Comment fonctionne votre esprit
TOUT EST DANS L’ATTITUDE par RAMTHA
Vous vous réveillez un beau matin, l’air est frais et beau, le soleil perce la brume épaisse de ses rayons d’or, les oiseaux du matin vaquent à leurs occupations habituelles alors que vous êtes là, allongé dans votre lit et, soudain, l’idée d’aller travailler devient insupportable. Combien d’entre vous ont jamais ressenti cela ? Oui, bien sûr.
Eh bien, pour l’instant, disons juste que, plus vous pensez à quel point vous trouvez cela insupportable d’aller travailler, plus votre corps montre de réels signes de fatigue. Combien d’entre vous ont fait l’expérience de cette seconde réaction, se sont sentis réellement fatigués? Votre corps ressentit la fatigue et, alors qu’il était envahi par la fatigue, vous vous êtes dit » Je suis fatigué » et, alors que vous disiez » Je suis fatigué « , la fatigue se fit sentir encore davantage. Combien d’entre vous se souviennent de cela? Ce que vous dites alors, c’est: » Je ne me sens pas très bien aujourd’hui. » Donc, plus vous pensez à quel point vous ne vous sentez pas bien, plus vous commencez à vous sentir mal. Combien d’entre vous ont eu cette expérience? Oh, oui! Vous vous mettez alors à vous tâter la gorge, ici, et puis vous avalez un bon coup pour vous assurer que tout va bien et, mince alors, vous avez comme le sentiment que quelque chose ne va pas. Vous vous levez alors et allez devant le miroir; vous tirez la langue et regardez tout ce qui pousse dessus aussi profondément que vous le pouvez. Combien d’entre vous ont fait une chose pareille? Et alors, soudain, vous tirez la conclusion que vous avez une angine. » Oh ! Je ne peux pas aller travailler maintenant. » Vous appelez alors votre employeur et dites: » Je me suis levé ce matin et je suis tellement malade. » Voyons, avant d’appeler, vous n’étiez pas si malade que cela mais, maintenant que vous y pensez et que vous lui dites la vérité, vous allez réellement de plus en plus mal. Combien d’entre vous ont eu une telle expérience? » Eh bien, il paraît qu’il y a un virus qui traîne par ici. C’est cela; je crois que j’ai attrapé ce virus. »
Eh bien, ce qui se passe, c’est que, c’est vrai, vous ne vous sentez pas très bien – et honnêtement, vous ne vous sentez pas bien – et puis vous prenez une petite tasse de thé et un peu de confiture et vous pouvez à peine avaler. Vous retournez alors au lit et vous vous endormez. Vous vous réveillez alors, oh ! à peu près à l’heure où la circulation est meilleure, vous vous réveillez et vous vous sentez un peu mieux. Combien d’entre vous ont vécu cela? Au fur et à mesure que la journée s’avance, vous vous êtes senti mieux? La façon dont vous vous êtes rétabli a été tellement remarquable que vous êtes même allé dehors, vous avez fait deux ou trois choses dans le jardin, vous avez téléphoné à votre famille, vous avez traîné un peu, vous savez, des choses comme cela. Cela vous semble-t-il familier? Votre corps a-t-il réagi à votre volonté? Oui ou non? Combien d’entre vous sont d’accord? Absolument.
Une autre petite situation maintenant: quelqu’un vous a déçu. Bien sûr, les gens vous déçoivent toujours parce qu’après tout vous les tenez dans une certaine estime. Ce qui est intéressant à propos des gens dans votre vie, c’est que vous ne connaissez jamais réellement les gens dans votre vie. Vous ne connaissez que ce qu’ils représentent pour vous dans votre vie; vous ne les connaissez jamais réellement. Ce sont des miroirs pour vous; ils reflètent des aspects de vous-même. C’est la raison pour laquelle ils sont dans votre vie. Vos ennemis mesurent cet aspect de vous-même qui n’est pas très gentil. Un ennemi, c’est cela. Vous voyez, si vous aimiez votre ennemi, il n’existerait pas d’ennemi. Mais ce n’est pas ce que vous faites; vous ne les aimez pas; vous les méprisez. Cela doit donc venir de vous, car vous ne pouvez voir dans la vie que ce à quoi vous êtes égal.
Souvenez-vous, vous créez la réalité, n’est-ce pas? Et, tous les jours, dans votre inconscience, vous pensez; c’est ici que cela se trouve et, tous les jours, c’est ce qui réaffirme votre vie. Si vous cessez de penser, vous mourez. Ainsi, tous vos amis, la condition dans laquelle vous aimez les voir est ce qu’ils représentent en vous. Vous ne les connaissez réellement jamais. Vous ne connaissez que ce que vous êtes capable de connaître de vous-même et c’est ainsi que vous les voyez. Combien d’entre vous comprennent? Les choses sont ainsi.
Donc, quand je dis que les gens vous déçoivent, eh bien, nous comprenons maintenant pourquoi, parce que, mon Dieu, les gens ont un esprit qui leur est propre. Vous ne le saviez pas, n’est-ce pas? Ils ont un esprit à eux. En outre, ils pensent parfois différemment de la manière dont vous pensez. Épouvantable, n’est-ce pas ? Et quand ils se comportent comme eux-mêmes et commencent soudain à penser d’une façon à laquelle vous n’êtes pas accoutumés, vous êtes choqués par leur comportement et déçus. En réalité, maîtres, ils ont toujours été ainsi.
Ainsi donc, un jour, quelqu’un vous choque. Il fait quelque chose que vous n’approuvez pas. Souvenez-vous que l’approbation provient de cette personnalité dans le cerveau qui ne peut s’empêcher de tout juger – qui accepte et rejette – donc, jusqu’ici, vos amis ont fait partie de la catégorie de ce qui est approuvé, car vous approuvez leur manière d’être du fait qu’ils sont une partie de vous-même. Et soudain, un jour, ils font quelque chose qui ne vous plaît pas. Votre cerveau et votre personnalité disent: » C’est vraiment trop. » Ce qui se passe alors, le restant de la journée, vous pensez à cette personne et peut-être qu’il ne s’agit que d’une toute petite chose qu’ils ont faite. Il suffit d’une toute petite chose par laquelle ils ne sont pas la réflexion de vous-même mais seulement eux-mêmes.
Ainsi donc, au cours de la journée, votre cerveau commence à les soumettre à un code. Quand je dis un code, je veux dire qu’il commence à les relier à l’autre côté du cerveau qui contient toutes les sottises existant dans votre vie que vous n’aimez pas. Votre neurone se met bientôt à traverser le pont pour aller déterrer des ordures. Et vous voilà bientôt à relier vos amis aux parties de votre cerveau que vous n’aimez pas. Autrement dit, vous faites une montagne de rien. Combien d’entre vous comprennent? Ainsi, quand arrive la fin de la journée, vous êtes totalement frénétique. Et vous êtes tellement incapable de vous contrôler que vous appelez tous vos bons amis pour leur parler de votre ami devenu mauvais.
Combien d’entre vous ont fait cela? J’ai raison ou pas, qu’en pensez-vous ? Vous l’avez tous fait. Donc, à la fin de la journée, non seulement avez-vous gâché votre journée à cause de quelque chose que quelqu’un a fait et qui n’a pas été de votre goût, mais vous avez commencé à réunir des forces contre cette personne et à trouver d’autres personnes qui soient d’accord avec vous; exact? Ainsi donc, cette nuit-là, lorsque vous allez au lit, vous êtes troublé, vous n’êtes pas heureux, vous faites de mauvais rêves et, quand vous vous réveillez le matin, c’est même encore pire.
Et puis, quelqu’un vous appelle et dit : » Eh bien, tu sais, je ne voulais pas te dire ça sur un tel, mais je vois que les choses sont maintenant au grand jour et je peux te dire quelque chose d’autre à son sujet. » Vous savez ce qui se passe toute la journée ? Vous entretenez des pensées de haine envers quelqu’un qui ne les mérite pas. Vous créez haine, méchanceté et malheur sur un aspect de cette personne qui n’était pas vous-même et avec lequel vous n’étiez pas d’accord mais finalement, par la manière dont vous y réagissez, vous les cataloguez dans votre propre cerveau comme étant des aspects de vous-même.
Autrement dit, personne ne veut jamais considérer l’étendue de sa propre méchanceté, de sa colère, de son égoïsme, de son arrogance et du fait qu’il est centré sur lui-même, jamais. Aucun d’entre vous ne le veut. Vous ne voulez pas que quiconque vous dise que vous êtes une entité emplie de haine, méchante, jalouse, colérique, malveillante et vindicative. La vérité est pourtant qu’à la fin de la deuxième journée, c’est exactement ce que vous avez fait. Ce que vous avez créé en pensée, vous l’êtes devenu, n’est-ce pas? En effet, vous ne pouvez penser à ces choses à moins qu’elles ne soient qui vous êtes.
Et voilà maintenant que l’agitation monte. Et alors que l’agitation va bon train, la personne qui vous a déçu découvre ce qui se passe et elle est offensée, car elle ne comprend pas ce qu’elle a bien pu faire de mal. Et plutôt que – plutôt que – de se diriger vers la compréhension, vous êtes le genre à tenir à votre colère, car elle a été attisée en vous émotionnellement.
Elle est maintenant en vous. C’est maintenant votre réalité et il n’est pas si facile de la jeter par la fenêtre. Ainsi, plutôt que de comprendre, vous avez du ressentiment. Ainsi donc, les jours suivants, il se trouve que la même chose vous arrive. Alors que vous agissiez de cette manière envers cette autre personne, quelqu’un d’autre qui vous regardait n’avait jamais vu ce côté de vous. Cette personne commença donc à vous faire exactement ce que vous avez fait à cette autre personne et maintenant… Le monde devient alors fou. On vous met au ban de la société, on vous blâme, on parle de vous, on vous met tout sur le dos et on vous cloue sur la croix; et vous sentez que vous ne méritez rien de tout cela. En réalité, vous le méritez, car vous avez travaillé dur pour créer une telle réalité. Comprenez-vous? Combien d’entre vous comprennent ? Qu’il en soit ainsi.
…
Tous ceux que nous rencontrons ne sont-ils pas ce que nous sommes? Si nous commençons à avoir une plus grande estime de nous-mêmes, ne serait-il pas alors dans notre propre intérêt d’être capables de voir le plus grand bien en tous et de trouver Dieu en eux si nous le cherchons en nous-mêmes? Combien d’entre vous seraient d’accord? Absolument. Nous sommes tous dotés de l’Esprit divin – tous. Peu importe qui 1 ils sont. Même la pire entité du monde possède Dieu en elle; elle n’est pas dépourvue d’âme. Si nous nous embarquons dans une vie qui nous montre ce que nous voulons voir de nous-mêmes, comment cela nous sert-il? Maîtres, comment cela nous sert-il? Au lieu de trouver ce qu’il y a de pitoyable dans les gens, nous cherchons Dieu en eux. Au lieu de chercher ce qu’il y a de mal dans les gens, nous cherchons le bien commun dans les gens. Comment cela nous sert-il ? Tournez-vous vers votre voisin et dites-lui.
L’attitude porte en elle-même sa propre récompense.
Souvenez-vous de cela. L’attitude porte en elle-même sa propre récompense et cette récompense est juste. C’est ce que j’appelle la vraie justice. Si, à partir de ce soir, nous choisissons de nous voir comme un Esprit divin, portant le vêtement de l’humanité – si, ce soir, nous disons donc: » Je peux approcher toute personne et toute chose dans ma vie de deux manières: je peux tout voir dans ma vie comme l’aspect de mon humanité, ce qui est ennuyeux et soumis à la polarité ou bien je peux commencer à voir tout comme l’aspect divin de moi-même et le traiter comme tel « . Si vous choisissez donc, ce soir, d’élire, de voir toute chose dans votre vie comme une réflexion du divin en vous parce que c’est ce que vous voulez devenir, ce choix vous récompensera justement car toute personne avec laquelle vous interagirez à partir de ce soir, toute situation dans laquelle vous tendrez pour le plus grand bien, tout jugement que vous étiez jadis prompt à porter, si, au lieu de cela, vous cherchez à comprendre et à voir la beauté en chacun, à voir la divinité en chacun, réagissant avec compassion et gentillesse, si vous faites cela, non seulement vous vous récompensez vous-même en devenant plus grand que votre passé mais votre récompense tient au fait que cet acte signifie que l’énergie du corps s’élève des trois premiers sceaux (la sexualité, la souffrance, la manipulation) au quatrième centre dans le corps (l’amour inconditionnel). Si vous commencez à faire monter l’énergie qui exprimait jadis haine, amertume, jugement et arrogance hors du troisième centre et qu’elle commence à se déplacer grâce à des actes de bonté, de gentillesse, de tendresse et de compréhension, votre énergie atteint le quatrième centre.
Ceci signifie que vos bandes font circuler la conscience du quatrième plan jusqu’à la base du cerveau. Si ceci se produit, votre réalité, que nous appelons votre vie dans sa totalité, devient alors grandement modifiée. Alors que vous étiez jadis abject, ne démontrant aucun respect même envers vous-même, vous commencez à découvrir que les gens gravitent vers vous. Beaucoup de gens vont vous éviter mais beaucoup d’autres vont graviter vers vous. Où n’existe aucune polarité mais seulement compréhension, ce que vous créez dans votre vie n’est pas la polarité mais l’unité et l’union totale. Tout ce qui vient à vous sera égal à cette attitude qui résulte de vous-même et à partir de laquelle vous vivez chaque jour.
Ceci signifie que vous ne réussirez plus jamais, plus jamais, dans la vie. C’est ce que cela signifie. Vous devriez savoir que la réussite est le résultat de l’échec. À la racine de la réussite existe l’échec. Et je devrais vous dire que la racine de tout échec est la réussite. L’un n’existe pas sans l’autre. Comprenez-vous? Non seulement vous n’allez plus jamais, jamais, échouer dans aucune de vos entreprises mais vous ne réussirez jamais. Que reste-t-il donc? Vous voyez, la réussite – la réussite – est issue de l’échec. Lorsqu’une personne veut réussir, ce qu’elle dit réellement est qu’elle est un échec. La racine de sa réalité est l’échec, ce qu’elle crée partout autour d’elle. Plus une personne veut réussir, plus le risque est grand et plus sa chute est profonde car c’est ainsi qu’elle voit les choses. Réveillez-vous. Comprenez-vous?
Lorsqu’une personne réussit, quelle est la chose dont elle est le plus terrifiée? D’échouer. Combien ont vendu leur âme pour demeurer sur le haut du pavé? Vous comprenez? C’est un piège. Les entités qui font monter leur énergie jusqu’au quatrième sceau ne réussissent ni n’échouent jamais ; elles sont simplement. Tout ce qu’elles touchent est de l’or – tout, ce qui n’est pas réussir mais créer. Comprenez-vous ? Combien d’entre vous comprennent la différence? Tournez-vous vers votre voisin et expliquez brièvement.
Donc, comment un état d’être peut-il être sa propre récompense? Parce que le fait d’être plus grand que votre passé est une récompense. Lorsque vous vous coucherez le soir, vos rêves ne seront pas troublés. Lorsque vous vous réveillerez le matin, vous ne serez tracassé par aucune culpabilité, aucune souffrance et ne serez aucunement hanté par votre passé. Vous ne vous soucierez pas du fait que quiconque pourrait vous attraper ou si le cosmos va vous rendre votre récompense parce que cela ne vous tracasse plus. Pourquoi ? Parce que vous n’avez fait de mal à personne, causé de tort à personne. Toute cette attitude, vous l’avez abandonnée. Ce sont les trois premiers sceaux à l’œuvre; la racine en est la survie. Vous avez totalement abandonné cela.
Dans votre profonde sagesse, la façon dont les gens se comportent à votre égard est sans importance. Seule importe la façon dont vous vous comportez à leur égard. Ceci est ce qu’on appelle récompense personnelle, amour de soi, respect de soi et noblesse personnelle. Lorsque le monde réclame la justice et que vous devez faire une pause pour regarder la situation, si vous comprenez que la justice la plus grande que vous puissiez exercer est le pardon, si vous en faites preuve, si vous voyez que tout est finalement pour le meilleur et lâchez prise, qu’importe ce que pense le monde ? Vous avez agi conformément au respect et à l’amour de vous-même.
Faites aux autres comme vous voudriez qu’ils vous fassent. Ce que les autres nous font est sans importance; c’est ce que nous leur faisons qui est important. C’est cela qui devient le créateur ultime. Et, après un certain temps, vous connaissez cette joie que vous avez recherchée toute votre vie. On ne peut jamais trouver la joie dans les trois premiers sceaux. De plus, c’est un peu comme piéger un mari et une femme grâce à la luxure. Vous ne pouvez vivre l’un sans l’autre et vous ne pouvez pas sortir du lit. C’est la luxure, c’est un magnétisme chimique. Lorsque cela commence à décliner et que la fatigue s’installe, lorsque vous devez regarder votre vie, les choses ne sont pas tout à fait comme auparavant. Les personnes qui se marient parce qu’elles sont affamées sexuellement et qui ne pourraient pas vivre sans l’amour de cette autre personne, une fois la fleur de la passion passée, le monde réel s’installe. Nous sommes alors irrités et emplis de ressentiment.
Les personnes qui grandissent spirituellement sont maîtres de leur passé, ce qui signifie que leur passé n’existe plus pour elles. La meilleure manière que je connaisse pour vous le dire est que la plupart des gens ici ne connaissent jamais la joie car ce qu’ils recherchent toujours dans une relation amoureuse, c’est ce qui ne va pas, ce qu’ils recherchent toujours dans une amitié, c’est ce qui ne va pas et ce qu’ils recherchent toujours dans la vie, c’est ce qui ne va pas parce que c’est ainsi qu’ils ont été élevés. La joie est donc éphémère et toujours liée à la trahison.
Lorsque vous abandonnez votre passé, ce qui signifie que vous cessez de vous y référer – votre mère ne vous doit rien, votre père ne vous doit rien, vos ennemis ne vous doivent aucune excuse quelle qu’elle soit et vos enfants ne vous doivent aucune excuse non plus, comme cette personne qui a abusé de vous quand vous étiez jeune. Laissez-les tomber afin de pouvoir être libre. Cela vous semble-t-il logique ? Laissez-les tomber. En faisant cela, en leur pardonnant, vous devez vous dire à vous-même, comme apprend à le faire un vrai maître dans cette école: » En regard de toute l’éternité, cela vaut-il la peine de maintenir ce ressentiment et de perdre le royaume des cieux? Cette personne vaut-elle que je meure et me réincarne afin de payer une dette ici ? » Cela paraît un peu différent quand vous placez les choses dans cette perspective, n’est-ce pas? Qui dans votre vie vaut la peine que vous mainteniez regret, angoisse, souffrance, chagrin, trahison, ressentiment, abandon? Personne.
Réfléchissez. Vous pouvez avoir le royaume des cieux. Qu’est-ce que cela implique? Cela implique que vous obtenez le pouvoir de manifester quoi que ce soit et tout ce que vous vous appliquez à manifester, que vous pouvez manifester une richesse plus grande que le nombre de zéros que vous êtes capable d’aligner, que vous pouvez redonner la jeunesse à votre corps, que vous pouvez guérir le cancer de votre corps. Vous pouvez être une personne libre, non perturbée par les cauchemars, non encombrée par les responsabilités. Mettons maintenant cela en perspective. Que préféreriez-vous, tous ces zéros ou la trahison? Tournez-vous vers votre voisin et répondez à cette question.
Extraits de Une réflexion du maître sur l’histoire de l’humanité : la redécouverte de la perle de sagesse ancienne, p. 309 … – RAMTHA aux Editions AdA 2007
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