L’AME SŒUR JUMELLE D’ISIS
L’entité du nom d’Isis était ce qu’on appelle l’âme sœur jumelle de celui qu’on appelle Osiris. Tous deux s’embarquèrent sur ce plan et, grâce au pouvoir qui émanait entre eux deux, ils établirent ce qu’on appelle la loi souveraine, même en ce qui concerne la prêtrise. La prêtrise les méprisait non seulement parce qu’ils étaient des Pharaons ailés (peuples de femmes) de ce qu’on appelle le passé, mais aussi parce qu’ils possédaient la faculté de voir, de connaître et de comprendre ; en plus de leur grand pouvoir, ils possédaient ce qu’on appelle la compassion.
En règle générale, les prêtes maintenaient l’ordre parmi leurs disciples grâce à la peur, la pratique d’exercices rigoureux ou une loi changeante, pour ainsi dire. Quant aux Pharaons ailés, entité, ils ne pratiquaient aucune de ces choses là et, bien que possédant un pouvoir absolu, ils possédaient également une compassion absolue. C’est pourquoi, les gens adoraient Isis et Osiris.
Osiris, en vérité, avait une barbe magnifique, tressée de façon élaborée et entrelacée par celle qu’on appelle Isis à l’aide de ce qu’on appelle du lapis-lazuli et de ce qu’on appelle de la malachite pour orner sa magnifique apparence. Il s étaient si beaux, entité, que les fleurs s’épanouissaient sur leur chemin, ils étaient en effet l’un dans l’un, pareils l’un à l’autres homme / femme / Dieu.
Alors que les Pharaons ailés contrôlaient en vérité ce qu’on appelle le territoire grâce à la compassion, les Jours de Fêtes qu’ils avaient institués célébraient en vérité le Dieu jubilant de la lumière, le soleil ; le soleil représentait ce qu’en vérité on appelle l’homme individualisé, comme sils l’enseignaient en toute vérité. Ce faut une conspiration de ce qu’on appelle les membres de la prêtrise des « nomes » (province de l’Egypte ancienne), comme on les appelle, qui mirent à mort ce qu’on appelle l’entité Osiris. Ce dernier leur permit de commettre cet acte, car il ne les terrasserait pas pour la vengeance qu’ils perpétraient contre lui.
Ce fut Isis, en vérité – après que ce qu’on appelle les os furent placés dans un coffre et jetés dans ce qu’on appelle un fleuve que vous nommez le Nil dont les eaux, entité, dissiperaient à jamais l’essence de son être – ce fut cette femme qui prit les os dans ce qu’on appelle en vérité le coffre, os qu’un arbre avait préservés ; elle les assemblé, pria et leur fit des incantations ; elle se coucha directement sur ces os, jusqu’à ce qu’elle devienne Osiris / Isis / Dieu en un.
L’entité qui naquit de cette union n’était ni une entité séparée ni un enfant ; Ce fut elle qui, étant devenue Dieu/homme/femme, devin en vérité le gouvernant, pour être finalement renversée plus tard dan son existence par ce qu’on appelle la prêtrise. Sa divinité était éminente, car aucun esprit de vengeance ne l’incitait ni à la conspiration ni à la haine contre ses assaillants. C’est pourquoi on se souvient d’elle et pourquoi ils sont oubliés.
Le Dieu Horus est un Dieu ailé lui aussi qui obtint sa célébrité du fait d’Isis. Vous pouvez en prendre note pour faciliter votre compréhension du passé de ce qu’on appelle un peuple remarquable et magnifique.
Les Pharaons ailés, entité, Isis et celui qu’on appelle en vérité Osiris avaient la faculté d’entrer ans ce qu’on appelle un état semblable au sommeil et de quitter alors leur enveloppe charnelle pour aller où ils le souhaitaient. Cela exigea de longues et rigoureuses années de pratique, à partir de l’époque où ils étaient frère et sœur, pratique qui leur permit d’atteindre un espace de pureté en permettant la réalisation. Plus tard dans leur existence, après de longues années à laisser leur corps dans la solitude, ces entités pouvaient en vérité se transporter de lieu en lieu. On disait qu’elles étaient ailées parce qu’elles prenaient leur envol, comme le fit plus tard le Dieu Horus.
Ce qui est important dans cette vie n’est ni l’or, ni les relations, ni la célébrité, ni la beauté, qui sont des illusions. Ce qui est important est que la seule réalité qui existe depuis votre compréhension est vous-même. Vous ne savez pas si elle, ou lui, ou elle en vérité, ou n’importe qui d’autre ici, existe mais seulement vous qui ressentez, car vous ne pouvez pas ressentir pour eux. C’est ce qui dénote une volonté souveraine. Vous ne pouvez ressentir que pour vous-même ; ceci est par conséquent la seule réalité de compréhension ce qui apporte foi à la vie. Lorsque vous verrez cela depuis une perspective e tune compréhension plus vastes, vous n’aurez pas les peurs dues à l’insécurité que vous avez et vous ne chercherez plus dans les autres votre propre satisfaction. Je vais agir en ce sens pour vous immédiatement.
Qu’il en soit ainsi.
Ramtha
retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/
Extrait du Chapitre : « L’étape suivante de la création » aux Editions AdA.
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