BENIS SOIENT LES NOUVEAUX ENFANTS 2016

 

 

Et Bénis soient les êtres humains qui sont en mesure de reconnaître les nouveaux enfants. 

Attendez de voir ce que ces enfants vont accomplir. Bénis soient les êtres humains disposés à prendre ces enfants par la main, à les regarder dans les yeux et à leur dire : « Je te reconnais. Nous t’attendions ». Ce sont ces enfants qui vont faciliter l’apparition des nouvelles potentialités. Parents, soyez prudents. Ne tentez pas d’inculquer vos préjugés à ces enfants, car ils ne les accepteront pas. C’est le meilleur moyen de creuser un fossé entre eux et vous, car ils verront tout de suite les idées fausses que vous essayez de leur enseigner et n’honoreront pas votre sagesse. 

Les enfants Nouveaux naissent sur terre avec un jeu d’instructions cellulaires, et je vais vous dire de quelles directives fondamentales il s’agit. Il n’est pas question de jalousie, de haine, ni même de protection ou de survie. Lorsque ces enfants auront grandi, je veux que vous soyez attentifs à ce que leurs paroles et leurs intentions vont annoncer à l’humanité. 

Leur unique but sera d’obtenir la réponse à ces questions : »Comment pouvons-nous trouver les solutions aux problèmes de la Terre et constituer une seule famille emplie de tolérance ? Comment pouvons-nous amener à une table de conférence des ennemis qui se sont toujours combattus ? «  

Ces enfants peuvent devenir des leaders qui permettront l’avènement de ces changements … quelque chose qui a manqué à l’humanité depuis des éons. Aujourd’hui, certains vont insister sur ce point. Attendez de voir ce que ces enfants vont réaliser.

1indigon

 

VOICI L’HISTOIRE D’HERMAN…. 

Je vais vous parler d’Herman, un guerrier, un homme viril qui n’est plus parmi nous. Il y a un peu moins d’une centaine d’années, il fut témoin, en compagnie de beaucoup d’autres personnes, de quelque chose d’exceptionnel. En 1014, il participa à une énorme bataille qui marqua le début de ce que l’on appela la Première Guerre Mondiale. 

Cette bataille à laquelle Herman prit part fut féroce. A cette époque, les guerres étaient plus sommaires ; les combattants regardaient leurs adversaires dans les yeux avant de les tuer. Et Herman se trouvait, comme ses ennemis, dans des tranchées, au début de cette Grande Guerre – un pays luttant conte un autre pays. Il vit la mort de près chaque jour. Il perdit chaque jour des amis. Quotidiennement, il faut le témoin de la bestialité, de la cruauté et de la haine, et il y prit part, comme les autres, pour défendre son pays. 

Herman se trouvait dans une tranchée située en première ligne du front, à quelque distance de la tranchée de son ennemi détesté, et la bataille faisait rage nuit et jour. Les hommes étaient mis à contribution pendant des semaines d’affilée – épuisés, sales et meurtris. Hermann haïssait cette guerre. Puis, un événement survint. Il entendit ses officiers déclarer qu’un accord avait été signé entre es belligérants et qu’une trêve serait respectée le jour de Noël. Voyez-vous, les deux camps avaient une religion commune. En fait, ils partageaient une doctrine religieuse fondée sur l’amour de Dieu. 

Herman n’oublia jamais ce qui se passa alors. Ayant survécu à a guerre, il se souvint toujours de ce qui se produisit ce fameux jour de Noël. Car, ce jour-là, les combats cessèrent en effet pendant douze heures, mais ce ne fut pas tout. Cette nuit-là, Herman trouva le silence assourdissant – sans explosions ni cris. Lorsque la nuit fut tombée, il aperçut pour la première fois des flammes en provenance des tranchées ennemies. En cet instant de paix comme acceptée, tous osaient allumer des feux pour se réchauffer. On fit de même dans le camp d’Herman, et ces feux permirent de se rendre compte de la proximité des deux camps. Herman pouvait apercevoir la silhouette de certains de leurs casques. Il pouvait même les entendre chanter ! 

Ils chantaient dans une langue différente de la sienne, mais les mélodies étaient les mêmes que celles qu’il avait entendues et chantées lorsqu’il était enfant. Ces chants parlaient d e paix sur terre et de l’amour de Dieu. Herman entendait ses ennemis se réjouir et pouvait même sentir l’odeur de leur nourriture. Tout cela l’affecta profondément. On ne déplora aucune victime ce jour-là. Ce fut la chose la plus étonnante qu’il lui fut donnée de vivre. 

 Par la suite, il raconta à ses enfants et à ses petits-enfants qu’il avait vécu un miracle. Tous ces hommes avaient laissé tomber leurs armes lorsqu’ils prirent conscience qu’ils avaient quelque chose en commun, quelque chose de beau et qui dépassait de loin leur guerre ou leur haine : l’amour de Dieu. 

Il déclara à ses enfants : « Ne serait-il pas formidable de trouver le secret de ce miracle ? Et si l’on pouvait utiliser ce secret qui mit un terme aux combats pendant une journée pour les faire cesser pendant une semaine, un mois ou définitivement ? Et si les être s humains pouvaient aller au-delà de leur haine et trouver un accord à partir de leur amour d’un Dieu commun » ? Avant de mourir, il leur répéta : « Je l’ai vu ! J’ai vu le miracle que peut accomplir l’amour de Dieu ! Je sais que cela peut se reproduire. J’en ai été le témoin dans la vieille énergie, bien que pendant une seule journée ». Et il passa le flambeau à ses enfants en déclarant : « Je sais que c’est possible. Je vous en prie, trouvez un moyen ». 

————— 

ET VOILA… Notre cortège distingue les potentialités des nouveaux enfants humains que vous avez créés volontairement sur cette planète. Ce cortège, qui se répand ici afin de nous aimer, distingue les potentialités que possède l’humanité afin de parvenir à un accord respectant les croyances de chacun sur cette planète. 

Attendez de voir ce que les enfants feront.

Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

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