LA COMPASSION ET LE POTENTIEL HUMAIN

 

imagesLa compassion est la capacité de témoigner par empathie. C’est « se sentir avec » quelqu’un. La compassion en soi ne requiert aucune action. On n’a pas besoin de faire quoi que ce soit. C’est  simplement l’acte de témoigner par empathie et par l’absence de jugement.

La bonté naît de la compassion, qui devient alors action. Vous allez vers les autres par des actes de bonté. Vous travaillez pour résoudre une situation de la façon la plu harmonieuse et la plus ingénieuse possible. Or, c’et ici qu’intervient la dualité, et nous devons l’aborder directement.

Comme nous l’avons dit, la compassion est l’acte de « témoigner ». Elle suscite la réaction empathique du cœur humain. Ce n’est pas une sympathie, mais le sentiment « d’être avec » le ou les individus concernés. Son pouvoir transcende les circonstances. La véritable compassion transcende le monde et ses souffrances, tout en l’accompagnant par empathie. Comme la compassion est transcendante, elle ne fait que témoigner. Elle n’agit pas. Il existe en effet des situations où l’on pu éprouver de la compassion envers une situation sans accomplir aucune action.

La bonté est la mobilisation de la compassion, qui devient alors action. Voici le paradoxe et la difficulté ; chaque fois que vous accomplissez une action dans ce monde de dualité, il existe une contre-force imprévue et invisible. C’est pourquoi la bonté doit s’exercer avec sagesse. Si vous vous précipitez pour aider quelqu’un ou pour régler une situation parce que vous éprouvez de la compassion, cela n’aura pas nécessairement l’effet désiré.

Paradoxalement, un acte de bonté peut créer une situation négative dans la vie des personnes concernées, particulièrement s’il est accompli sans réfléchir. Les actes de bonté tempérés par la réflexion, la sensibilité et la sagesse sont parmi les plus grandes contributions que vous puissiez faire dans votre vie. Sans la sensibilité, la réflexion et la sagesse, des actions bien intentionnées peuvent faire plus de mal que de bien. Comme toujours, c’est une question d ‘équilibre.

 un dernier mot….

De notre point de vue, vous avez tous été handicapés par plusieurs de vos religions et philosophies spirituelles. Bien que ces considérations puissent sembler abstraites, ces formes-pensées influencent réellement la perception et limitent, par leur nature même, votre expérience dans le monde de la matière. Certaines de vos religions et traditions spirituelles, mais pas toutes, se méfient du monde de la matière. Elles affirment qu’un paradis ou une forme quelconque d’existence meilleure existe hors de vos perceptions d’êtres humains incarnés.

Elles considèrent vote aspect physique comme une erreur ou un « péché », prétendant que vous êtes impurs du simple fait de posséder un corps. Même si vous vous êtes peut-être distanciés intellectuellement de ces croyances, ces formes-pensées imprègnent votre civilisation et influencent la vision d’elle-même qu’a l’humanité.

Si vous acceptez une telle forme-pensée, consciemment ou inconsciemment, vous êtes liés par elle et il se crée une tension entre votre aspect transcendant (c’est-à-dire votre multidimensionnalité) et votre existence incarnée ; A notre avis, cette situation est déplorable. Pour nous, la conscience est un continuum des plus hauts niveaux vibratoires où règne la non-dualité, jusqu’au monde matériel, en passant par le monde de la lumière. Il existe bien sûr des frontières vibratoires mais le monde d e la matière est tout aussi « sacré » que celui de la lumière ou de la conscience pure.

message de Tom KENYON  retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

   Extrait du livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN – Les Pléiadiens, les Hathors et les Arcturiens aux Editions ARIANE.

 

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