Mahomet

Selon les chroniqueurs musulmans de la Sira comme Ibn Ishaq, Tabari, Ibn Kathir, Ibn Hicham, etc., Mahomet nait à la Mecque, alors importante ville, au carrefour de plusieurs routes caravanières. Avant sa mission prophétique, Mahomet est un marchand. Après le début de sa mission prophétique, il est perçu comme une menace pour les intérêts économiques des tribus arabes en charge de l’administration de la ville, craignant que le discours du monothéisme ne fasse fuir les caravaniers aux diverses croyances, dont certains faisaient le déplacement à la Mecque en pèlerinage. Mahomet est contraint de fuir la Mecque à la mort de son oncle, marquant l’Hégire, l’an un de l’ère musulmane. Il se rend à Yathrib, qui sera connu plus tard sous le nom de Madinat el Nabi, ou ville du prophète, qui deviendra par la suite simplement Médine. Là, il continue sa mission et devient un chef politique et militaire. Il mène sa première bataille à Badr, où il attaque les caravanes mecquoises chargées des avoirs pillés dans les maisons de tous ceux ayant suivi Mahomet à Médine. C’est à l’issue de cette bataille que l’islam sera fondé politiquement. De bataille en traité, et devant le nombre important de convertis, La Mecque dépose finalement les armes devant les troupes de Mahomet. Mahomet rentre triomphant à la Mecque. Il devient alors homme d’État pour unifier l’Arabie sous une seule idéologie, religieuse : l’Arabie, avec une langue unique, une culture unique, des valeurs uniques, pouvait ainsi trouver son unité.  http://fr.wikipedia.org/wiki/Mahomet

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Défini par Kryeon – Site : http://kryeon.forumactif.com/forum.htm 

NDIT – Voici comment le mot Mahomet est défini dans mon Bibliorom Larousse ; Mahomet, en ar. Muhammad, fondateur de la religion musulmane (La Mecque v. 570 – Médine 632). 

Fils de parents caravaniers, marié à la riche veuve Khadidja et, après la mort de celle-ci, à plusieurs autres épouses, Mahomet, au terme d’une évolution religieuse, se sentit appelé à être le prophète d’un renouveau spirituel et social. La tradition musulmane rapporte que, v. 610, il eut une vision de l’archange Gabriel l’investissant d’une mission divine. Sous la dictée de cet ange, qui lui transmettait la parole divine à l’occasion d’extases, il se mit à prêcher la foi en un Dieu unique (Allah), le renoncement à une vie égoïste et facile, l’imminence du jour terrible du jugement. 

Son message (recueilli dans le Coran) fit des adeptes mais déchaîna l’hostilité des dirigeants de La Mecque, ce qui força Mahomet et ses fidèles à chercher refuge à Médine. Cette fuite à Médine (ou hégire) en 622 marque le début de l’ère musulmane. En dix ans, Mahomet organisa un État et une société dans lesquels la loi de l’islam se substitua aux anciennes coutumes de l’Arabie. L’institution de la guerre sainte (djihad), devoir de combattre ceux qui n’adhéraient pas à la foi nouvelle, a donné à l’islam le fondement de son expansion future. La Mecque, après de durs affrontements (624, 625, 627), se rallia en 630. Quand Mahomet mourut, l’Arabie était acquise à l’islam. (c) Larousse. 

Muhammad, apparaît en hébreu (eh oui !) dans les textes bibliques sous forme de « matrices » ou ensemble de lettres, versets, chapitres d’un seul bloc, avec les lettres « basiques » (sans points voyelles) : 

« M’hmd » c’est-à-dire, Mehamed, mu’hamad, etc., codé (ou crypté), avec les termes : MDYN (Médine) Ayslm (Islam), avec tout en clair Dmsq (Damas), mqh (Mecque), 

YTsHQ (Isaac) abrhm (Abraham), Y’AQB (Yaacov), (juste l’un sur l’autre) ReûEL (Réûel) (Jethro) et l’expression coupant le terme principal de la recherche :

 HQORAN (Le Koran) (codé) : 

« .. et il ligatura Isaac.. » ainsi que le terme ABRM (ABRAM). Chaque “matrice” biblique cherchée contient le nom principal et “son” ennemi. Ex : Reza Pahlavi (Chah d’Iran), Khomeyni, Robert Kennedy et Sirhan Sirhan, son assassin etc… 

D’après des recherches de mon ami Jacob sur les Codes de la Bible, avec la méthode ELS, c’est-à-dire, « Intervalles Egaux ». 

Kryeon

***************************************** Vous pouvez diffuser librement cette traduction, à condition que ce qui suit soit inclus et que la présentation ne soit pas modifiée. 

Interprétation et traduction de ; Jean-M. Gobeil Site : http://kryeon.forumactif.com/forum.htm 

Léonard de Vinci

 Question posée à Marie-Madeleine

-       La Cène de Léonard de Vinci est l’une des plus belles œuvres de toute l’histoire de la peinture. D’après mes recherches, Léonard semblait faire partie d’un groupe de gens très cultivés que l’on appelait les literati (peinture de lettres) et qui comportait des hommes et des femmes. Ce magnifique artiste semble avoir été un grand partisan de l’énergie féminine divine, et il est évident, sur ce tableau, qu’une présence féminine est assise à la table, à la droite du maître Jésus. Nous savons tous aujourd’hui que c’était vous Marie-Madeleine. A l’époque (et peut-être même encore aujourd’hui) , la personne assise à la droit de celle qui était la plus respectée, était la deuxième plus respectée.  Ce tableau illustre un moment historique interprété par Léonard, car il n’y avait pas d’appareils photo à l’époque. 

A mon avis, il n’y a que deux explications possibles. Ou bien Léonard était présent à l’époque et il a simplement retrouvé la mémoire cellulaire de cet événement .. ou bien il savait comment accéder aux archives akashiques. Quand on regarde l’ensemble de son œuvre, qui est tellement géniale, on sait qu’il a dû se passer quelque chose d’extraordinaire en lui pour qu’il puisse la produire.  -       Est-il possible d’expliquer comment ce tableau a été inspiré à Léonard ? -       Ce dernier repas préparait-il les disciples de Jésus à poursuivre son œuvre ? puisque vous y étiez présente Marie Madeleine, pouvez-vous nous dire quel était le motif de ce rassemblement ? 

-       Et qu’est-ce que le Saint Graal ? 

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Réponse de Marie-Madeleine : 

Il est vrai que j’étais présente à ce souper que l’on appelle la Cène et j’étais effectivement assise à la droite de Yeshua, car dans son esprit, j’étais la disciple qui avait atteint le plus haut niveau puisque j’avais reçu les enseignements les plus secrets. 

Léonard a peint ce tableau (La Cène) à partir des Archives akashiques car il avait certainement l’esprit hautement développé. Il appartenait à une tradition artistique et intellectuelle qui comprenait la place du féminin et qui cultivait un savoir secret qu’il était dangereux d’afficher ouvertement parce que l’Eglise avait jeté un voile d’obscurité sur toutes les formes du féminin divin. Ceux qui partageaient ce savoir le répandaient donc clandestinement, faisant connaître la présence du féminin, mais sans jamais la montrer clairement. Cette connaissance du féminin, de la place de la déesse, avait des origines païennes remontant à une époque antérieure à la domination de la civilisation par l’Eglise. 

La coupe qui fut utilisée lors de ce dernier repas en commun était un simple récipient en terre cuite. Elle ne possédait aucun ornement, contrairement aux représentations embellies qu’en ont faites les artistes des époques subséquentes. On a fini par prêter à cette coupe, le Saint Graal, des propriétés magiques. Les humains ont malheureusement tendance à croire à l’existence d’un pouvoir extérieur qu’ils peuvent posséder. 

La véritable coupe du Graal est le ventre de la femme. Dans ce cas, il s’agissait du mien car j’avais conçu l’enfant de Yeshua. Il est à la fois ironique et tragique que les hommes aient recherché le Saint Graal alors qu’il se trouvait tout près d’eux, chez les femmes qui partageaient leur existence. L’époque présente est propice à la rectification de cette erreur. On peut maintenant reconnaître ce qu’est réellement la coupe du Graal, et la femme peut reprendre sa place, qui se trouve dans l’égalité et non dans l’infériorité. 

Ce changement n’arrivera pas par les hommes, mais par les femmes, particulièrement celles qui ont le courage de dire ce qu’elles pensent, de faire des vagues sur le plan culturel et social. Elles sont les héroïnes de l’heure. Le monde a grandement besoin d’elles en ce moment. Ce souper que l’on appelle maintenant la Cène fut pour moi un moment bien particulier. 

Je savais que la situation atteindrait un certain paroxysme. Ce rassemblement avait pour motif la transmission d ‘un pouvoir spirituel. Par conséquent, quand Yeshua rompit le pain et qu’il en donna des morceaux à chacun, il ne nous donna pas seulement ce pain, mais un pouvoir spirituel. Cette transmission conférait une grande intensité à la soirée. Il s’agissait donc avant tout de transmettre un pouvoir. Yeshua savait qu’il devrait affronter l’initiation ultime. 

Issu du livre : 2009 La Grande Transformation – L’année de la cocrétation – page 72 – série Kryeon canalisé par Lee Carroll – Les Hathors et Marie Madeleine 

ISIS

Isis est le nom grec d’Aset (ou Iset), la déesse protectrice et salvatrice de la mythologie égyptienne. Elle fait partie de la grande Ennéade d’Iounou (Héliopolis). 

Isis semble avoir été aux temps anciens la personnification du trône ; son nom en hiéroglyphes Iset, signifie le siège. Dans les inscriptions, elle est représentée sous les traits d’une femme coiffée d’un siège (qui ressemble à un escabeau à trois marches). 

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Plus tard, sa représentation change ; on la voit comme une femme portant les cornes de la vache enserrant un globe lunaire (À ne pas confondre avec Hathor Il se peut qu’elle soit l’héritière d’une déesse-mère préhistorique vénérée dans le delta du Nil, où, d’après le mythe elle éleva l’enfant Horus. On a aussi supposé sa parenté avec une démone mésopotamienne, la Lilith du mythe de Gilgamesh. À la fin de la Ve dynastie, elle est mentionnée dans les textes des pyramides, où elle protège le roi défunt de la putréfaction. Les Ramessides lui construisirent des sanctuaires à Memphis et à Abydos notamment. À l’époque gréco-romaine, elle devint la déesse universelle, invoquée tant en Égypte que dans tout le bassin méditerranéen et au-delà. On lui bâtit le temple de Philæ, sur le Nil, qu’il fallut déplacer sur l’île d’Agilkia à la construction du barrage d’Assouan

Isis est la Grande Déesse par excellence

Dans le mythe osirien, elle est l’épouse et sœur exemplaire qui, grâce à ses pouvoirs magiques et avec l’aide de sa sœur Nephtys, réussit à ressusciter Osiris, son frère et époux, le temps d’une union d’où naquit le dieu Horus

Seth voulut se débarrasser de son frère Osiris dont il était jaloux. Il fit construire un coffre en bois précieux et déclara au cours d’un banquet qu’il l’of­frirait à celui dont le corps s’ajusterait exactement à ses dimensions. Osiris, qui était très grand, s’y installa et, aussitôt, Seth, aidé de 72 complices -les 72 génies des demi-décans du zodiaque­- referma le lourd couvercle sur lui et le scella avec du plomb fondu. Puis Seth et ses complices portèrent le coffre sur le Nil et le firent descendre jusqu’à la mer. 

Le coffre d’Osiris, porté par les courants de la mer Méditerranée, se retrouva en Phénicie, à Byblos, où il vint s’encastrer dans le tronc d’un tamaris. Isis, partie en barque à la recherche de son époux, arriva jus­qu’à Byblos. S’étant fait reconnaître auprès du roi, elle se fit donner le tronc avec le cercueil et retourna en Égypte où elle cacha le cercueil dans les marais du delta. 

Mais, alors qu’il chassait au clair de Lune, Seth retrouva le corps qu’il coupa en quatorze morceaux et les dispersa de tous côtés. 

Isis remonta alors sur sa barque de papyrus à la recherche des morceaux du corps de son bien-aimé, à tra­vers le labyrinthe du marais, mais elle n’en retrouva que treize sur les quatorze. La seule partie introuvable, malgré tous ses efforts et l’aide des obligeants crocodiles, fut le membre viril car il avait été mangé par des poissons. Toutefois il avait eu le temps de donner au fleuve sa force fécondante. 

Isis se résolut à fabriquer un phallus artificiel en argile et le consacra. Elle insuffla à Osiris le souffle de la vie, et lui donna un fils, Horus

C’est du mythe osirien que venait en Égypte pharaonique la coutume d’arranger des mariages incestueux dans la famille royale, non seulement pour préserver le sang pur familial et royal, mais également pour perpétuer ce rite divin qui faisait d’eux des dieux. 

Symbole de la féminité, c’est par elle que s’accomplit le mystère de la vie. En langage freudien, on pourrait même dire qu’Isis représente la matrice, la coupe féminine qui reçoit le principe masculin. Le mythe osirien relate comment elle a ramené Osiris à la vie. 

En tant que magicienne ayant ramené Osiris à la vie, elle est aussi déesse guérisseuse et protectrice des enfants. Les malades portaient parfois des amulettes à son effigie. 

En tant que mère d’Horus, elle est dispensatrice de vie et déesse gardienne qui veille sur son enfant. Dans ce rôle, elle est souvent représentée en Isis lactans à l’époque romaine, portant l’enfant Horus dans ses bras et lui donnant le sein. La Vierge allaitant le Christ n’est certainement pas sans rapport avec le souvenir de l’épouse d’Osiris et les vierges noires chrétiennes sont autant de réminiscences d’elle. En tant que veuve d’Osiris, elle est une divinité protectrice du défunt. Avec Nephtys, Neith et Serket, elle est gardienne du sarcophage qu’elle protège de ses bras déployés, alors qu’Imsety, fils d’Horus, veille sur l’un des quatre vases canopes renfermant les viscères du défunt : le vase à tête d’homme qui contient le foie. 

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Isis 

Homo Sapien

 

Homo sapien, qui signifie « Homme sage » en latin, ou Homme moderne est une espèce de l’ordre des primates appartenant à la famille des hominidés. Plus communément appelé « homme », « humain », ou encore « être humain », il est le seul représentant actuel du genre Homo, les autres espèces, une quinzaine en l’état actuel des connaissances paléoanthropologiques, étant éteintes.

 

  

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Parmi les hominidés actuels, il se distingue d’un point de vue physiologique par sa bipédie quasi-exclusive, son cerveau plus volumineux et son système pileux moins développé

D’un point de vue éthologique, le genre Homo se distingue par la complexité de ses relations sociales, l’utilisation d’un langage articulé élaboré transmis par apprentissage, la fabrication d’outils, la maîtrise du feu, la domestication de nombreuses espèces végétales et animales, ainsi que l’aptitude de son système cognitif à l’abstraction et à l’introspection

 

Plus généralement, il se distingue de toute autre espèce animale actuelle par la complexité de ses réalisations techniques et artistiques, l’importance de l’apprentissage et de l’apport culturel dans le développement de l’individu, mais aussi par l’ampleur des transformations qu’il opère sur les écosystèmes

 

Il est le dernier et seul descendant actuel de la lignée humaine et possède tous les caractères qui la définissent. 

 

La science qui étudie l’homme sous tous ses aspects est l’anthropologie. Celle qui étudie son histoire évolutive est la paléoanthropologie

 

Une étude, publiée en 2008 dans la revue Science, a été réalisée sur l’ADN de près d’un millier d’individus : la comparaison de 650 000 nucléotides chez 938 individus appartenant à 51 ethnies a montré que le génome des humains est identique à 99,9 %, soit une similitude qui ne se retrouve chez aucune autre espèce de mammifère. Elle est expliquable par l’extrème jeunesse de l’espèce humaine car 60 000 ans ne sont pas suffisants pour permettre des grandes variations génétiques. Il existerait toutefois une variabilité très faible esquissée après la scission des populations ancestrales africaines en 7 branches isolés par des barrières géographiques. Ainsi une légère divergence génétique existerait entre les africains subsahariens, les européens, les habitants du Moyen-Orient, les asiatiques de l’Est, les asiatiques de l’Ouest, les océaniens et les indiens d’Amérique mais ces différences ne sont pas significatives puisqu’elles ne tiennent compte que d’un nombre relativement faible de nucléotides, les autres nucléotides pouvant grandement diverger, même au sein de l’un de ces « groupes ». Les mouvements de populations accélérés au sein de la société moderne vont probablement atténuer rapidement les quelques variantes génétiques apparues au cours de l’évolution de l’espèce humaine. 

Les espèces actuellement les plus proches de l’humain sont les deux espèces de chimpanzé : Pan troglodytes (le chimpanzé commun) et Pan paniscus (le bonobo). Par leur proximité phylogénétique avec l’homme, viennent ensuite le gorille et l’orang-outan. Le génome des humains ne diffère que de 0,27 % de celui des chimpanzés et de 0,65 % de celui des gorilles. Ces chiffres conduisent à estimer que notre lignée s’est séparée de celle des chimpanzés il y a environ cinq millions d’années, et des gorilles il y a environ sept millions d’années. 

La démarche phylogénétique part de l’idée que la vie évolue des formes les plus simples aux plus organisées, avec acquisition de plus en plus de caractéristiques nouvelles, même si des pertes secondaires de caractères peuvent se produire au sein des lignées. Ainsi, l’espèce humaine fait partie, comme toute autre espèce du vivant, de plusieurs groupes emboîtés dont chacun est caractérisé par un caractère nouveau, qui se rajoute à ceux déjà accumulés. Notre espèce est classée dans : 

Dans le groupe des primates, Homo sapiens fait partie des 

Homo sapiens appartient au genre Homo au même titre qu’Homo habilis, Homo erectus, l’homme de Néandertal ou l’homme de Flores (éteints). 

Bien que le terme de race chez les humains soit encore employé, et que les notions de sous-espèce ou de variété soient utilisées dans le monde vivant, il n’existe aucune subdivision biologique à l’intérieur de l’espèce humaine. 

Voir le dossier complet wikipedia….

Invitation

Francesca le 25 juin 2011

Invitation dans MESSAGES EVENEMENTS logofo10

gifs coeurPour ceux qui seraient intéressés à venir me rejoindre…..

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Je viens aujourd’hui même, de réaliser un partenariat

 avec un site et un forum intitulé :

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” MAGNETOSYNERGIE ” m’ayant sollicitée au partage !

Soyez nombreux à venir nous visiter ! 

-

vous pouvez nous rejoindre à ces adresses :

http://www.magnetosynergie.com/forum/index.php 

http://www.magnetosynergie.com/ 

 

 

logofo10 dans MESSAGES EVENEMENTS

 

gifs coeur  A bientôt les amis (es) !

Fantômes

Selon le spiritisme 

D’après la doctrine spirite, l’esprit humain survit à la mort du corps matériel et dispose d’un autre corps appelé périsprit. Les fantômes seraient des êtres humains désincarnés capables de se manifester en rendant leur périsprit perceptible aux sens ordinaires. Dans le vocabulaire spirite, le mot « fantôme » n’est cependant pas utilisé, il est systématiquement remplacé par les mots « esprit » ou « entité ». 

Un fantôme est une apparition ou une vision interprétée comme la manifestation de l’esprit d’un mort, qui serait resté prisonnier sur Terre ou reviendrait de l’Au-delà, soit pour accomplir une vengeance, soit pour aider des proches ou pour errer éternellement sur Terre en punition de ses mauvaises actions passées. Les fantômes, dont le nom est à rapprocher étymologiquement de φάντασμα et φάντασις (respectivement « apparition » et « vision » en grec), sont également appelés spectres ou revenants, esprits, lémures, apparitions incubes ou succubes, ectoplasmes ou poltergeists. Les variations des appellations doivent se comprendre en fonction de l’évolution historique 

En France : 

Fantômes  dans PERSONNAGES HISTORIQUES

Article principal : Légendes de Mortemer

  • Le château de Combourg : celui-ci, situé à Combourg en Ille-et-Vilaine serait d’après Chateaubriand qui y passé une partie de son enfance, hanté par le fantôme d’un chat accompagné par une jambe de bois. Cette légende donna son nom à l’une des tours du château, la « Tour du Chat », dans laquelle le futur écrivain avait sa chambre. 
  • Le château de Veauce (Allier) : cette forteresse serait hantée par le fantôme de Lucie. D’après l’ancien propriétaire, elle avait rendez-vous avec lui toutes les nuits. 
  • Saint-Benoist-sur-Mer : Ce petit village de Vendée serait visité toutes les nuits par le Cheval Mallet. Cheval malfaisant qui emporte vers l’au-delà les promeneurs égarés. 
  • La Dame Blanche (Auto-stoppeuse fantôme) : Dans la croyance populaire, apercevoir la dame blanche au volant signifie que l’on aura un accident au prochain tournant. Plusieurs autres légendes pareilles à celle-ci se sont fait connaître, même des services de police. 
  • En Vendée, au printemps 1982, un moine auto-stoppeur fait de multiples apparitions qui seront relatées par la presse de l’époque, quatre articles parus dans Ouest-France. Le scénario est identique à celui classique de la Dame Blanche évanescente : le moine est pris à bord d’une automobile par un conducteur seul ou non. D’abord silencieux, celui-ci fait ensuite de vagues prophéties et disparaît du véhicule. Ce cas est parfaitement sourcé et il s’agit d’une variante d’apparition fantomatique que l’on retrouve sur les 5 continents. 
  • Le château de Versailles serait réputé être hanté dans ses jardins, de même que le Trianon où l’on peut relever beaucoup de témoignages. 
  • L’Aude et les Pyrénées-Orientales sont aussi réputés pour leurs lieux de hantise tel que la commune de Calce, dans ce dernier département, qui, pour certains serait le village du diable

Dossier complet sur wikipedia…

Némésis

Dans la mythologie grecque, Némésis (en grec ancien Νέμεσις / Némesis) est la déesse de la vengeance. Le nom de Némésis dérive du terme grec νείμειν, signifiant « le don de ce qui est dû ». La mythologie romaine en reprend un aspect sous la forme d’Invidia, soit « l’indignation devant un avantage injuste ». Elle est aussi interprétée comme étant un messager de mort envoyé par les dieux comme punition. 

Le substantif « némésis » est employé par antonomase pour désigner la colère ou la vengeance divine 

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Mythe 

Elle est généralement donnée pour la fille de Nyx (la Nuit) seule ou plus rarement de la Nuit et de l’Érèbe (Hygin et Cicéron), mais d’innombrables sources (Pausanias, Nonnos de Panopolis et Tzétzes) la présentent comme née d’Océan sans que le nom de sa mère (Téthys ?) ne soit mentionné par un seul de ces auteurs. Dans les textes orphiques, elle est généralement présentée sous le nom d’Adrastée et est donnée pour la fille née sans père de la Nécessité. Des traditions isolées la nomment néanmoins « fille de Zeus »" (Homerica Cypria, Fragment 8) sans mentionner le nom de sa mère, d’autres la prétendent née de Dikê, la Justice personnifiée. Hésiode l’associe étroitement à la déesse Aidos qui symbolise à la fois la Pudeur et le Respect et prétend que lorsque la Race de Fer aura remplacé celle des héros, Aidos et Némésis abandonneront définitivement l’humanité à son (triste) sort pour remonter dans l’Olympe

Elle représente la justice distributive et le rythme du destin. Par exemple, elle châtie ceux qui vivent un excès de bonheur chez les mortels, ou l’orgueil excessif chez les rois. Elle fut aimée de Zeus et pour échapper à son étreinte, elle se transforma en oie ; mais lui se changea en cygne. Elle pondit un œuf qu’elle confia à Léda, et duquel naquirent deux paires de jumeaux : Hélène et Clytemnestre ainsi que Castor et Pollux. Une tradition isolée prétend qu’elle engendra les Telchines de son union avec le Tartare (Bacchylide, Fragment 52). 

Chez Homère, le seul sens dans lequel Némésis est utilisé est en tant que personnification d’une chose abstraite. Dans la Théogonie, Hésiode évoque « Némésis, fléau des hommes mortels ». Némésis apparaît sous une forme encore plus concrète dans un fragment des Chants cypriens

Némésis est l’exécutrice de la justice, la justice de Zeus, retransmise par Hermès selon l’organisation olympienne du monde, mais il est clair qu’elle lui a préexisté car ses images l’associent à plusieurs déesses qui sont des manifestations de l’ancienne Grande Déesse : Cybèle-Rhéa, Déméter et Artémis

Némésis, en tant que principe opposé à la bonne fortune, a pu être associée à Tyché. Le mot Némésis, à l’origine, signifiait « qui dispense la fortune, ni bonne ni mauvaise, simplement dans la proportion due à chacun selon ses mérites » ; puis, le ressentiment provoqué par n’importe quelle perturbation de cette proportion. O. Gruppe (1906) et d’autres préfèrent relier le nom au « juste ressentiment ». Paul Mazon, dans sa traduction des Travaux et les Jours (Belles Lettres, éd. de 1977) propose le terme de Vergogne

Dans les tragédies grecques, Némésis apparaît principalement comme vengeresse des crimes et celle qui punit l’hybris, et est alors apparentée à Até et aux Érinyes. Elle s’est parfois appelée Adrastée, voulant dire probablement « de qui on ne peut échapper » ; son épithète Érinys (« Implacable ») est particulièrement appliquée à Déméter et à Cybèle. C’est ainsi qu’au 48e et dernier chant des Dionysiaques de Nonnos de Panopolis, elle châtie l’orgueilleuse nymphe chasseresse Aura (Brise) à la prière d’Artémis, offensée par cette dernière. Toutefois, par souci de justice, elle punit Aura moins durement que la déesse ne l’aurait souhaité (elle prétendait voir l’imprudente jeune femme changée en statue de pierre). 

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Calife

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

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Le mot calife, khalife, ou caliphe (prononcé alīf en arabe) est une romanisation de l’arabe khalîfa (alīfat, خَلِيفَة, écouter), littéralement « successeur » (sous-entendu du prophète), terme dérivé du verbe khalafa (alafa, خَلَفَ) signifiant « succéder ». c’est-à-dire vicaires ou successeurs, titre porté par les successeurs de Mahomet après sa mort en 632 jusqu’à l’abolition de cette fonction par Mustafa Kemal Atatürk en 1924. Les califes réunissaient le pouvoir temporel au pouvoir spirituel. Le porteur du titre a pour rôle de garder l’unité de l’islam et tout musulman lui doit obéissance : c’est le dirigeant de l’oumma, la communauté des musulmans. L’autorité d’un calife s’étend sur un califat. Il porte aussi le titre de commandeur des croyants

 

À la mort de Mahomet en 632, le premier calife est Abou Bakr (ou Abubéker) qui poursuit la conquête de la péninsule Arabique. À sa mort en 634, son premier ministre Omar lui succède. Celui-ci conquiert la Palestine, la Mésopotamie, l’Égypte et la Perse ; en 644, il est poignardé par un ancien esclave perse. Avant de mourir, il désigne un comité de six personnes qui devront choisir parmi eux le troisième calife. Ce sera Othman (644-656). Le quatrième calife est Ali (656-661). Ces quatre premiers califes sont nommés « les califes bien guidés ». 

 

Ensuite le califat devient dynastique. La première de ces dynasties est celles des Omeyyades qui choisissent Damas comme capitale. Viennent ensuite celles des Abbassides, qui portent leur siège à Bagdad. Ceux-ci voient leur autorité contestée et la proclamation de califes concurrents (Fatimides au Caire, Omeyyades à Cordoue) si bien que dès le IXème siècle, à peine plus de deux cents ans après l’hégire, le monde musulman est divisé en trois califats indépendants. 

On distingue trois principaux califats : 

 

  1. celui d’Orient, dont le siège fut d’abord à Médine au cours des trois premiers califats, ensuite à Koufa en Irak jusqu’à la mort d’Ali, puis à Damas sous la famille des Omeyyades, et à Bagdad sous celle des Abbassides ; il dura 626 ans (632-1258) ; califat unique à ses débuts, certains territoires s’affranchirent par la suite de son autorité en se constituant comme califats concurrents ; 

  2. celui d’Égypte ou des Fatimides, qui fut fondé en 909 par Ubayd Allah al-Mahdi, descendant de Fatima, fille de Mahomet, et qui fut renversé en 1171 par Saladin

  3. celui de Cordoue, issu d’un émirat fondé à Cordoue en 756 par Abdérame, de la famille des Omeyyades, et démembré en 1031 

 

Les califes furent d’abord élus mais, dès la fin du Ier siècle de l’hégire, Muawiya Ier (ou Moavian, Muawiyya), le premier calife Omeyyade, abolit l’élection et rendit le califat héréditaire dans sa famille. Ils perdirent toute puissance temporelle depuis la création de l’Emir-al-Omrah (935). Il y eut pourtant des califes jusqu’en 1516; en cette année, le sultan ottoman Selim Ier se fit céder le califat par le dernier abbasside, Al-Mutawakkil III. Selim Ier fit transporter les reliques de Mahomet et des quatre premiers califes à Constantinople comme symboles de sa position califale. 

L’autorité califale fut à partir de cette date assurée par la Dynastie ottomane jusqu’à ce que Kemal Atatürk abolisse le califat en 1924, deux ans après avoir aboli le sultanat. 

 

Le 101ème et dernier calife fut Abdülmecit II

Beaucoup de musulmans, en particulier les musulmans des Indes, voulaient voir le chérif Hussein prendre la fonction de calife. Il est devenu célèbre après la révolte arabe qu’il a été lancé contre les Turcs en 1916-1918

 

Le roi égyptien, Fouad Ier et le roi saoudien Ibn Séoud songeaient également à reprendre le califat. 

 

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Le Mystère de Machu Pichu

La ville secrète des Incas

 Machu Pichu, De par sa richesse architecturale, le Machu Picchu est l’un des sites archéologiques les plus importants de l’Amérique latine

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Machu Picchu (du quechua machu, vieille, et picchu, montagne) est une ancienne cité inca (llaqta) du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Picchu ou Picho

Selon des documents du XVIe siècle, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacutec. Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions et le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux[2]. Les deux usages ne s’excluent pas forcément. En revanche, les experts ont écarté l’idée d’un ouvrage militaire. 

La ville sacrée Machu Picchu, oubliée pendant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca. Elle fut dévoilée au monde par l’archéologue américain Hiram Bingham de l’Université Yale, qui écrivit un ouvrage de référence à ce sujet. Ses caractéristiques architecturales et le voile de mystère que la littérature a tissé sur le site en ont fait une des destinations touristiques les plus prisées de la planète. Depuis 1983, le site est sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO. Le 7 juillet 2007, Machu Picchu a été désigné comme l’une des sept nouvelles merveilles du monde par la NewOpenWorld Foundation, un organisme non officiel et à caractère commercial. Enfin le site fait partie de tout un ensemble culturel et écologique connu sous le nom de « Sanctuaire Historique de Machu Picchu ». 

Image illustrative de l'article Machu Picchu

Localisation 

Le site se trouve à l’est de la Cordillère des Andes, aux débuts de la forêt amazonienne. Il est situé au Pérou (province d’Urubamba), à cent trente kilomètres de Cuzco

Les ruines sont à cheval entre deux élévations de terrain, à 2 438 mètres d’altitude. L’une est le Huayna Picchu, signifiant « jeune montagne ». C’est cette montagne qui surplombe le site sur la plupart des images de la cité. Selon certains angles de vue, il est possible d’y déceler la forme d’un visage humain regardant vers le ciel, le sommet du Huayna Picchu étant le nez. L’autre montagne est le Machu Picchu, signifiant « vieux sommet ». C’est cette montagne, à l’opposé du Huayna Picchu, qui a donné son nom au site archéologique. Autour du Huayna Picchu et sur les deux côtés de la cité coule la rivière Vilcanota-Urubamba qui décrit un grand arc en contrebas d’une falaise de 600 mètres. 

Les 172 constructions s’étendent approximativement sur 530 mètres de long sur 200 mètres de large. Elles font partie d’un territoire du Sistema Nacional De Areas Naturales Protegidas (SINANPE) appelé « Sanctuaire historique de Machu Picchu » qui s’étend sur 32 592 hectares. Le but est de protéger certaines espèces biologiques menacées d’extinction et des sites incas, Machu Picchu étant le plus important. 

Histoire 

La région du Picchu, située à mi-chemin entre les Andes et la forêt amazonienne fut une région colonisée par des populations issues des montagnes, des régions de Vilcabamba et de Cusco. Ces groupes étaient certainement à la recherche de nouvelles terres cultivables. Les archéologues indiquent que l’agriculture se pratiquait déjà dans la région au VIIIe siècle av. J.-C.. Dans les années 900, il y a une explosion démographique de groupes liés à l’ethnie Tampu del Urubamba. Il est possible que ces peuples aient fait partie de la fédération Ayarmaca, rivale, des premiers incas de Cusco. Cependant, l’emplacement spécifique de la ville ne présente aucune trace de constructions avant le XVe siècle

Voir le complément de cet article sur Wikipedia….

ADAM

Adam est, dans la Genèse, le premier homme et le compagnon d’Ève. Il mourut à l’âge de 930 ans (Genèse : 5-5). Tandis que l’Église catholique continue d’enseigner officiellement l’existence d’un premier homme, Adam, la plupart des scientifiques soutiennent que la théorie de l’évolution invaliderait la possibilité de l’existence d’un premier homme.

Selon la Bible, au livre de la Genèse, Adam (en hébreu « אדם », du mot « אדמה », la terre), est le premier homme et a été créé par Dieu lors du sixième jour de la Création. Ève fut créée à partir d’une côte d’Adam (Genèse 2:21,22). Le premier couple fut placé par Dieu dans le jardin d’Éden

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Pour les musulmans Satan refusa de se prosterner devant Adam et Dieu le chassa du paradis 

Or, Dieu avait interdit la consommation du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, mais le Serpent (Nahash en hébreu) tenta Ève qui mangea du fruit défendu et en donna à Adam qui en mangea à son tour. L’origine du péché originel[2] est cette faute commise par ces premiers humains, faute qui cause leur expulsion de l’Éden.  En termes de généalogie biblique, le récit attribue d’abord trois fils à Adam et Ève : Caïn, Abel et Seth, puis de nombreux autres enfants (genèse 5;v4). Selon des légendes juives non mentionnées dans la Bible hébraïque, Adam connut Lilith avant de connaître ÈveLa suite du livre de la Genèse raconte que, neuf générations après Adam et Ève (Genèse : 5-6 à 5-29), l’humanité née du premier couple a disparu sous le déluge, à l’exception de Noé et de sa famille (sa femme, ses fils Japhet, Sem, Cham et leurs femmes), à qui Dieu a confié la tâche de refonder l’humanité. Ainsi Noé est-il, selon la Bible, le plus récent ancêtre commun à toute l’humanité. 

Tradition 

Premier homme et prophète ainsi que père de l’humanité. Il est cité comme héritier de la terre après les djinns. Selon l’exégète d’islam Ibn Kathir dans son ouvrage « Contes de prophètes » la terre a été peuplée avant Adam de djinns une autre espèce de créatures non terriennes anéanties par les guerres et les destructions dont fut rescapé un de leur illustre savant et chef : Iblis (Satan). Dans la Loi d’Adam, il était permis au frère d’épouser sa sœur née d’un autre accouchement pour que la descendance des humains puisse se propager sur terre (ce qui a changé plus tard). Aussi Ève donnait le jour à chaque accouchement à un garçon et à une fille ; quarante fois dans sa vie 

Voir le dossier wikipedia….

Khéops

Cartouche pharaon.jpg (ou Khoufou) est le deuxième pharaon de la IVe dynastie. Manéthon l’appelle Souphis Ier et lui compte soixante-trois ans de règne. Le papyrus de Turin présente une lacune pour son nom, mais lui compte vingt-trois ans. 

On situe son règne aux alentours de -2551/-2549 à -2528/-2526

Le règne de Khéops, en égyptien Khoufou, abréviation de Khnoum-koue-foui (Khnoum me protège), est assez mal connu. Seule une statuette en ivoire d’une dizaine de centimètres à son effigie nous est parvenue. Il est le fils du roi Snéfrou et de la reine Hétep-Hérès Ire, et est considéré par certains comme l’un des plus grands de l’histoire de l’Égypte antique

Sa réputation repose surtout sur ses réalisations architecturales, entre autres la Grande pyramide de Gizeh, dont la construction dura vingt années, nécessitant 20 000 ouvriers, et considérée de nos jours comme la perfection en termes de technique de construction et d’architecture des pyramides égyptiennes. Son complexe funéraire comprend également les pyramides des reines Mérititès Ire (ou Méritit) et Hénoutsen, les tombes de ses fils et un mastaba de sa fille Néfertiabet ; Khéops aménagea aussi une sépulture pour sa mère Hétep-Hérès Ire après que sa tombe originelle eut été pillée

Selon Hérodote et les contes du papyrus Westcar (Nouvel Empire), à l’inverse de son père, le pharaon Snéfrou, Khéops était considéré comme un pharaon cruel et injuste envers son peuple. Cette réputation provient sans doute du fait que l’on imaginait mal un tel édifice être construit autrement que par des esclaves, dans la sueur et la souffrance. 

Khéops dans PERSONNAGES HISTORIQUES

Or, de récentes découvertes, suite aux fouilles menées par Mark Lehner ont révélé une ville des artisans et ouvriers à Gizeh. Il apparaît que ceux-ci étaient bien nourris, soignés et le cliché des esclaves menés au fouet est battu en brèche par les découvertes faites sur le terrain et dans les tombes. L’hypothèse a été émise que le projet des pyramides aurait pu constituer un projet fédérateur et un moyen politique et spirituel de réaliser l’unité des Deux Terres. À ces artisans et ouvriers spécialisés se joignait une main-d’œuvre venue des villages de toute l’Égypte, sans doute de façon non permanente, et les villages contribuaient également à ce grand projet religieux en envoyant des vivres. 

Khoufou construisit également des temples, en particulier il entama la construction du temple d’Hathor à Dendérah et on a retrouvé dans les fondations du temple de Bastet à Bubastis des éléments d’un monument à son nom. 

C’est sous ce règne fastueux pour l’architecture et la royauté que les nécropoles se développent de manière significative autour du complexe funéraire royal. Cette tendance déjà amorcée sous les règnes précédents et notamment celui de son père Snéfrou n’avait jamais pris une telle ampleur ce qui démontrerait qu’à l’époque de Khoufou la constitution de l’État est achevée et atteint déjà son apogée. 

Le privilège de pouvoir se faire inhumer aux côtés de son maître représenta alors la meilleure manière d’afficher sa réussite dans ce qu’était la société égyptienne d’alors. Le roi est au centre de tout et domine de son écrasant monument une vaste nécropole conçue à l’image de la cour. Plus sa sépulture est en vue de la pyramide royale, plus le rang est élevé. De nombreux mastabas livrèrent les statues et les fausses portes de ces courtisans, qui souhaitaient poursuivre dans leur mort leur service au plus proche de leur souverain. 

Visitez le dossier de wikipédia….

LES DIEUX SUMERIENS


Des divinités encore dans nos esprits

Les sumériens adoraient des centaines de dieux et de déesses qui jouaient un rôle crucial aussi bien au niveau collectif qu’au niveau personnel. Les sumériens établissaient des liens privilégiés avec un ou plusieurs dieux de leur choix. Il ressort de l’étude de leurs textes ou de leurs stèles que ces habitants de Mésopotamie n’hésitaient pas à se tourner vers leurs dieux pour obtenir assistance et protection concernant une foule de choses fort variées.

LES DIEUX SUMERIENS dans PEUPLES ANCIENS hieroplanes

Les récits bibliques des 11 premiers chapitres de la Genèse sont inspirés des légendes et mythes sumériens.

puce dans PEUPLES ANCIENS Les dieux correspondant aux diverses parties du monde (le ciel, la terre, les enfers).
puce Les divinités astrales (soleil, lune, étoiles).
puce Les forces de la nature (foudre, ouragan, et les dieux de la fécondité).

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Les 4 dieux créateurs :
An
( Anu, Antu ) qui règne sur les cieux.
Enlil
( Ellil ) qui dirige l’air ou l’atmosphère.
Enki
( EA, Nudimmud ) maître des eaux.
+  » Ninhursag  » ( Ninmah, Nintu, Mammi, Ki
) déesse de la terre.

Les trois divinités astrales
:
Nanna
( Sin, Yerah ), dieu de la lune.
Utu Babba
( Shamash ), dieu du soleil.
Inanna  » ( Ishtar ), déesse de Vénus.

lire la suite sur le site de référence ….

Une vision de la pureté d’âme

J’ai évoqué un peu plus haut la notion de pureté d’âme comme condition première à toute véritable ascension spirituelle, aux yeux du Christ. Il me souvient que, même dans ce domaine, Il dérangeait, attisant notamment le goût des Sadducéens pour la polémique… C’était la veille du sabbat et le Maître, selon son habitude, avait pris pour prétexte un petit incident survenu dans l’échoppe d’un avide marchand de grains de Capharnaüm afin de délivrer un enseignement. Il y avait précisément là quelques Sadducéens qui ne purent s’empêcher d’intervenir d’un ton plutôt narquois. 

Une vision de la pureté d'âme  dans PARABOLES aux MIRACLES AmeenAction

- « Et alors c’est quoi, selon toi, la pureté de l’âme, Rabbi? Nous connaissons bien cet homme et toi aussi… Nieras-tu qu’il respecte tous les devoirs que lui il pose notre foi? Que veux-tu de lui? Il adore et honore l’Eternel selon les prescriptions de la règle de Moïse. Laisse-le donc travailler comme il l’entend… Il est du nombre des justes!» - « La pureté d’âme? s’exclama le Maître, voulez-vous vraiment savoir ce qu’est la pureté d’âme dans le coeur de mon Père? La pureté, sachez-le, ne s’exprime pas par le respect des lois, fussent-elles de Moïse. Les lois contraignent, elles n’enseignent pas l’âme, elles ne la restituent pas à sa vraie nature. Elles disent « vous devez» pour que l’on courbe l’échine, trop rarement pour faire grandir. Écoutez-moi… L’âme qui veut croître se soucie peu des lois mais recherche la Loi unique, celle qui est inscrite depuis l’éternité dans son ciel intérieur telle une marque solaire. Cette loi-là s’appelle Amour, elle s’appelle  Compassion… Elle s’appelle aussi Sincérité. Je vous le dis, l’âme qui se présente ainsi devant le Tout-Puissant se moque des façades, des prescriptions et des morales. C’est alors qu’elle connaît la pureté… Non pas parce qu’elle peut se prétendre pure au regard des hommes mais bien parce qu’elle est pure face à l’Oeil de mon Père. 

(suite…)

Mode de vie des Esséniens


P. A. : Pouvez-vous nous parler un peu du mode de vie des Esséniens des villages et nous dire en quoi ces Esséniens étaient différents des autres ? 

 

Mode de vie des Esséniens dans ESSENIENS esseniens1ac




D. M. : Les Esséniens des Communautés villageoises étaient forts différents de ceux de Qumrân même s’ils menaient aussi une vie rigoureuse autour de règles strictes. Ils observaient une discipline de vie en accord global avec la Tradition judaïque de leur époque mais, en même temps, ils vivaient marginalement parce que de façon plus ouverte et souple car en prise constante avec les forces de la Nature.

On le sait, le Judaïsme est une religion qui se caractérise par un certain nombre de principes assez rigides et au sein de laquelle il faut s’en tenir à l’observance d’un certain nombre de lois. Il y avait tout cela dans les villages esséniens mais leurs habitants se sentaient totalement à part dans la mesure où ils parlaient beaucoup plus librement d’un certain nombre de sujets. Il y avait entre eux infiniment moins de tabous que dans l’ensemble du peuple qui se conformait, lui, à l’observance de la loi, à la lettre près.

Cependant, tout cela et le fait que le Maître Jésus ait été formé parmi eux ne signifie pas que les Esséniens étaient nécessairement des initiés au sens où nous l’entendons dans les milieux dits spiritualistes. Vous savez, aujourd’hui, on a tendance à les idéaliser un peu trop. On voit souvent systématiquement en eux des sortes d’initiés absolus dans les différents livres qui s’écrivent ici et là à leur sujet.

P. A. : Ce n’était pas le cas ?

D. M. : Il y avait évidemment de grands initiés parmi eux, de véritables Maîtres de Sagesse mais je dirais, au risque de décevoir certaines personnes, que la plupart des Esséniens c’étaient très simplement des personnes qui tentaient de mettre en pratique une éthique de vie où la pureté de la conscience et de la morale passaient avant toute chose, où on apprenait à partager, à donner. Certains s’appliquaient à cultiver ce qu’on appelait « la langue de lait », c’est-à-dire l’art de la parole douce et fluide. Tout cela ne veut cependant pas dire qu’ils étaient parfaits pour autant ! Il faut comprendre qu’il ne suffisait d’être essénien pour prétendre être un être de Sagesse ou encore un initié.

La plupart des Esséniens des campagnes qui étaient des gens simples et analphabètes qui, comme tout un chacun, exprimaient aussi leurs colères, leurs frustrations etc. Ils constituaient évidemment une communauté fascinante parce qu’elle avait une ouverture d’esprit largement au-delà de la moyenne à l’époque mais qu’il ne faut pas non plus, je le répète, idéaliser à l’extrême.

P. A. : Pouvez-vous nous parler des autres Communautés de ce temps-là ?

D. M. : D’abord, il faut savoir que le nom « Essénien » n’était pas employé communément à l’époque. On confondait généralement les Esséniens avec les Nazarites
et les Nazaréens qui étaient des mystiques se démarquant, eux aussi, par le port de la robe blanche, les cheveux longs, la barbe et par certains rituels également.

La plupart du temps, quand des Esséniens apparaissaient sur un lieu, on les confondait avec les Nazaréens ou les Nazarites. En réalité, ils étaient extrêmement discrets. Ce qui les distinguait beaucoup des Nazaréens et des Nazarites, c’était leur pratique des soins et des thérapies. Ils s’intéressaient vraiment beaucoup aux plantes et aux onguents et à tout ce que l’on appelle aujourd’hui « soins énergétiques ». On pourra y revenir plus tard. Leur Fraternité en tant que telle était relativement peu connue mais on savait qu’elle formait des guérisseurs.

Parallèlement à cela, les Esséniens étaient plutôt craints par l’ensemble de leurs contemporains parce qu’on avait l’impression qu’ils manipulaient ce qu’on appelle la magie, c’est-à-dire le maniement des lois énergétiques… avec des pratiques pas toujours très « nettes ».

Ce qui n’était pas du tout le cas mais disons que cela contribuait à ce qu’ils se tiennent à part, quelquefois excessivement. Cela se traduisait chez beaucoup d’entre eux par un indéniable sentiment d’élitisme.

Il existait malgré tout une espèce de fluidité entre toutes les petites Communautés esséniennes et l’ensemble du peuple. Cela fonctionnait bien et circulait bien mais… les Esséniens n’en restaient pas moins des gens qu’on montrait du doigt. On les appréciait pour leurs talents mais on les craignait un peu.

P. A. : Toujours à cause de leur côté « élite » ?

D. M. : Nombre d’entre eux se percevaient de toute évidence comme appartenant à une élite. Ils n’étaient pas systématiquement perçus comme tels mais leur marginalité intriguait, inquiétait parfois et en faisait des êtres à part avec tout ce que cela sous-entend. 

 

Issu du site de Daniel Meurois:  www.meurois-givaudan.com – Interview  d’octobre 2008 par Louise-Anne Holstein qui est bien entendu toujours d’actualité ! De Mémoires d’Esséniens. 

Le cercle des douze

Je commencerai tout d’abord par évoquer globalement mes souvenirs quant au premier fameux cercle des douze apôtres. Le chiffre en est beau parce que d’abord symbolique. Il correspond en effet à un modèle d’organisation que l’on retrouve un peu partout dans la Mathématique sacrée de la Nature. Il se réfère à un archétype universel; il suggère un équilibre et une perfection qui nous renvoient à l’Ordre cosmique

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Le cercle des douze dans PERSONNAGES HISTORIQUES apotres

 

Le Maître Lui-même a sans doute en effet tenté tout au long de sa mission publique, de le susciter autour de Lui. Dans l’action cependant, il en allait tout autrement. Certains de ses très proches disciples se sont éloignés de Lui, parfois pour toujours, parfois pour un temps, tandis que d’autres sont venus les remplacer. Ainsi, les « Douze » n’ont pas toujours été douze. Ils ont été parfois plus, parfois moins… et pas toujours les mêmes! … Qu’on ne soit donc pas surpris si, en comparant entre eux les Évangiles canoniques, la liste des apôtres officiels diffère quelque peu! Je puis vous dire que, dans l’entourage du Maître, tout était tellement souple et en perpétuel mouvement que nous n’avions pas conscience d’une sorte de noyau privilégié de douze personnes qui seraient susceptibles de « laisser un nom dans l’histoire ». 

Lorsqu’il m’arrive aujourd’hui de me remémorer avec force certains moments vécus aux côtés de Jean, d’André, de Thomas ou d’autres, je dois reconnaître que j’étais bien loin d’imaginer la marque indélébile que ceux-ci laisseraient dans le Temps. Nous nous voyions tous, me semble-t-il, comme faisant partie d’une grande famille un peu errante et aux membres fluctuants. Tous, autant que nous étions, nous faisions figure d’amis, de complices, parfois de rivaux, car nous étions avant tout des êtres humains à la recherche de leur place et de leur propre définition. L’imagerie populaire présente souvent les fameux douze apôtres telle une équipe unie, avec ses faiblesses certes, mais solidaire autour du Christ… 

Au risque de décevoir, je dirai cependant que la réalité était passablement différente. Il y avait des courants de pensée et des sensibilités très diverses chez les plus proches disciples du Maître. J’ai assisté à de fréquentes manifestations d’inimitié chez certains d’entre eux, notamment entre Simon – le futur Pierre – et Éliazar… qui devint, ainsi que nous le verrons par la suite, Jean. Eux aussi étaient à l’école… comme nous tous! Quelle qu’ait été leur dimension spirituelle profonde, ils portaient leur part de plomb humain dont ils devaient s’accommoder. Lorsque l’on parvenait à être attentif à ce qui se passait entre eux et le Maître, il devenait évident que Celui-ci cherchait presque constamment à les pousser, à tour de rôle, au bout de leurs propres résistances. C’était leurs capacités d’adaptation et de révolution intérieure qui étaient mises à l’épreuve, parfois avec une ingéniosité surprenante. 

Nul doute que l’intimité du Maître avait quelque chose d’épuisant pour le corps et la personnalité incarnée d’autrui. Si le fond de l’âme de ses plus proches était labouré, purifié puis régénéré du fait de sa présence continue, ce que nous appelons aujourd’hui l’ego se voyait sans cesse passé au laminoir. En réalité, plus un être était proche de Lui, moins il avait la possibilité de se reposer puisqu’il lui était demandé « toujours plus ». Et pourtant. .. cette exigence qui pourrait nous paraître insupportable dispensait simultanément une onde de paix qui, à elle seule, constituait un véritable mystère. 

Je me souviens que lorsque Jean se confiait à certains d’entre nous, il parlait d’une merveilleuse et énigmatique stabilité enseignante au coeur de ce qui semblait être pour lui une exaspérante instabilité. En schématisant quelque peu, je dirais donc que l’art de la chute libre, mêlé subtilement à celui du vol en altitude, faisait partie des moteurs de l’enseignement du Christ à ses proches disciples. Les personnalités des uns et des autres n’étaient toutefois jamais « cassées » comme cela arrive parfois auprès de certains enseignants que l’on dit Maîtres. Je dirais qu’elles étaient plutôt inlassablement polies comme des galets roulés par les vagues sur une grève. Cela aboutissait au fait que les douze « théoriques » conservaient leur entière liberté d’expression jusque dans la manifestation de leurs rivalités internes. 

Je n’ai personnellement aucun souvenir que les apôtres au sens classique du terme aient formé un groupe homogène en mettant leurs propres dissensions de côté pour s’unir d’un seul et même souffle autour de Jeshua. Il ne s’agit pas de flétrir leur image ni de diminuer leur impact dans l’histoire de la propagation du Message mais de bien prendre conscience des difficultés humaines qu’ils ont dû s’efforcer de dépasser afin de mener à bien leur propre mission. La conséquence directe de cet état de fait se décode aisément à la première analyse des Évangiles canoniques. Les courants de sensibilité et donc de compréhension exprimés par tel ou tel apôtre ont abouti tout naturellement à des témoignages écrits différents les uns des autres puis ont rapidement créé, par voie de conséquence, des Écoles de pensée divergentes, parfois même concurrentes. 

Face à un événement ou à une parole reçue, on sait que chacun d’entre nous réagit à sa façon en fonction de son bagage personnel et retransmet une même information selon son propre lexique. Les apôtres, qu’ils aient été dix, douze ou davantage n’ont pas été capables d’agir autrement, d’autant plus que les textes qu’ils ont inspirés et qui nous sont parvenus n’ont jamais été rédigés de leurs mains (1) Leurs noms ont été empruntés afin de véhiculer les courants de pensée nés de leurs personnalités et que leur culture individuelle leur avait permis de comprendre. 

Aucun des proches disciples du Maître n’aurait d’ailleurs imaginé que son nom aurait pu être associé à un manuscrit et traverser les siècles jusqu’à nous afin de servir de base à une religion. Le Christ leur parlait d’une foi spontanée à propager, d’une foi en l’absolue Lumière… et non d’une religion à bâtir. Aucune préoccupation tournant autour d’un possible pouvoir temporel à instaurer ne les habitait donc, à l’exception – peut-être – de Judas qui demeura toujours proche de la fougue caractérisant les Zélotes

Les messages Esséniens – Daniel Meurois-Givaudan  - les  enseignements premier du Christ. 

 

A PROPOS

 

 

 

A PROPOS BONJOUR_blue

 

 

Suite à mes nombreuses lectures, dans mon parcours spirituel, ayant perdu de très nombreux êtres de ma famille sur Terre, j’ai cherché, oui j’ai cherché durant de nombreuses années et j’ai trouvé mon chemin, celui qui mène à la conscience de SOI ! 

Si vous osez choisir le meilleur pour vous, si vous choisissez et osez de suivre vos rêves les plus profonds, vous verrez apparaître en vous une fantastique énergie qui vous propulsera en avant et qui vous permettra d’accomplir vos rêves. 

 

 

Jamais aucune époque n’aura été aussi propice que celle-ci à l’accomplissement de vos rêves les plus profonds, de ces rêves de lumière, de ces rêves d’amour que chacun d’entre vous, vous portez enfouis tout au fond de votre cœur. 

Osez taper à la porte de vos rêves, de ces rêves d’enfants oubliés, osez retrouver ce que vous étiez avant de perdre votre reliance et d’être enfermé dans ce système. Le rêve qui vous habite profondément est en réalité cette essence divine qui est ce que vous êtes car au-delà de votre compréhension humaine, vous êtes tous et chacun d’entre vous la matérialisation dans une apparence humaine d’un rêve divin. 

« Nous vous rappelons, à vous, habitants de la Terre du début du vingt et unième siècle, que le but du voyage que nous entreprenons en votre compagnie concerne votre destin. Nous vous avons parlé du Grand Livre de la Terre, de la façon dont vous pouvez y avoir accès et comment vous pouvez l’utiliser… Vous existez à chaque instant du passé, du présent et du futur, et vous pouvez faire un choix dans n’importe lequel de ces instants… 

 

Barre de Séparation

 

Utilisez vos résistances en les transformant en alliées au lieu de les voir comme des ennemies de votre évolution positive. 

Cela est facile à dire et certainement moins aisé à mettre en pratique, je vous l’accorde. Néanmoins, vous disposez des outils nécessaires à la réalisation de ce processus d’amoindrissement des résistances existentielles. Pour cela, il vous suffit d’être pleinement conscient, chaque seconde de la journée du fait que votre état d’être et votre perception des choses ne tiennent qu’à vous. Vous ressentez ce que vous souhaitez ressentir. Vous vivez ce que vous souhaitez vivre. Dès que vous ressentez un malaise intérieur, un mal être tant émotionnel que mental, prenez conscience de la possibilité que vous avez de refuser ces perturbations. Par « refuser, nous ne voulons pas dire de les contrer ou de les repousser ; les refuser consiste ici  à les reconnaître comme étant des aspects extérieurs à notre être essentiel. Lorsque vous reconnaissez cela, alors vous prenez conscience que l’énergie-lumière à l’intérieur de vous n’est pas tout ce qui vous encombre quotidiennement, vous réussissez alors à faire de ces « résistances » des alliées, non des ennemies. 

 

Je souhaite que par ce blog, nous arrivions à nous rencontrer tous ensemble, avec une irrésistible perspicacité empreinte de compassion, les Pleiadiens – ces voyageurs temporels en provenance du futur – nous amènent une fois de plus à découvrir des territoires inexplorés du Grand Livre de la Terre, qui englobe toute l’histoire de l’humanité.  

 

L’éveil de notre conscience n’aura jamais été présenté avec autant de ressenti, et notre mission, individuelle et planétaire, avec autant d’amour.

 

 

 

 

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Enfants de tous âges

AEk6Pour les enfants de tous âges : Dallas, Texas 1998  

 Commentaire de Lee Carroll : depuis quelques années, beaucoup de gens me demandent s’il serait possible de canaliser Kryeon pour les enfants. Puisque toute la question des enfants indigo fut d’abord publiée dans un de ses livres (tome IV, Partenaire avec le Divin), il semblait normal que celui-ci le désire et puisse le faire.    Ainsi, pour tous ceux qui l’ont demandé, nous présentons un des deux channelings enregistrés il y a plusieurs années, en présence des enfants, au cours d’un séminaire de Kryeon au Texas. À cette occasion, la salle était pleine de jeunes de trois à douze ans. Il y avait également quelques bébés, et plusieurs parents et aînés qui tenaient eux aussi à être là. La présentation débute par mon introduction, puis Kryeon commence en s’adressant directement aux enfants. Vous êtes les premiers à lire ce channeling, qui avait été enfoui tout ce temps au fond d’un tiroir et qu’on a récemment découvert et transcrit.  

Les propos de Lee aux enfants    

Bonjour, les enfants ! Bienvenue ! Je remarque que le plus jeune a environ deux mois et le plus âgé, soixante-quatorze ans. Ne levez pas la main si vous êtes le plus âgé, je sais qui vous êtes ! [rires] C’est un événement rare ! Ça m’est arrivé une seule fois, et j’imagine facilement qu’un jour ce court channeling sera partie intégrante d’un livre. Toutefois, si nous faisons ça seulement une fois par année, il pourrait se passer des dizaines d’années avant qu’on puisse créer un livre ! [rires] 

Si vous êtes ici et que vous avez de neuf ans à vingt ans, je suis désolé que vous ayez dû venir à ce channeling destiné aux enfants, puisque nous savons tous que vous n’en êtes plus, n’est-ce pas ? [petits clins d'oeil]. Mais ceci est vraiment pour nous tous, bien que les enfants soient ici juste pour ça. [Un enfant pousse un cri strident. Lee s'arrête et le regarde.] Parfois, je me sens exactement comme toi ! Mais je ne peux pas faire comme toi ! Les grands m’en empêcheraient !  

 D’accord, ça, c’est juste pour vous. Je ne sais pas si vous savez ce que c’est que le channeling : ce n’est pas bizarre et ça ne donne pas la chair de poule, parce que même vous, vous le faites quelquefois, mais vous ne voulez pas l’admettre. Je sais que vous le faites lorsque vous parlez à vos anges et qu’ils vous donnent des réponses. Même que certains d’entre vous voient les anges, mais n’en parlent pas aux adultes. Voici ce qui va se passer maintenant : je suis Lee Carroll, c’est mon nom, et je vais me mettre en contact avec un ange nommé Kryeon. Peut-être que vous ne verrez pas l’ange, ni ses grandes ailes, ni autre chose du genre, mais je vais fermer les yeux, et cet ange spécial va m’envoyer un message spécialement pour vous. Vous avez sûrement déjà entendu le nom de Kryeon, puisque toutes ces grandes personnes sont ici avec vous. En fait, ce sont elles qui vous ont emmenés ici. Mais ce moment vous appartient, alors faites semblant qu’elles ne sont pas dans la salle. Il s’agit de l’ange spécial, Kryeon, et de son message spécialement pour vous. Vous n’aurez pas besoin de fermer les yeux quand je fermerai les miens. En fait, vous n’avez rien à faire, mais je vous invite à regarder et à écouter, tout simplement. Quand Kryeon arrivera, il pourrait bien y avoir une histoire pour vous… Voyons ce qui va se passer.  

 [Le silence s'installe.]   Salutations, chers amis, et Salutations, chers amis, et vous, les tout-petits, je suis bien Kryeon, du Service magnétique !  

Ne vous laissez pas tromper, car je suis vraiment un ange, et pour vous, j’ai quelque chose de différent des autres grandes personnes présentes ici : en fait, je n’ai jamais, jamais été un être humain ! Même si c’est difficile à expliquer, cela veut dire que je peux ressentir les choses comme un enfant. Cela veut dire aussi que je peux comprendre ce que vous pensez et que, pour cette raison, je peux mieux vous aimer et vous aider !  

Avant de commencer notre histoire, nous allons nous adresser à ceux qui sont juste un peu plus âgés que vous, présents dans cette salle ou en train de lire ces mots dans un livre qui sera imprimé un jour. Patientez quelques instants pendant que je leur parle. Ensuite, nous commencerons vraiment notre histoire.  

 À vous, très chers, qui n’êtes plus des enfants, mais qui pouvez vous souvenir de l’avoir été il y a quelques années, j’aimerais rappeler quelque chose. Quand vous étiez petits et que vous regardiez les adultes, peut-être avez-vous vu en eux une chose dont vous n’avez jamais parlé, parce que c’était trop secret, mais je sais ce que vous avez pensé à ce moment-là. Vous les regardiez en vous disant : « Je ne veux pas devenir comme ça parce que les adultes ont perdu leur plaisir de vivre ! Ils ne rient plus. Ils ne savent plus jouer. » Alors, mon message pour vous est le suivant : ne perdez pas les plaisirs de l’enfance, car le plaisir des petits qui sont assis ici est si précieux ! C’est un catalyseur d’illumination ! Il peut avoir été retenu pendant toute votre vie. Pourtant, vous pouvez encore jouer ! Ceci est un moment précieux pour vous. C’est aussi un moment où vous pouvez oublier ce plaisir. C’est votre choix !  

 Les adultes ont l’habitude de répéter: « Quand j’étais enfant, je parlais et pensais comme un enfant, mais quand j’ai grandi, j’ai mis de côté les choses enfantines. » Aujourd’hui, nous vous le disons : « Ne rangez pas l’enfant dans un placard !  Conservez le plaisir de vivre qui sera toujours là, c’est le secret pour trouver l’ange invisible qui habite en vous. »  

Maintenant, à nous, les tout-petits ! Je vais m’adresser à vous comme un ange, je vais vous envoyer un message que même les grandes personnes n’ont encore jamais entendu. Saviez-vous, les enfants, que les anges ne devenaient jamais des adultes ? C’est la vérité ! Ils ont toujours le même âge. Les adultes croient les grands anges, et ils pensent qu’ils sont des anges adultes, mais ce n’est pas vrai. Ils restent toujours des enfants dans de grands corps. Ils ont toujours le même âge. C’est un peu comme un secret, mais je pense que vous savez tout ça, n’est-ce pas ? Nous avons autre chose à vous confier ; il y a un ange près de vous sans arrêt. Les aviez-vous ? Vous pourriez répondre ; « J’en ai jamais vu mon ange. Qu’est-ce que tu veux dire, Kryeon ? » Je vais vous l’expliquer. 

Je vais vous raconter une histoire à propos d’une petite créature qui avait le même problème. Elle disait : « S’il y aune chose que je n’ai jamais vue, alors comment est-ce que je peux savoir qu’elle existe vraiment ? » C’est une histoire sur les choses invisibles, spécialement pour vous. Cet ange, Kryeon, qui est en train de vous parler, et qui est aussi un enfant, peut raconter ces histoires avec l’aide de Lee, son partenaire, qui, lui aussi, n’a jamais grandi ! [rires] 

Nous allons vous raconter l’histoire de Bernie, cet oiseau qui avait peur de voler. Nous voulons vous narrer comment ça s’est passé, parce que c’est une histoire merveilleuse que tout le monde connaît au pays des oiseaux. Tous les oiseaux s’en souviennent d’ailleurs. 

Kryeon canalisé par Lee Carroll 

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