La Science Intellectuelle des Atlantes

 

ramtha-02Il y a 35 000 mille ans, il existait un grand continent ; on l’appelait le continent de l’Atlantide. C’était la demeure des hommes à la peau rouge, entités à l’intellect superbe dont les connaissances de la superscience surpassaient de loin ce que votre communauté scientifique est à l’aube de découvrir de vos jours. Ces entités adoraient trois Dieu, tous des Dieux de l’intellect. Elles possédaient des vaisseaux qui se déplaçait en ligne droite, d’où l’importance de créer sur leur continent des sites d’atterrissage en divers lieux car la lumière ne suit pas la courbure de la Terre ; elle se déplace en ligne droite. Ces vaisseaux qui se déplaçaient sur la lumière allaient d’un point à un autre, car ils ne pouvaient pas se mouvoir le long d’une courbe. Cette science était due à l’intercommunication qui existait avec des entités d’un autre lieu, d’une autre étoile, si vous voulez. Bien que les vaisseaux des Atlantes aient été très primitifs, ils étaient néanmoins mobiles et pouvaient décoller. 

Les Atlantes communiquaient couramment avec d’autres formes de vie. A cause de leur technologie, ils commencèrent à adorer l’intellect et à oublier le grand pouvoir latent existant en eux-mêmes. Ils oublièrent qu’ils étaient Dieu. Pour parler en termes de temps, à chaque moment où vous détachez Dieu de vous-mêmes, le séparez de vous-mêmes, vous écartez de vous vos aspects divins et rendez Dieu inatteignable. La science intellectuelle devint la religion des Atlantes. 

Les Atlantes avaient des bases sur la Lune, ils avaient des bases sur Mars, la planète de la guerre comme vous l’appelez aujourd’hui. La raison pour laquelle la planète rouge est appelée la planète de la guerre est que les seigneurs de la guerre venaient de là pour faire la guerre aux colonies existant sur la surface de la Terre. Je ne parle pas d’armes primitives mais de vaisseaux qui se déplacent sur un rayon lumineux, qui se déplacent sur ce rayon, le transcendant et suivent sa trajectoire dans quelque direction que le rayon soit projeté. Ces peuples étaient si avancés technologiquement qu’ils entrèrent en guerre avec leurs semblables. La colonie qui demeurait sur le continent de l’Atlantide était donc en conflit avec la colonie qui demeurait sur la Lune. Et la colonie de l’Atlantide dirigeant un rayon laser sur le campement lunaire, détruisant son centre le plus puissant.  

Les Lémuriens du Pacifique étaient des géants – des géants. Je mesure moi-même plus de deux mètres cinquante dit Ramtha, mais certains de mes ancêtres mesuraient trois mètres cinquante ou quatre. C’était les grands Lémuriens. C’étaient des êtres hautement spirituels et leurs ancêtres venaient d’au-delà de l’Etoile polaire ; Ils n’étaient pas apparentés aux Atlantes, qui étaient plus petits et qu’on appelait les peaux rouges. Les Lémuriens avaient la peau couleur de cannelle – des êtres magnifiques, spirituels, ce qui signifie qu’ils possédaient toute la technologie, mais n’adoraient pas la technologie. Ils aimaient leur héritage. 

La Lémurie, la Mère patrie, Mu, était fort différente. C’était un paradis merveilleux avec ses feuillages, ses couleurs, ses teintes. Elle était encore protégée par une couche de nuages ; son tempérament égal faisait que la température était pratiquement la même partout, aussi loin que vous alliez vers le nord ou le sud, ce qui était propice à toute forme de vie végétale ou animale ; Le continent était comme un paradis. Le soleil ne fut jamais visible sur Mu car la couche nuageuse, les grands océans qui demeuraient dans les strates, diffusait la lumière ; ainsi, la lumière était diffuse. N’étant pas soumis à un rayonnement direct, tout prospérait et les soirées étaient comme un crépuscule éternel. 

La Terre entière était comme un jardin d’Eden, car la Terre entière avait des plantes tropicales ; Ce qui faisait défaut à ces deux civilisations y fut apporté de leurs patries et de leurs systèmes solaires respectifs, car tout pouvait pousser ici, sur la planète humide. Elle vivait dans une matrice de nuages et personne ne vit jamais le soleil à moins de voyager au-delà de la couverture nuageuse. 

Le Lémuriens, les Blancs, vivaient sous terre. Ils ne pouvaient vivre sur la surfe de leur continent car ils auraient été dévorés en grand nombre par les grandes bêtes qui fréquentaient la terre en ces temps-là. Ils bâtissaient donc des temples sur le sommet de très hautes montagnes ; là, ils pouvaient adorer dans les temples au crépuscule, c’est à dire le soir pour vous. Ils vivaient sous terre et leur système social tout entier commença à être fondé sur les communications à partir de perceptions extrasensorielles. Ils communiquaient par la pensée ; ils y étaient contraints. Ils ne possédaient pas les progrès de la technologie. Ils avaient seulement un grand Esprit car, vous voyez, les Lémuriens aimaient le Dieu Inconnu, ils révéraient le Dieu Inconnu ; c’est cela qu’ils révéraient. 

Les animaux commencèrent alors à envahir et à traverser les marécages des Amériques ; leur passage était devenu une menace pour l’Atlantide dont les terres étaient très sèches, humides, c’était de l’argile rouge ; les animaux commencèrent alors à traverser les déserts et les marécages de ce qui est aujourd’hui votre grand pays. Ils commencèrent à représenter une menace pour l’intégrité de la superbe Atlantide. Ce sont eux qui, de leur grande lumière perçante qui se déplaçait en ligne droite, brisèrent les stades au dessus de Mu ; quand ils dirigèrent la force de la lumière au-dessus des states de la Lémurie, celles-ci furent brisées et le déluge fut intense ; La couche nuageuse brisée, une chose remarquable se produit : lorsque les eaux se déversèrent et que la lumière directe du soleil se trouva exposée, les zones tempérées changèrent en un clin d’oeil car ce qui avait connu une température modérée sur le continent de la Lumérie dans sa totalité devin alors soumis à la lumière directe du soleil plutôt qu’à sa lumière diffuse. 

Lorsque les ondées se déversèrent, elles gelèrent immédiatement dans les régions septentrionales ; les océans qui étaient au-dessus de la Terre étaient si vastes que les eaux gelées créèrent instantanément des zones tempérées qui causèrent ce qu’on appelle votre Ere Glaciaire. Et en quelque chose comme dis minutes, les jungles tropicales de ce qu’on appelait jadis le Nord gelèrent. Les animaux qui vivaient là furent congelés en pergélisol et même les fleurs qu’ils avaient dans la gueule furent préservées. Tels furent les jours que connu Ramtha. 

En Lémurie, comme on l’appelait, une fois le gel commencé et lorsque les eaux commencèrent à fondre, le territoire de Mu fut recouvert. Il n’y eut pas de tremblement de terre ; C’était une vaste, énorme vallée avec des montagnes brumeuses qui perçaient les nuages, le lit parfait pour ce qui demeurait à l’extérieur de la Terre, l’océan. Tels furent les événements. Toute chose vivante fut prise. Là où existaient les grandes cités de l’Atlantide au Nord, rien ne survécut, tout fut recouvert. 

Lorsque tout ceci se produisit, le soleil fit son apparition pour la première fois jusque dans les régions les plus éloignées du monde. Certains endroits étaient encor grandement recouvert par les nuages ; C’est alors que les scientifique purent mesurer le temps selon ce qu’ils appellent la radioactivité des os ou d’un quelconque vestige – ce qu’ils appellent tune méthode de datation – parce que le soleil commença alors à pénétrer toute vie animée de ce que l’on appelle ses propulseurs de lumière, assaillant directement de radioactivité ce qu’on appelle cette planète. Les scientifiques ont donc pu dater votre plan selon la lumière qui toucha les fossiles qui furent découvert. Mais, entité, votre plan-ci existait avant ces événements, il y a plus de cinq millions et demi d’années. 

Les Lémuriens devinrent donc les pèlerins pour les illustres habitants de l’Atlantide ; Ces derniers les méprisèrent ; Savez-vous pourquoi ? Parce que la science intellectuelle était leur Dieu. ils considéraient les enfants de Lémurie comme dépourvus d’âme. Ils ne possédaient pas ce qu’on appelle la compréhension cosmique des rapports des gaz et de la lumière. Du fait qu’ils ne possédaient pas la mécanique intellectuelle, ils furent bientôt réduits à l’esclavage. Et cependant, ils arrivaient en masse à Onai. 

Un enfant lémurien d’alors était considéré moins qu’un chien dans la rue. Un chien dans la rue était l’objet de plus de respect qu’un enfant innocent né Lémurien. Les Atlantes les haïssaient et les rendirent bientôt victimes de leurs abus. Les actes de brutalité devinrent chose courante – femmes violées, enfants brutalisés, battus, sur lesquels ils urinaient ou crachaient. Les abus perpétrés contre les Lémuriens étaient des spectacles habituels dans les rues d’Onai. Que firent-ils d’eux ? Ils les mirent dans les champs. La technologie perdue dans le Nord, la vie devenait primitive dans le Sud. 

C’est ainsi que je naquis Lémurien et fis pèlerinage vers Onai avec ma mère et ce qu’on appelle mon frère bien aimé. Ma mère fut prise et abusée par de nombreux hommes, de nombreuses fois. Elle fut l’instrument de leurs abus. Et ma mère fut enceinte d’un enfant dont le père était inconnu. Et comme elle avait été fécondée, elle fut battue, abusée et jetée aux hyènes pour être dévorée. Le frère de mon être et moi-même sauvèrent ce qu’on appelle notre mère bien-aimée et bâtirent ce qu’on appelle une cabane. Nous nous mimes à voler dans les rues, à ramasser les graines dans les champs et nous cachâmes notre mère ; Cependant, à cause de tous les efforts qu’elle dut faire pour donner naissance au bébé qui avait grandi dans son ventre, hélas, elle mourut de faim et l’enfant, le petite fille qui se nourrissait à son sein, mourut aussi. 

Ce qu’on appelle l’amour et la blessure et l’avilissement de ma famille firent croître en moi une immense haine. Ce qu’on appelle en vérité la maison de ma maison et de l’enfant qu’elle nourrissait à son sein devenu desséché fut incendié. Alors que la fumée emplissait en vérité la vallée entière de sa suave puanteur, je m’interrogeai à propos de Dieu Inconnu de mon peuple ; j’étais empli de haine envers lui car, vous voyez, un enfant tient à ce qu’il aime ; un enfant essaie de faire la part de ce qui est juste ou injuste. Comment un grand Dieu qui régnait dans la grande nuit pouvait-il créer les monstres qui haïssaient tant mon peuple et moi-même ? Qu’avait donc fait ma mère pour mériter la mort horrible qu’elle avait endurée ? 

J’avais 14 ans, ou presque, selon le calendrier des années solaires de cette Terre, quand moururent ma mère et ma petite sœur et quand mon frère fut enlevé par un satrape, mutilé et molesté. Je mis le feu au logis de ma mère. Je brûlai ma mère et ma petite sœur qui étaient mortes de faim. Et moi qui étais considéré moins qu’un chien dans la rue par les intelligents Atlantes – Ma mère, une servante – Elle était belle, grande, royale et emplie d’autorité – avait servi un petit, tout petit homme de descendance atlante qui n’avait jamais vu les gloires de ses ancêtres (hommes et femmes). Il lui avait suffi de naître sur une planète ancienne éloignée d e sa propre patrie. Il n’avait jamais connu les aventures que ses ancêtres avaient connues pour conquérir et venir sur cette planète qui vacille de façon irrégulière. 

Je brûlai donc ma famille et versai des torrents de larmes. Je gravis alors la montagne  pour mourir, mais avec la détermination de tuer le Dieu qu’aimait ma mère.                                  

  retranscrit par Francesca

 

Ramtha  Extrait du Chapitre : « Les dieux nés sous forme humaine » aux Editions AdA.

Une Réponse à “La Science Intellectuelle des Atlantes”

  1. JACKIE dit :

    Bonsoir et merci pour le travail que vous effectuez …. Ce soir , je voudrais vous demander comment me procurer le livre
    « Les dieux nés sous forme humaine » de Ramtha.. Je n’ai en effet pas pu trouver ce livre ni aux éditions AdA , ni chez amazon. ….Merci de bien vouloir me répondre, bien chaleureusement , Jackie

Laisser un commentaire

la révolution arabe |
TOUT EST Là !!!!! |
histoire de mes histoires |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | My head
| Existence Amère
| Douces sensations d'un jour...