LA VERITE PROFONDE DE LA VIE HUMAINE

 

164914_589010911123859_1592587316_nLorsque nous parlons du début de la vie humaine, les stades de développement nous permettent de voir facilement pourquoi il existe autant d’opinions et de points de vue différents. La vérité profonde, c’est que le début d’une vie humaine est un processus plutôt qu’un événement>. La vie commence en tant que vie. L’humanité ne peut pas encore créer de la matière vivante à partir d’une matière qui ne l’est pas. Voyant ainsi ce qui se produit dans l’utérus, il est évident que nos cellules sont « vivantes » d’une façon différente à chaque stade du développement.

L’essence vitale du spermatozoïde paternel et de l’ovule maternel contient respectivement la moitié du matériel vivant nécessaire à la formation d’un nouvel être. Quand le spermatozoïde et l’ovule se rencontrent pour former « l’un » de nous, la premières cellules créée par leur union correspond à la définition biologique de la vie en général. Nous sommes donc définitivement vivants  partir de la première cellule de notre existence. Cependant, la source de la controverse porte moins sur la vie des cellules que sur le moment où nous acquérons les qualités que nous considérons comme humaines. C’est ici qu’une connaissance claire de ce qui se produit dans l’utérus et du moment où cela se produit peut nous être utile.

Tandis que les scientifiques travaillent fort pour résoudre le mystère de ce qui active le code génétique, il ne fait aucun doute que cela se passe au stade octocellulaire ; c’est durant cette phase du développement (le stade de l’expression génique embryonnaire) que nous acquérons les caractéristiques héritées de nos parents, les traits renfermant le potentiel de notre future existence. En cette matière justement, une vision unifiée de notre monde pourrait nous procurer une compréhension que ne peut nous fournir la vision isolée d’une seule discipline scientifique. Nous ne pourrions pas bénéficier d’une transgression des frontières traditionnelles qui ont toujours isolé les diverses sciences.

Des découvertes récentes en physique quantique nous démontrent, au-delà de tout doute raisonnable, que nous sommes entourés par un océan d’énergie vivante. Cela veut dire que nous ne pouvons séparer la vie de l’énergie qui l’entoure. Elles existent conjointement. Elles sont en interaction. C’est par cette interaction que nous faisons l’expérience de la vie. L’adoption d’un mode de pensée holistique est peut-être essentielle pour comprendre ce qui se passe lorsque survient l’activation de notre programmation génétique au stade de l’expression génique embryonnaire, et voici pourquoi.

Le champ dans lequel nous baignons – que nous l’appelions Divine Matrice, Esprit Divin ou simplement le Champ – remplit « l’espace vide » entre les choses. La biologie moderne affirme aussi que ce champ fait partie de l’ »environnement » qui entoure les êtres vivants. Il s’agit là d’un concept important quant au moment du début de la vie humaine et de ce qui se produit au stade octocellulaire. L’épigénétique a démontré que si le code génétique inscrit dans nos cellules dit à notre corps comment fonctionner, le signal activant ce code semble provenir de l’extérieur de la cellule. Autrement dit, il provient du champ lui-même.

Nous savons cela grâce au processus de rejet cellulaire, qui est commun après la transplantation d’un organe. Quand l’organe d’un individu est placé dans le corps d’un autre individu, le corps du récipiendaire ne reconnaît pas le nouveau tissu comme étant sien et le traite donc, comme un corps étranger en le rejetant. Une percée s’est produite lorsque les scientifiques ont découvert comment contrer le mécanisme de rejet afin que les organes transplantés puissent bien fonctionner dans un nouveau corps.

Comme nous le savons tous, il n’y a pas de hasard dans la vie et il n’est donc pas étonnant que je sois entré dans la salle au moment même où il un scientifique décrivait un phénomène que j’avais de la difficulté à comprendre. Il était question de transplantation d’organes et des problèmes dont m’avaient fait part des amis qui en avaient subi une.

Sur l’écran placé en avant de la salle, j’ai regardé mon ami Bruce expliquer brillamment que lorsque l’intérieur d’une cellule (le noyau contenant l’ADN) est enlevé de sa membrane originelle et placé dans la membrane d’une autre cellule possédant des récepteurs différents (antennes) à sa surface, différentes portions de l’ADN transplanté sont activées. Le point important, ici, c’est que l’ADN est le même dans les deux cellules, mais que les récepteur différents captent différentes sortes d’informations en provenance du champ qui les entoure. Autrement dit, les deux cellules ont le même programme, mais des antennes différentes accordées au champ environnant. Tout à coup, tout le problème du rejet d’organe est devenu moins mystérieux, de même que certains autres mystères.

Je fournis ici cette information parce que c’est seulement au stade octocellulaire que se produit l’activation génétique. Cela sous-entend que c’est uniquement à ce stade – celui de l’expression génique embryonnaire, environ quatre jours après la fertilisation – que nos récepteurs cellulaires « s’éveillent » et captent en provenance du champ le signal qui les ajuste de manière à produire les caractéristiques qui font de nous des humains uniques.

 retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

Extrait du livre de Gregg Braden : Vérité essentielle – Activer la mémoire de nos origines, de notre histoire et de notre destinée aux Editions Ariane

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