LES SOINS ESSENIENS EN CLINIQUE

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En clinique aussi… Le Dr Olivier Abossolo est anesthésiste-réanimateur dans une clinique d’Avignon. Il a lui aussi été formé à la thérapie essénienne, après un cheminement qui passe également par la lecture ! « J’avais lu « Médecin des trois corps », de Janine Fontaine, se souvient-il, et voulais me former à sa technique. Je lui ai écrit, mais elle n’a jamais reçu le courrier  !  » Le hasard a voulu que le médecin tombe sur un livre d’Anne Givaudan, un jour, dans une librairie. Un premier stage le convainc qu’il a trouvé là quelque chose qui correspond à sa quête. Il continue donc la formation. Aujourd’hui, le Dr Abossolo arrive à concilier les deux médecines, à combiner ses deux pratiques – conventionnelle et alternative. «  Cette médecine intégrative, c’est-à-dire les thérapies naturelles associées à l’allopathie, apporte énormément de confort aux malades. De plus, ses effets sont validés par des études », explique celui qui ne cherche jamais à convaincre.  Les soins esséniens font partie de sa panoplie de thérapeute/médecin, au même titre que l’aromathérapie ou l’homéopathie. « Tout est fait dans la transparence  ! précise-t-il. En accord, bien sûr, avec le patient, mais aussi avec les chirurgiens et le personnel soignant. » Fini, donc, le temps où le malade donnait son pouvoir à la médecine. À présent, et grâce à des thé- rapies comme celle-ci, il semble que l’on se dirige vers des soins holistiques qui responsabilisent la personne en voie de guérison. Surtout si ces soins sont prodigués avec le cœur…

- ANNE GIVAUDAN, pouvez-vous nous dire qui étaient ces Esséniens ? «  Considérés comme les meilleurs thérapeutes du Moyen-Orient, les Esséniens étaient un petit groupement de juifs vivant en Judée il y a 2000 ans. Il y avait des monastères, comme à Qumrân, mais la plupart vivaient dans des petits villages. Tout était basé sur l’échange. Les enfants qui avaient des capacités de guérison étaient envoyés au Mont Carmel où les garçons suivaient un enseignement de 7 à 14 ans. Les filles, elles, étaient formées par un maître, un sage du village. Ils connaissaient l’anatomie physique et subtile de l’Homme. Grâce à un équilibre à la fois physique et spirituel, ils vivaient longtemps. Ils connaissaient bien les plantes. Les Esséniens avaient des coutumes et une philosophie de vie différentes concernant la nourriture, le jeûne, les soins et la façon de voir la vie. On en sait désormais un peu plus sur ces êtres à part grâce à des manuscrits – dits « de la mer Morte » – découverts par un Bédouin en 1947. »

- Expliquez-nous comment vous avez retrouvé ces pratiques ? « Avec mon premier mari, nous avions la capacité de faire des sorties hors du corps ; ces voyages astraux nous ont permis de retourner dans la mémoire du temps que l’on appelle « annales akkashiques » et de retrouver tous ces enseignements que l’on a décrits dans un 1er livre, De mémoire d’Essénien. Après une telle expérience, ma mémoire s’imprègne de telle façon que, dans les 3 ou 4 jours qui suivent, je peux rapporter tout ce que j’ai vécu de façon fidèle parce que c’est comme un film qui se déroule. On ne souhaitait pas vraiment enseigner, mais beaucoup de personnes nous l’ont demandé ! Notre objectif, grâce à ces soins, est d’arriver à une médecine préventive et à une véritable guérison. Précisons qu’à l’époque, cette médecine était reconnue au même titre que la médecine chinoise ou ayurvédique. Il y avait d’ailleurs de nombreux échanges avec d’autres pays – d’où les termes de chakras et nadis que nous utilisons.  En conclusion, disons qu’être « essénien », cela signifie regarder avec le cœur, au-delà de l’apparence…»

Extrait de  Rebelle-Santé N° 171 -  Propos recueillis par N. G. – transcrits par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/  

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