme effectivement tu ne l’as pas obtenue, ce qu’il dit devient pour toi une vérité : tu ne mérites pas cette belle maison. Et c’est valable pour tout. Tu as donc mis toute ta fois dans le doute. Tu lui obéis, tu réponds à toutes ses sollicitations et tout ce que tu fais, penses ou dis est vêtu de lui et tu erres sur un chemin qui te paraît sans fin. Et cette errance va bien au-delà de tes envies dans ton incarnation.
Tu es d’origine incréée, ce qui veut dire que ton esprit n’est pas né. Comme l’Incréé, tu n’as ni commencement ni fin. En d’autres termes, tu es immortel. Tu en as d’ailleurs fait l’expérience en vivant dans une même enveloppe durant des éons. C’était bien avant ton arrivée dans la troisième dimension, avant que tu décides d e passer sous le voile de l’oubli. A l’époque, tu te savais éternel. Mais depuis, tu as prêté attention aux propos de quelques personnages avides de pouvoir, ceux-là même qui inventèrent la mort. Comment ? en te faisant douter peu à peu de ton immortalité. C’est ainsi que, lentement, au cours de ce que tu nommes l’évolution, la mort est devenue pour toi une croyance, une certitude aujourd’hui, car tu en as connu bien des proches qui t’ont quitté pour aller dans la promesse d’un monde meilleur. Pour toi, il n’y a aucune autre solution possible : la mort est le destin de tous. En vérité, c’est parce que tu crois en elle que tu meurs, mon Ami. Tu en es si convaincu que le simple fait de te dire qu’en cette période d’élévation ascensionnelle tu n’auras pas à vivre ce phénomène, tes cheveux se hérissent sur ta tête et tu accuses mes messagers de mensonges. Libre à toi d’accepter ou de récuser mes propos, et libre à toi de vivre l’ascension par une élévation de ton corps physique dans la cinquième dimension ou par le passage habituel : le trépas.
Vois comme la foi, qu’elle soit négative ou positive, est puissante. La première a fait de l’immortel que tu es un simple mortel. Mais la seconde peut te rappeler ton éternité. Et ceci est valable pour tout ce que tu vis. Tes croyances créent ton monde : le vieillissement, la maladie, la mort, la souffrance, la solitude, etc… Mais aussi la joie, l’amour, le bonheur, le bien-être en soi. C’est seulement une question de choix.
Mon Ami, que choisis-tu ?
Extrait de ADONAI transmis par Hilaïhi 2012- - recopié par Francesca aux Editions HELIOS
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