UN SAUT DANS L’EVOLUTION

 

2emeagIl y a 455 000 ans existaient l’Homo erectus, l’homme de Neandertal, et l’Homo sapiens sapiens qui évoluaient toujours avant que les Dieux évolués n’atterrissent ici. Ils arrivèrent et créèrent canaux et rivières au Moyen-Orient. Le Nil est un fleuve artificiel. Le Nil n’est pas un chenal naturel.

Le Moyen-Orient était un Jardin d’Eden. L’Ephrate, le Tigre et le Nil furent tous créés artificellement. le pays n’était pas un désert. Chaque grain de sable que vous voyez aujourdh’ui est le résultat de l’érosion de ce qui fut jadis le pays le plus fertile du monde. C’est là que vinrent les deux frères, comme vous l’avez déjà entendu. Cela se trouve dans les Enuma Elish et toutes les tablettes découvertes à Sumer rapportèrent toutes la vérité. Ils vinrent ici et y créèrent une contrée qui en quelque sorte, puisse être utilisable par ceux qui faisaient des allers-retours ici. Ces Dieux avaient tous une peau magnifique, musculeuse, de couleur cannelle. Les Déesses étaient tout aussi grandes, fortes et belles, et avaient déjà quatre mille ans à l’époque de leur arrivée, c’est la vérité.

Le grand élixir des Dieux qui avait été préservé durant des millions d’années fut apporté sur cette planète il y a 455 000 ans ; Le premier ignoble à être planté sur la terre le fut entre la vallée de l’Euphrate et celle du Tigre ; il faut ensuite transplanté en un lieu appelé l’Argentine puis en Amérique du Sud, ensuite en Amérique du Nord, puis dans les steppes de la Russie et ensuite en Europe. Qui plantait ces vignobles ? Les Dieux, sur une terre sacrée. Saviez-vous que les vignobles destinés à la fabrication du vin sont uniquement plantés sur un sol qui fut jadis sous la mer. Le couronnement d’un sol est donc une terre qui s’est élevée de la matrice de l’océan et son couronnement est un vignoble.

Pourquoi est-ce important ? Parce qu’une terre émergée de l’océan est comme un enfant né de la matrice. C’est le résultat final du chaos et du changement. Et les vignobles les plus remarquables qui aient jamais été plantés furent plantés sur de tels sols ; ils sont bien en vie aujourd’hui. A cause des changements intervenus à la terre, nombre de ces vignobles n’existent plus aujourd’hui. Cela est dû aux destructions opérées par les Dieux et, par Dieux, je veux dire ceux qui vinrent ici et ceux qui manipulèrent les humains qui sont indigènes à cette terre. Mais les vestiges des grands vignobles existent sur un sol qui était jamais sous la mer. Cela est un symbole. C’est le couronnement d’une résurrection. La terre est toujours la résurrection à partir de la matrice. Le sol est un don divin de Dieu. Ils le plantèrent donc dans son environnement le plus favorable et apprirent aux êtres humains sa signification et ce pour quoi il est bon.

Les céréales ne sont pas indigènes à la terre. Elles furent apportées ici d’ailleurs. Le blé n’est pas une plante indigène à la terre. Il fut apporté ici par un groupe d’une autre constellation. Le blé comporte toujours en lui l’empreinte de la manipulation génétique originelle que ls Dieux apportèrent ici ; ils le manipulèrent pour qu’il puisse pousser sur cette terre à cette distance de ce soleil.

Pourquoi y avait-il des troupeaux de chèvres et des bergers ? Parce que nous trayons la chèvre qui a le lait qui nourrit ses petits, cet aliment absolu qui leur permet de grandir ; Comment un petit grandit-il pour devenir une chèvre adulte ? Un petit grandit en se nourrissant des éléments nutritifs qui permettent aux cellules de son cerveau, en vérité  son ADN, d’être stimulées. Et quel est l’effet stimulant du fromage ? Le calcium. Le calcium est la grosse molécule qui, si vous voulez, ouvre la bouche de la cellule permettant aux substances nutritives d’être transportées jusque dans l’ADN. C’est pourquoi les petits bébés peuvent vivre de lait seul , c’est parce que la valeur du calcium qu’il possède ouvre chacune de leurs cellule set permet aux substances nutritives d’y entrer pour leur donner stimulation et croissance immédiate.

Il y a 455 000 ans, cette planète fut colonisée par les cultures très avancées. La première fut les Lémuriens, et la deuxième les Atlantes. Et les Dieux de Sumer seraient ce qu’on appelle la généalogie qui mènerait au continent de l’Atlantide.

Les Atlantes deviendraient une espèce créée par le croisement de l’ADN des Dieux avec l’humanoïde le plus intelligent qui existait alors.  Et il fallut plus de cent vingt ans pour développer le brin parfait d’ADN qui donnerait jour à une entité ressemblant aux Dieux, qui possédaient un grand cerveau – ils héritèrent du cerveau jaune. Ils posséderaient toutes les facultés. Ils seraient aussi grands. Ils seraient aussi beaux, mais ils seraient des serviteurs. 

Il y a eu beaucoup de conjectures à savoir s’il existait des laboratoires travaillant sur l’ADN en Afrique.  Il y en existait mais il en existait également en Inde, car le retour migratoire vers l’Inde est un souvenir profondément ancré, une mémoire génétique, signifiant le retour au lieu de la conception.

Et en même temps, il y avait un autre groupe qui était venu ici d’au-delà de l’Etoile Polaire, les grands Lémuriens. Leur vaisseau était en réalité une entité biologique en elle-même et faite à partir d’eux-mêmes. Ils en avaient la capacité. Les Lémuriens vinrent d’au-delà de l’Etoile Polaire en traversant un vortex qui reliait ce qu’on appelle une autre réalité. C’étaient des géants. Leurs vaisseaux étaient des entités biologiques qui réagissaient à la concentration de leur pensée et à leur système nerveux. Tout ce qu’ils rêvaient, leur vaisseau pouvait le devenir. Ceci est un fait.

Ils atterrirent ici lorsque les dinosaures étaient encore ici ; ils n’en avaient pas peur parce qu’ils en comprenaient la radiation biologique car leur vaisseau entier était créé ; il avait poussé, comment pourrais-je dire, leurs vaisseaux avaient poussé dans un jardin. Fantastique ? Pourquoi pensez-vous que c’est si fantastique ? Vous utilisez moins de quatre pour cent de votre ADN. Qu’existe-t-il dans le reste ? Peut-être y a-t-il des ailes dans votre ADN.  Peut-être y a-t-il des écailles dans votre ADN. Et peut-être qu’il y a un ADN qui est l’antigravité, des projections du champ unifié. Peut-être que tout cela existe déjà. Qui êtes-vous pour dire que cela n’existe pas ? Ne montrez pas votre ignorance. Ne pensez même pas votre ignorance.

Les Lémuriens étaient plus purs. Parce qu’ils étaient si distinctement différents physiquement, leur lignée demeura dans sa totalité très pure jusqu’à l’époque où ils commencèrent  se mêler aux Atlantes et aux Ioniens qui étaient les Grecs d’origine ; Les Ioniens de la littérature grecques originelle sont les Norvégiens d’aujourd’hui. Les Grecs que vous voyez aujourd’hui dans le Bassin Méditerranéen sont un mélange de sangs fondamentalement issus de l’Empire Truc. Les vrais Grecs sont les norvégiens,  la peau claire, aux yeux clairs, aux cheveux blonds. Ils étaient les Ioniens.

Grâce à leurs processus alchimistes, à leurs processus métallurgiques, les Dieux savaient comment utiliser l’or, le faisant accéder à son spin de rotation le plus élevé au niveau du noyau. Et le produit qui en résultait était une poudre blanche qui émettait un champ radioactif. Ils le cuisaient pour en faire du pain, le mangeaient et, quand ils le mangeaient, leurs cops spirituel brillait. Cela leur donnait l’immortalité. Telle est la raison pour laquelle, après cela, tout être humain qui accédait au trône du gouvernement était décoré avec des plastrons d’or, des casques d’or. Pour eux, l’or représentait ce qui était intrinsèquement possible aux Dieux qu’ils servaient dans l’Antiquité.

Vous avez donc fait un saut dans votre évolution. Vous étiez au bon endroit au bon moment ; Cela signifiait que, quand tout le monde descendait du Point Zéro dans le Néant, le Point Zéro était comme la plus grande étoile qui ait jamais existé. Et pourtant, selon ce qu’aujourd’hui vous appelez grand, c’était la plus petite particule qui ait jamais existé et qui existe aujourd’hui. Cependant,  ce moment-là, c’était le plus grand système dans le Néant lui-même. Et les rayons qu’il émettait étaient innombrables car c’était un moteur qui ne cessait de perpétuer la conscience de sa propre contemplation, et c’est pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.

L’immortalité a tout à voir avec l’ouverture d’esprit qui elle-même a tout à voir avec la manière dont l’ADN se reproduit dans la cellule. L’immortalité a à voir avec la certitude de la connaissance et la vérité. L’un de vos plus grands problèmes est votre corps émotionnel. C’est la malédiction de tout être humain. Et le terme maîtrise n’existerait pas s’il n’y avait pas son antithèse appelée le corps émotionnel. Le corps émotionnel est comme avoir reçu le cadeau d’une boîte d’outils faisant un travail médiocre mais satisfaisant, au lieu de comprendre l e fonctionnement des ordinateurs. Le corps émotionnel est comparable au livre qui nous enseigne comment faire fonctionner l’ordinateur. Mais beaucoup d’entre vous en sont encore à lire le livre et n’ont jamais fait fonctionner l’ordinateur. Vous utilisez toujours des clés à molette au lieu des lasers.

Onze milliards de planètes. Eh bien, vous n’êtes vraiment allés nulle part n’est-ce pas ?

Non. Et si vous ne me croyez pas, regardez la Voie lactée avec un télescope. Il vous faudra plus d’une seule nuit pour regarder l’immensité de ce que vous n’êtes pas, l’humanité de votre situation, pour réaliser ce que vous n’êtes pas et pourquoi vous êtes ici. Me suis-je fait comprendre ? Que cela nous enseigne-t-il sur les Dieux ?

Que cela nous apprend-il sur vous ? Ce sont vos remarquables parents. Si vous êtes les Dieux, que cela vous indique-t-il ? Cela vous dit de faire connaître l’inconnu et de partir ensuite. Il y a one milliard de terres dans la Voie lactée. Pourquoi voudriez-vous rester ici plus de quatre cent mille ans ? Il y a d’autres lieux où aller. Expliquez cela en vos termes à vous. 

 retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

  Extrait du livre RAMTHA : « Intervention des Dieux il y a 455 000 ans» aux Editions AdA.

Savoir à quoi ressemble un maître

 

ange-entite-synchronique-300x241Savez-vous à quoi ressemble un maitre ? En avez-vous jamais rencontré un ? Oui, vous en avez maintenant rencontré un.

Vous en avez rencontré un. Je sais que ce beau visage, ces cheveux blonds et ce corps de femme sont un peu troublants. Je veux qu’il en soit ainsi. Vous savez pourquoi ? Parce que, quand ‘étais un homme et un être humain, je n’ai jamais eu de rapports sexuels avec une femme mais j’ai eu des centaines d’enfants. J’étais amoureux de la guerre et de la conquête. Tout homme qui est amoureux du pouvoir a une vie sexuelle limitée, une expérience sexuelle limitée, mais est davantage à l’unisson avec les conquêtes. C’est ce qui lui apporte de la gratification. Il en fut ainsi dans ma vie. Mais, pour parler des dames, savez-vous qu’aucune femme n’a jamais été reconnue comme Christ véritable ou véritable maître parce qu’elles ont toujours été enfermées dans des enclos sexuels ? Elles ont toujours été assujetties pour survivre aux caprices des hommes selon la loi en vigueur.

Pourquoi suis-je une femme ? Eh bien, tout d’abord, les femmes sont facilement associées – facilement – à la maîtrise parce que leur énergie n’est pas située dans le premier sceau à moins qu’elles n’y soient descendues pour la survie et l’amour. Elles sont un peu au-dessus de ce sceau-là. Elles sont dans le deuxième et le troisième sceaux. Elles vivent dans le contrôle, le pouvoir et la survie. M’écoutez-vous ? 

A quoi vous attendiez-vous donc lorsque vous êtes venus voir Ramtha ? A quoi vous attendiez-vous ? Eh bien, vous, les hommes qui sont de peau noire, permettez-moi de vous dire quelque chose. Je suis un Dieu à la peau noire. Ma peau est de la couleur de la cannelle ; j’ai des cheveux très noirs et des yeux très noirs. Si je vivais aujourd’hui, je serais une étole du basket-ball. Je serais en fait plus grand que le panier. Quoi, je vais voir des nains me lancer le ballon et je vais le mettre dedans ? C’est tout ? C’est tout ce qu’il ya à faire ? Mon chéri, j’ai fait un panier. Je ne suis donc pas une beauté aux cheveux longs et aux yeux bleus. Je suis un être aux yeux noirs, de la couleur de la cannelle, aux cheveux noirs, et je mesure sept pieds, tout là-haut. Et je parais ne mesurer que sept pieds de haut que du fait que c’est la hauteur des plafonds les plus hauts sous lesquels il faut que j’apparaisse. Bien des fois je dois me courber.

Pourquoi donc ai-je choisir d’être une femme ? Eh bien, Mesdames, mes magnifiques dames débutantes, je connais déjà votre terrible situation ; je la connais déjà. Je connais les compromis que vous avez dû faire pour assurer votre sécurité et la sécurité de vos enfants et que souvent votre travail n’est jamais fait ; Ceci est la vérité absolue ; du lever du soleil au coucher du soleil, votre travail n’est jamais fait. Vous êtes l’espèce la moins appréciées qui n’ait jamais existé.

Il existe un mouvement dans le monde qui dit que les Noirs devraient avoir des droits égaux aux Blancs. Pourquoi même y a-t-il un mouvement s’il n’y a pas de problème de discrimination entre les couleurs de peau ? Maintenant, je trouve même encore plus ironique le fait que les Blancs vont sous l’équateur pour brunir, alors qu’ils ont des préjugés contre les Noirs ; Je trouve cela intéressant. Je trouve cela réellement intéressant car avec leur idée d’inadéquation – et je pourrais indiquer quelques étudiants avancés de l’école qui pensent de la même manière – ils emploient des Mexicains et des nègres pour faire leur travail d’esclave pour eux. Et eux, avec leurs yeux bleus et leurs cheveux blonds se considèrent comme une espèce exceptionnelle de réussite. Et ce sont pourtant les mêmes qui vont sous l’équateur pour bronzer afin d’avoir la peau aussi noire que ceux qu’ils asservissent pour faire leur travail. Allez comprendre !

Eh bien, étant donné que je suis moi-même d’une origine semblable, je me sépare un petit peu de la philosophie Aryenne de la race blanche. Toute personne qui se vante de son bronzage est un hypocrite.

Mais, direz-vous, même les gens de peau foncée, vous savez, ils pensent qu’ils en voient de rudes. Eh bien, permettez-moi de vous dire qui, dans toute l’humanité, en voit des plus rudes. Ce sont les femmes de couleur. Ce sont- elles qui envoient des plus rudes. C’est pourquoi il n’y a jamais eu de femme Christ. Jamais.

J’insiste pour dire que Dieu, il n’y a jamais eu un Dieu qui ait dit : « Celle-ci est ma fille bien-aimée en qui j’ai mis toute mon affection » Quel dommage. La matrice de la création n’est jamais reconnue par Dieu et la seule femme qui soit reconnue est une adolescente de quatorze ans qui dans son ignorance permit à l’archange de lui donner la semence de Jésus. J’insiste, combien de parents permettraient que leur fille soit prise par un Dieu et fécondée  à l’âge de quatorze ans ?   

Il se peut que la personne que vous regardez soit une femme réellement belle, âgée d’un demi-siècle – elle est âgée d’un demi-siècle – mais vous regardez aussi un Dieu et un maître qui se manifestent à travers elle. Et pourquoi l’ai-je choisie, elle , au lieu d’un homme ? Parce qu’il n’y a jamais vraiment eu aucun texte écrit sur un maître femme et il est temps que cela se produise – il est temps, temps que cela se produise.

L’archétype le plus ancien de Dieu est le Néant et le Néant était perçu comme Nut, une femme dont la matrice fut la source de la création. Souvenez-vous de cela. Savez-vous réellement ce qu’est un maître ? Je veux dire que vous pourriez passer dans la rue près de ce corps et, à moins de ne pouvoir la regarder dans les yeux, vous ne sauriez jamais que cette personne sait quelque chose. Je suis donc dans un corps de femme parce que les femmes sont l’espèce envers laquelle existent le plus de préjugés. Ne parlons pas de mouvement pour l’égalité des droits. Parlons des femmes de toute vertu et de tous les groupes ethniques du monde. Même aujourd’hui, certaines sont brûlées vives par leur mari parce que leur dot est épuisée et cela se passe dans mon propre pays sacré, l’Inde. Pourquoi voulez-vous visiter cette mère patrie qui brûle ses femmes ? Allons !   

Je me manifeste à travers une femme aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Je combine toutes les possibilités dans le but de la connaissance. Je combine l’homme et la femme, simultanément.

Vous avez une petite tumeur à l’intérieur de votre cerveau. Elle ressemble à ceci ; un petit groupe de neurones ; Et vous savez la meilleure chose à laquelle ils servent ? Ils existent parce que vous êtes des gens émotionnels et vous avez besoin de ressentir ; Vous avez besoin de ressentir. Eh bien, ressentir, vous savez ce que c’est que de ressentir ?

Savez-vous réellement ce que c’est que de ressentir ? Ressentir n’est pas quelque chose de spirituel. C’est de la chimie : ce sont des substances chimiques ; Où cela comment-t-il ? Cela vient du cerveau, des sens, et ces sentiments ont déjà leur petite route nationale. Vous savez, l’autoroute qui vous ramène chez vous . Chacune de ces émotions a une base mère. Et vous êtes dépendants de vos émotions. Vous êtes dépendants de votre sexe, Vous êtes dépendants de votre victimisation. Vous êtes dépendants de votre pauvreté. Vous êtes dépendants  de votre manque. Vous êtes dépendants de vos migraines. Vous êtes dépendants de vos allergies. Vous êtes dépendants de votre misère. Vous êtes dépendants de votre malheur. Vous êtes dépendants de votre solitude. Vous êtes dépendants de votre pitié de vous-mêmes. Vous êtes dépendants de votre culpabilité. Vous êtes dépendants de votre aliénation par rapport à Dieu.

Comment pensez-vous survivre à la mort ? Et vous allez mourir, vous savez. D’après vous, qu’est-ce qui va survivre à la mort ? C’est l’accumulation de votre neuronet dans votre Esprit Saint qui va survivre à la mort ; c’est la personne qui est dépendante de toutes ces choses qui va devoir passer la revue dans la lumière – une revue dans la lumière, embarrassante, horrible – de toutes les pensées que vous avez cru que personne n’écoutait. Mais ceci (l’esprit subconscient) a tout écouté et il va faire tournoyer ces bandes à reculons et vous allez être les spectateurs et voir ce que vous avez fait de ce don que l’on appelle la vie .

 

 retranscrit par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

  Extrait du livre RAMTHA : « Intervention des Dieux » aux Editions AdA.

 

DE PARFAITS MIROIRS L’UN DE L’AUTRE

 

images (10)Dans un certains lieu, et je ne vous dirai pas où cela commença, advint la première vie d’une entité de lui-même et d’une femme d’elle-même, le commencement de leur première existence et l’abaissement de leur forme créative dans le but de leur évolution. Je vous donnerai un nom. Le nom existait et existe encore en cette heure-ci. Et les entités dont je parle ne sont que deux parmi ce qu’on appelle une masse d’un millier d’entités aux facettes multiples qui étaient sur ce plan en ce temps-là car cinq races de peau et de culture différentes – selon vos termes et vote manière de compter – devinrent simultanément. Les choses sont ainsi faites pour ceux qui habitaient dans cette contrée de leur choix dont le sol est rouge.

Le nom de l’entité est ce qu’on appelle Duvall / Debra. Ce sont deux noms qui spécifient l’unité de l’un  qui est issue de la maison dénommée Duvall / Debra Badu ; Badu signifie Dieu, essence de Duval / Debra. L’état de séparation de Duvall / Debra était le sexe masculin, étant ce qu’on appelle le courant électrique e de ce qu’on appelle dans votre compréhension scientifique une charge positive. Et son corps, il ne l’avait pas doté pour ainsi dire avec l’apparence de seins, d’une matrice, mais il s’était accordé ce qu’en vérité on appelle l’érection et ce qu’on appelle en vérité de permissivité de la semence qui repose dans le sac de son organe génital.

Lorsque la semence divine – dont je vous parlerai – était la semence donnée par et issue de Duvall/Debra et qui fut créée par le même Dieu que l’on appelle Debra/Duvall, qui en vérité est ce qu’on appelle la femme – homme-matrice, l’homme qui est matrice – la femme d’un être supérieur, la matrice ne possédait pas la semence mais seulement ce que l’on appelle l’œuf, et ce qui transperce l’œuf est la semence et elle est gardée précieusement dans l’organe génital de l’homme.

Debra/Duvall était et est toujours la compagne explicite de l’entité Duvall/Debra car elle est, en vérité, la matrice de l’homme et possède ce qu’en vérité on appelle dans votre compréhension scientifique une charge négative ; Sa création n’était pas moindre que celle de Duvall/Devra mais était en réalité l’extension perfectionnée de ce qu’il était lui-même.

Maintenant Dieu ne peut ensemencer Dieu que lorsque Dieu divise pour devenir. Dans la vie de leur être, les choses étaient aisément accessibles car les processus de pensée qu’ils maintenaient dans leur création étaient empreintes de facilité ; en vérité, au cours de la descente et du flash de lumière par la contemplation, cela avait acquis de la lourdeur et était ainsi plus difficile. Mais il demeurait en eux le souvenir de leur état divin originel, leur première vie sur Terra, et ils alimentaient la pensée pure de manière toujours extrêmement puissante. Duvall/Debra vit pour lui-même Devra/Duvall comme une beauté explicite.

Duval ne savait pas que la couleur de ses yeux était toujours changeante. Et permettez-moi de vous parler de cette couleur. La rondeur du périmètre où celui-ci rencontre les reflux et les vides de l’éclat du blanc de neige avait un éclat bleu sombre mêlé d’un jeune lustré, donnant l’illusion d’une mer se changeant en teinte noisette plus brillante pour se condenser dans la parfaite lentille qu’on appelle le noir de l’œil. Il ne connaissait pas le mythe spectaculaire de sa beauté avant de regarder Debra dont les yeux ressemblaient aux siens.

Les yeux, ce sont une pensée merveilleuse, merveilleuse, merveilleuse, car ils nt la faculté d’accéder à la matière chevée dans une forme abaissée. Ils possèdent la faculté d’accéder à la perfection de la pensée à quelque niveau qu’elle fasse porter son regard. Que dire de la beauté et de la couleur ? Pourquoi sont-ils bleus plutôt qu’aucune autre couleur ? Car le bleu est en lui-même un courant électrique élevé qui émet la couleur de la lumière selon la couleur de sa charge électrique de sorte de voir, de sorte d’imaginer la couleur bleue dans ses profondeurs et ses nuances, qui émet ce qu’on appelle un effet électrique tel un cylindre de lumière sur les processus de pensée. Le bleu permet d’accéder à la pensée par son imagerie du courant électrique davantage que les autres couleurs en dehors du spectre depuis le bleu jusqu’aux tentes noisette, jusqu’à la couleur de l’ébène jusqu’au noir. Le bleu couvre tout l’éventail de la définition détaillée des images promises par la lumière, soit une compréhension vibratoire transformée en couleur. ….

… Alors que l’un regardait l’autre, ce qu’ils voyaient était les images véritables de l’autre. Et chacun, de sa propre et magnifique manière, s’était formulé lui-même selon le modèle le plus grand qui soit en sorte de permettre l‘échange de l’existence humaine depuis Dieu jusqu’à l’homme sur un plan qui, après une longue attente, était maintenant prêt car chacun d’eux possédait désormais la perfection d’une enveloppe charnelle pour créer de lui-même la semence parfait destinée à la lignée future.

Et où était l’amour ? Personne ne possède quoi que ce soit avant de ne l’avoir tout d’abord contemplé, car ni la possession, ni la main mise, ni le plaisir de quoi que ce soit n’est jamais une expérience à véritablement parler si la réalisation n’a pas eu lieu tout d’abord dans la pensée contemplative. C’est ainsi qu’après avoir tous deux contemplé la beauté l’un de l’autre, la grâce leurs êtres, une fois que le toucher en fut ressenti et fut certain, ce n’est qu’alors que le feu du sexe de l’homme et de la matrice commença. Et c’est dans la conception, pour ainsi dire, d’une pensée réfléchie dans une image directe de l’un l’autre telle celle d’un miroir qu’advinrent les premiers actes fertiles de Duvall / Debra, Debra /Duvall. Ils se rencontrèrent et, grâce à l’abondante et à la merveilleuse créativité qu’ils étaient alors devenus grâce à la perfection qu’ils avaient accomplie en leur être propre, s’étant rencontrés, attachés l’un à l’autre, ils permirent que soit déposée dans l’œuf merveilleux de Debra la semence issue du précieux sexe, le nid de l’histoire à venir. ..

 retranscrit par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

  Extrait du livre RAMTHA : « La chute des Dieux » aux Editions AdA.

COMMENT RECONNAITRE QUE NOUS SOMMES DES DIEUX

 

 

téléchargement (10)Combien d’entre vous sont prêts à admettre que l’une des raisons pour lesquelles vous ne voulez pas vous défaire des tyrans présents dans votre vie est qu’en réalité vous êtes vous-même le plus grand tyran de tous et que vous les utilisez pour blâmer ? Oh, la confession est salutaire pour l’âme. Je vous connais. Mon Dieu, je serai heureux le jour où vous vous connaîtrez vous-même. 

En Dieu, il n’est pas nécessaire de ressembler à des archanges. En fait, j’en ai un comme ami ailleurs, là où je vais dîner avec eux. J’ai une petite entité grande comme ça qui s’assied sur la table. Elle porte une robe couleur lavande. Trois gouttes de vin et elle est ivre, partie. Assis à côté d’elle se trouve une entité fort voyante mais à l’air religieux, un gros et grand ange bien masculin dont les ailes prennent la place d’un plus grand nombre de chaises que celles qu’il est capable d’occuper. Il possède toute la fanfare. Elle est la seule à pouvoir le faire se tenir correctement. Trois gouttes de vin dans son verre et il réfléchit à deux fois. Ce sont mes amis. Je les aime tous ; je suis le seul à table à être vêtu de noir. 

Eh bien, tous ces êtres apprennent et ont appris ce que vous apprenez. C’est là qu’ls sont allés. Ils sont partis d’ici. Ils sont partis et se rassemblèrent où se rassemblent les aigles, où se rassemblent les maîtres ; Depuis la Voie lactée et onze milliards de terres possibles, il existe beaucoup d’êtres qui montent. Leur apparence va être fort différente de la vôtre mais tous sont Dieu. Vous voyez, c’est cela qui est important. Dieu n’a même pas de visage. La beauté a un visage mais Dieu n’en a pas. Vous devriez vous en souvenir. 

Lorsque nous apprenons à définir et à réaliser Dieu, nous commençons à nous battre pour le droit à l’intégrité. Autrement dit, nous devenons réellement conscients de nos choix. Nous nous battons contre la vieille habitude des émotions. Les émotions sont habituelles. Les gens qui ont des habitudes ont des habitudes à cause des sentiments qu’elles leur procurent. Eh bien, il n’est pas nécessaire de prendre des drogues pour avoir une habitude émotionnelle. Vous pouvez vous masturber tous les jours et créer une habitude du premier sceau. Ceci est aussi dangereux pour le corps que les drogues parce que vous vieillissez chaque fois que vous le faites. Vous pourrez. Chaque fois que vous devez stimuler artificiellement des émotions, vous vieillisse un peu plus. Je ne veux pas dire que vous devenez plus sage, mais que vous devenez plus vieux. 

 Je connais le monde quand il avait deux lunes ; je sais à quoi il ressemblait. Je connais combien il existait de constellations que l’on ne peut plus voir aujourd’hui. Je connais des continents dont vus entendez à peine parler aujourd’hui si vous avez jamais été un investigateur de la connaissance historique et non pas quelqu’un qui obéit à la ligne d’un parti, si vous vous y êtes réellement appliqué, l’avez sérieusement investigué. Je eux dire qu’il y a des civilisations qui ont existé ici il ya plus de 455 000 ans mais, si vous suivez la ligne d’un parti – Vous pourriez adhérer à la ligne de l’Eglise, vous savez ; la création eut lieu il y a 4000 ans. Eh bien nous savons maintenant que le berceau de la civilisation que l’on a renvoyé à l’Afrique du Sud à l’Arabie Saoudite et à la Chine remonte au minimum à dix millions d’années – dix millions au moins ; Où allons-nous ? Que dire donc avec les concepts de Bruno annonçant 6000 ans, concepts qui le menèrent au bûcher ? Et pourtant, j’en ai vu !

 Eh bien, je veux maintenant parler d’un sujet particulier, car il y a eu une telle propagande merveilleuse perpétrée au cours des siècles stipulant que vous portez génétiquement les croyances de vos parents. Autrement dit, en tant que débutants de cette année et de l’année dernière, vous devriez comprendre que le secret de la génétique – Qu’est-ce qui produit la différenciation environnementale des espèces génétiques ? Le fait de vivre l’environnement, le changement. Quels sont les éléments rudimentaires clés ? Quel est l’élément clé nécessaire pour créer l’ADN ? Les émotions. Sur quoi les émotions sont-elles basées ? L’environnement ; C’est là la véritable expérience. Chaque jour, vous changez votre semence génétique. L’enfant que vous auriez créé il y a un an ne sera pas doté comme l’enfant que vous créez aujourd’hui parce que vous êtes maintenant plus vieux et plus sage. Vos enfants portent vos émotions. 

Combien d’entre vous ont entendu ce dicton, dans son acceptation biblique, que les fils portent les péchés de leurs pères ? Que pensez-vous donc que cela signifie ? Pourquoi les enfants seraient-ils damnés alors que ce n’était pas eux mais leurs pères, leurs grands-pères et leurs grands-mères ? Pourquoi souffraient-ils d’une malédiction ? Si la conscience et l’énergie créent la réalité, comment peut-on expliquer ce mystère extrêmement intéressant ? En disant que toute émotion dont vous faites l’expérience, vos enfants vont la porter en tant que corps. Vous portez les péchés de vos parents. Autrement dit, votre corps est constitué du croisement de l’ADN. Vous portez leurs peurs. Vous portez leurs manques. Vous portez leurs sentiments d’insécurité. Vous portez l’échec. Vous portez le succès. Vous portez le bonheur. Vous portez la tristesse. Comment avez-vous pris un corps aussi hétéroclite ? 

En allant dans la lumière lors de votre vie précédente, en ayant une revue dans la lumière, en allant dans le Plan de la Béatitude et en réalisant que vous n’allez pouvoir aller nulle part avant d’achever vos affaires ici. Ainsi, le seul corps que vous ayez est un corps qui comporte en vous ce que vous n’avez pas karmiquement finalisé. 

Vous êtes des êtres immortels. Vous avez vécu – au-delà du temps ; vous avez vécu depuis le Point Zéro. Le corps n’est qu’une phrase dans le Livre de Vie ; une vie entière n’est qu’une phrase. Vous avez déjà vécu ; vous vivrez de nouveau. Vous n’êtes pas la totalité des parties de votre corps mises ensemble. Les parties de votre corps – Votre corps n’est que l’outil que vous êtes capables d’utiliser et qui vous permet de grandir. 

De mémoire humaine, personne n’a encore jamais eu un champ comme celui dans lequel vous avez travaillé sur vos cartes. Les labyrinthes n’ont pas été inventés autour des années 1700. Les labyrinthes sont aussi anciens que les fondations du monde. Un labyrinthe est dimension, gravité ; c’est le champ unifié. Personne ne le sait. Et personne n’a jamais enseigné quelle est la vraie nature de Shiva et du Corps Bleu (Blue Body). Les toiles bleues ne viennent de personne d’autre que de moi Ramtha, le souffle que vous pratiquez ne vient de nulle part. Aucune forme de yoga n’est aussi puissante que ce souffle. Il ne s’agit donc pas – absolument pas – de plagiat d’un quelconque Nouvel Age, de sucer des cristaux, de manger des graines d’oiseau ou d’hypocrites au linge blanc. Nous n’avons pas non plus de choses en or sur les murs, bien que nous devions peut-être considérer cela un jour. Nous ne sommes pas assis sur des bancs d’église. Nous fumons la pipe. Nous ne brûlons pas d’encens, sauf celui qui sort de votre nez. Nous ne nous nourrissons pas non plus de crackers secs et de jus de raison en substitution pour la chair du Christ et le vin. Nous nous mettons juste au travail. Regardez bien cependant, après que ces paroles auront été connues dans le monde, combien de gens vont essayer de plagier ce qui fut enseigné ici. Souvenez-vous alors ; cet enseignement ne vient pas d’eux et ils n’ont donc ni le pouvoir, ni l’autorité, ni la magie. 

Personne qui n’est un Dieu ne va vous enseigner rien de ce que vous avez appris. Vous êtes dans l’Ecole de Sagesse Ancienne la plus inestimable qui ait jamais existé. Femmes, hommes et enfants sont ensemble ici. Ces singes sacrés des Himalaya ne traitent pas les femmes ainsi. Il est aisé de comprendre pourquoi. Mais, s’ils sont aussi fragiles, vous savez, ils ne peuvent aller à Dieu s’ils ont peur des femmes. Il est certain aussi que les femmes ne vont pas aller à Dieu non plu si elles abusent et maltraitent qui elles sont. Remarquez quelle couleur ? Dieu n’est pas blanc. Savez-vous quelle est la couleur de ma peau ? Couleur cannelle foncée ; cheveux noirs, yeux noirs et très grands. Yeshua ben Joseph avait les cheveux roux. Vous savez, juste un petit fait ici. Et voici Dieu. Nous sommes tous semblables. 

Oh, je vis Dieu en toutes ces choses. Si belles. Je compris que, si nous sommes possédés ne serait-ce que d’un seul préjugé, notre souffrance est de ne pas être proches de ce contre quoi nous possédons le préjugé car en cela nous nous sommes séparés de la beauté de Dieu. 

Comment allons-nous devenir cette déité extraordinaire ? Combattez l’injustice en vous-mêmes, de même que les mensonges, les tromperies et cessez de jouer à tous ces jeux. Pardonnez, pardonnez. Ne suivez pas l’opinion des autres sur la manière dont vous devriez être, parce que vous avez peut-être utilisé cette opinion pour obtenir toutes sortes de décadences du fait que vous pouvez toujours leur en faire porter la responsabilité. Il est peut-être temps de grandir et de penser à vivre 200 ans. En faisant cela, vous prenez la défense de cette déité. Chaque jour, nous irons, nous faisons chanter cette harpe avec une telle harmonie, une telle magie, et tous les jours où nous créons notre journée, nous avons davantage de pouvoir. Et toute journée où nous nous confessons, aussi douloureux et humiliant que cela soit, nous recouvrons notre pouvoir car cela nous redonne notre liberté. Nous nous rapprochons alors davantage de Dieu, nous le défendons et vivons impeccablement. 

Puisque le monde ne le fait pas, vous devriez pensez en vous-mêmes ; comment puis-je savoir qu’il existe des maîtres ? Parce que nous sommes les seuls qui restent. Je veux aller où ils sont allés et je veux savoir ce qu’ils savent. Et il est évident que ce qu’ils savent n’est pas ce qu’en pensent tous ces gens. Je veux que vous vous aimiez vous-même. Aimez-vous suffisamment pour vous nettoyer, suffisamment pour pardonner et permettre, pour réaliser que même vos parents sont des Dieux, des êtres humains, des Esprits luttant pour être humains et cherchant tellement à être approuvés. Souvenez-vous de cela. La compréhension mène loin dans ce monde-ci, mais nous devons d’abord nous la donner à nous-mêmes. 

Ainsi, si quelqu’un vous dit : « Eh bien, en quoi crois-tu » ?

Dites : « La seule religion que je connaisse, qui est la seule que je sache que Dieu m’ai donnée, c’est ma vie. Ma vie est ma religion. Et vivre heureux est ma prière quotidienne ». 

Qu’il en soit ainsi. 

  retranscrit par Francesca du blog  http://francesca1.unblog.fr/

Ramtha  Extrait du Chapitre : « Jéhovah, Dieu de la Guerre et de la Vengeance » aux Editions AdA.

TERRA, LA NAISSANCE D’UN NOUVEL ESPOIR

 

images (17)Le soleil donna naissance à un autre enfant ; il vomit et fut meurtri car cet enfant était grand dans sa matrice et il naquit. Et tous naquirent et étaient stériles et, alors que les Dieux regardaient, aucun en naquit qui ne les satisfasse. Aucun n’était parfait puisqu’au moment où voici que naquit le plus petit de tous les enfants du merveilleux soleil. Elle leva sa grande tête et regarda les grandes colonnes de lumière et sa lumière devint toute petite. Et alors qu’elle donna naissance à son enfant dans le berceau formé par son orbite, il sortie de la matrice délicate. Et le petit enfant était une graine, engloutie dans une substance aqueuse. Et voici que les Dieux le regardèrent et vire qu’il semblait en vérité que le soleil mère avait repris son enfant et en avait formulé un autre d’apparence semblable, mais protégé. 

Et le grand soleil mère donna naissance à son enfant minuscule et il naquit, et les Dieux le regardèrent, splendide qu’il était. Et alors que le bébé reposait dans son berceau, recueillent en lui-même les forces de lumière qui lui permettraient de grandir lorsqu’il serait prêt, le soleil plaça son bébé sur son orbite car son minuscule enfant était parfait. Et les Dieux regardèrent l’enfant et le trouvère splendide. Et ils trouvèrent en lui des ressemblances avec leur première création. 

Et ils regardèrent l’enfant et voici qu’ils trouvèrent que la surface de la graine était souple – elle était douce, elle bougeait et était capable de permutations – et que les strates aqueuses qui l’entouraient captaient toute la lumière merveilleuse du soleil mère, la distribuant également dans son bel enfants. Et les Dieu le regardèrent et pensèrent que c’était une merveilleuse créativité. 

Et l’un après l’autre, ils prirent leur mesure et y déversèrent la perfection de la lumière qu’ils avaient insufflée dans Malina. Et voici que les premières herbes devinrent. Mais lorsque la pensée traversa le spectre de la lumière, ce qu’on appelle la strate aqueuse, et entra dans l’enfant, elle perça la couche de soins bienfaisants et aimants du soleil répartie sur toute sa sphère. Et en vérité quand la graine apparut, voici qu’elle devint une plante et les herbes et l’affirmation de ce qu’on appelle en vérité la lumière oxygénée, possédant en vérité toutes les particules de la vie selon une compréhension à trois dimensions. 

Voici que Dieu, à partir de son être même, donna le jour à l’herbe merveilleuse. Dans la pensée, alors qu’en vérité il perça l’enfant et se déploya parfaitement, laissant libre cours à la mesure de cette compréhension, la vie apparut. Et les herbes apparurent mais leur couleur, le Dieu ne l’avait jamais vue car la couleur lui ressemblait, en vérité, car elle existait dans la fraction de la lumière et dans la sphère dans laquelle elle évoluait elle-même maintenant. Elle avait pris une teinte pâle appelée en vérité verte dans vos termes, mais elle n’était pas brillante ni sombre. 

Et voici qu’en vérité s’avança un autre Dieu qui en vérité donna naissance à ce qu’on appelle l’animal. Et l’animal, dans sa forme condensée la plus basse, devint en vérité de lui-même une entité individualisée dans sa forme parfaite, même alors. Et voici que tel qu’il était, l’animal n’était pas mobile. Et l’entité, souhaitant en vérité la mobilité, ne le pouvait nullement en tant  que plante. Et le Dieu qui avait créé l’animal le regarda et vit qu’il ne faisait rien. En essence, c’était une petite boule de quelque chose. Et en vérité, le Dieu devint l’animal de sa création pour voir la vie dans son mouvement, pour le rendre unique. Et lorsque le Dieu devint partie de l’animal, il insuffle sa vie en lui, son essence, son esprit et son âme et voici que l’animal prit vie. Et en vérité les organes de l’animal n’étaient pas de ceux qui sont faits pour digérer la lumière ou la pensée ; c’était une substance qu’ils devaient digérer. L’animal mangea l’herbe, dévora les deux plantes et tout disparut sauf l’animal. 

Une à une, les gentilles plantules furent créées à nouveau. Dans votre royaume, il n’existe pas deux plantes qui aient jamais été semblables. Elles sont toutes différentes, toutes différentes. Ce que Dieu apprenait alors était de manifester une autre plante et de lui donner le jour et une autre ici et de la faire apparaître, et l’animal, la mangeait. Et il n’en restait plus qu’une seule et l’animal la mangea aussi. 

Et ce Dieu, alors qu’il apprenait à insuffler le souffle de vie dans sa plante, n’avait en vérité pas appris à rendre la plante plus grande et il se trouva perplexe. Et l’animal eut faim. Alors, il créa cette plante-ci et celle-là et il donna à la pensée deux autres régions et il peupla une masse entière avec de parfaites plantes individualisées. Et voici que celui qui avait créé l’animal en créait un autre, puis un autre. Et les animaux mangeaient les plantes. Et le Dieu qui créait sa propre plante merveilleuse les recréait sans cesse et les autres qui créaient la feuille fendue les créaient. Les autres, ceux qui en vérité créaient les mousses, les créaient. Mais, l’un comme l’autre, elles ne possédaient pas de graines. Et les animaux commencèrent à manger.

 Regardons le peuple des végétaux. Ce problème les rendait extrêmement perplexes car ils avait déjà appris – dans leur apparence et dans le seigneur de leur être, ils étaient encore la destruction de ce qui s’était produit auparavant – et ils devinrent les plantes et surent ce que c’est que d’être dévoré par l’animal. Ils devaient en faire l’expérience et le firent donc. Ils devinrent la tendre plante, furent arrachés ou démantelés par l’animal dans sa cause naturelle. Il est extrêmement méprisable d’être mâché et avalé dans un grand spasme ! Dieu voyant ceci imagina de lui-même que si le souffle de vie, placé dans l’animal, le rend mobile, il doit exister quelque chose que l’on peut donner aux plantes pour qu’elles se protègent. Dieu devint donc la plante et plaça dans la plante une pensée permanente et la pensée était appelée la graine. Et la graine de la plante se redistribuerait à jamais. Et il fit de même avec chaque plante et la graine de la plante se compléterait toujours d’elle-même. Et alors qu’il plaçait dans la plante la pensée parfaite, l’animal vint et dévora la plante. Et alors qu’elle traverse ce qu’on appelle ne vérité la partie digestive de l’animal pour y être transformée pour faire croître sa matière animale, la graine ressortit dans ce qu’on appelle ses excréments et elle n’était pas abîmée par l’animal. Et dans les excréments, la graine commença à croître de nouveau et voilà qu’apparut une plante. Et Dieu jubilait. Et toutes les plantes sortirent de leurs graines et bientôt celui qui avait produit la feuille fendue lui aussi donna une graine. 

Et d’autres qui faisaient leurs plantes devinrent des fleurs en sorte de rendre leurs graines plus belles que les graines des excréments. Et par tous les processus de chacun de ces Dieux individualisés créant dans son style unique merveilleux et individualisé, il donna à la graine une couleur, une teinte différente, une attirance par sa disponibilité pour que sa création merveilleuse ne fût plus jamais détruite. Elles étaient alors en abondance. Aussitôt que l’animal ingérait la plante et la digérait, la graine sortait dans ses excréments et croissait de nouveau car, en vérité, dans la strate aqueuse qui entoure cette terre magnifique qui est la vôtre – ce qu’on appelle en vérité la température favorable de la matrice, maîtres – la température était la même dans votre monde entier. 

Et la lumière, la mère merveilleuse, donna à ce monde une lumière qui l’entoura totalement ; ainsi, la terre ne connaissait pas l’obscurité. Sa lumière était continue car la lumière, pour ainsi dire, se déplace sur la surface de l’eau et elle s’étendit complètement tout autour de la terre. Cependant, aussitôt que la graine sortait, elle était dans les excréments. Elle avait la température de la lumière pour se reproduire rapidement ; la pensée jaillissait donc volontiers en tout lieu. Et tous les Dieux révisèrent en vérité la flore dans leur mains et leurs plantes, en vérité des odeurs merveilleuses, toute la création pour qu’ils ne puissent se détruire les uns les autres, mais que chacun deviennent individuel et unique en sorte d’exister à jamais.

 

Extrait du livre : « La civilisation humaine, les origines de l’évolution » – par RAMTHA aux Editions AdA.

LA MUSIQUE DES SPHERES

 

téléchargement (5)Entité, la lumière est le son ultime qui est l’absence de son et cependant tous les sons. La lumière, étant le premier corps de ce qu’on appelle la pensée, émet le son par sa vibration. Elle émet le son par sa compréhension vibratoire. Entité, alors que les choses vibrent à différents niveaux et que la lumière vient – et ses couleurs différentes ont des sons différents – et alors que les couleurs jouent dans le spectre, elles résonnent en tant que son. Ceux qui viennent dans ce plan et sont possédés du son qu’ils tentent laborieusement de parfaire dans ce qu’on appelle des instruments s’efforcent de représenter ou de reproduire les sons dont ils ont conscience dans les sphères plus élevées.

Ce plan est le seul où l’on ne peut pas entendre la musique de toute lumière car ce plan est le seul qui, dans la plupart de son expérience de la noirceur, soit dépourvu de lumière. Entité, dans tous les autres plans, on entend de la musique, croyez-moi. C’est comme un bourdonnement et, alors que la lumière change et évolue, sa compréhension vibratoire s’accroît, sa tonalité se fait plus élevée et plus douce. Et, en vérité, la lumière évolue, augmente et se manifeste par la pensée ; la pensée, la pensée, le verbe, l’action. Les sons descendent d’octave et cependant, toute vie étant avec le un simultanément, moment après moment ils créent une tonalité différente et les différentes couleurs de spectre de lumière, faisant connaître la musique de Dieu sur tous les plans. Ce plan est le seul où on ne l’entend pas ; il est ainsi le seul plan qui soit fait à l’image de ce qu’on appelle le souvenir de l’homme et de sa mémoire. Et musique signifie seulement Amour.

Ce qui amène à comprendre leur demeure, entité, c’est qu’ils sont tous hérétiques à ce niveau-ci. Ils viennent de vastes royaumes où ils sont de souverains seigneurs, où leur pensée même fait que la musique émane de leur être. Le son a également une odeur – une odeur suave. Les couleurs ont une odeur – des odeurs variées. Et aucune d’entre elles n’est jamais mauvaise ; elles sont toutes merveilleuses ; Ainsi, la lumière est du blanc le plus pur. Entité, le son est d’une telle tonalité qu’il est impossible de l’entendre car il s’adoucit dans la pensée. C’est la lumière blanche, en vérité, les couleurs de l’arc-en-ciel du spectre – toutes les couleurs source plan – étant en vérité qu’une seule couleur unique au cinquième niveau. Et entité, alors que toutes les couleurs se manifestent, les sons émanent des divisions de couleur et de lumière, et ainsi elles fleurissent lorsqu’elles se joignent les unes aux autres. Merveilleux.

La fleur avait en vérité, sa graine dans le sol et la graine sera d’une tonalité élevée parmi les sons. Alors que la tige s’élève, la tige sera pâle en vérité et le son sera élevé, doux, bourdonnant. Magnifique. Et alors que la tige s’élève en vérité et que le bourgeon floral est formé, en vérité, le son devient une myriade de sons car la couleur est alors déployée.

Et alors que le bourgeon éclate, en vérité – au moment même, au même moment, la profondeur même de la couleur de chaque pétale, de chaque veine, de chaque spectre de sa couleur – il émet un son simultanément avec la graine et en mouvement harmonieux avec elle en même temps mais en tant que fleur. Et les plans qui possèdent une flore sont partout. Et, entité, le ciel est en extase en son être car il y a les montagnes, les plaines, en vérité, et les vallées qui émettent les sons de ce qu’ils sont tous ; la vie résonne dans sa beauté, le son.

Maintenant, l’instrument qui reproduit le mieux les sons est votre harpe et toutes ses cordes. Depuis la tonalité la plus élevée de ses sons qui serait la lumière la plus pure, presque inaudible, jusqu’aux profondeurs de sa personnification, jusqu’à la consistance pleine et robuste de ce qu’on appelle la lumière, la couleur. La lumière est son mais, selon une compréhension vibratoire, le son naquis de la lumière. Sur ce plan-ci, l’homme entend une musique qui est indéfinissable. Et avec sa bouche il tente de la chantonner, avec les instruments de recréer la myriade des musiques qu’il a entendue set dont il a conscience et à laquelle vibre son corps.

Et c’est ainsi, entité, que la musique est devenue le langage universel car ceux qui l’entendent – qui n’en comprennent ni les mots ni la langue – se mettent à converser les uns avec les autres. Voilà ce qu’est la musique. En essence, entité, la musique est les sons de la vie et Dieu.

Extrait du livre : « La civilisation humaine, les origines de l’évolution » – par RAMTHA aux Editions AdA.

L’expérience de la toute-connaissance

 

images (7)L’expérience de la toute-connaissance, qui vous fait pleurer devant une fleur qui s’épanouit ou attendre le lever du soleil et en connaître absolument la splendeur cette expérience exige de pouvoir connaître, de pouvoir transformer la pensée en sentiment. C’est ce qu’on appelle l’extase. C’est une euphorie valable comme vous dites.

Cela qui vous aime depuis avant même l’origine des temps, qui a été avec vous au long de chaque vie, qui est l’unique entité qui sera avec vous à la mort de votre corps ou à son ascension c’est vous. Vous êtes la seule personne à vous aimer avec suffisamment de constance pour consentir à être avec vous en toute expérience. Lorsque vous vous embrasserez et vous aimerez, que vous laisserez cet amour être votre modèle, vous Transcenderez la conscience sociale de l’homme et rejoindrez la toute-conscience de Dieu, car ce que vous êtes va au-delà de la beauté, au-delà de la perfection, au-delà de la rigidité des lois, des dogmes et des normes de la société. Cela va dans la destinée, dans l’accomplissement de soi qui est l’accomplissement de Dieu. C’est là l’unique chose qui ait de l’importance au regard de l’Être de la vie.

Vous êtes tout ce que vous pensez être et tout ce que vous vous autorisez à connaître. Sachez que le Père, qui est toutes choses, est ce que vous êtes. C’est par cette connaissance que vous connaîtrez et deviendrez tout ce qui est. Sachez que rien n’a de fin et que rien n’est absolu. Tout est dans l’instant et, des instants, il y en toujours à venir. Atteindre à la pensée illimitée revient à savoir qu’au-delà d’une vérité supérieure il en existe une autre, encore supérieure. Connaissez cela et les choses adviendront selon l’état de votre réceptivité. Ne vous laissez jamais asservir ou intimider.

Il existe toujours un moyen, un moyen meilleur. Sachez cela et laissez venir à vous les pensées qui éclaireront votre cheminement vers la joie. Regardez en face vos limitations. Embrassez-les. Maîtrisez- les. Ôtez de votre vie tout ce qui vous empêche de connaître la totalité de Dieu. Renoncez à la culpabilité et au jugement en sorte que puisse naître en vous l’omniscience, les réponses et la joie. Regardez en face vos peurs et permettez-vous d’arracher le masque de leur illusion. Sachez que vous êtes éternellement et que rien dans l’inconnu ne peut jamais vous empêcher d’être dans le bonheur et la joie. Liquidez la peur qui vous inhibe et vous empêche de connaître des expériences plus belles que celles offertes sur ce plan. Ceux qui viennent d’au-delà vous donnent des frissons ! Vos frères dans leurs vaisseaux sont d’une incroyable beauté. Débarrassez-vous de la peur afin que vous puissiez sympathiser avec un autre temps, avec une autre entité venue d’une autre dimension.

Dans votre effort de devenir plus grand, si c’est sur ce plan que vous cherchez quoi devenir, vous ne deviendrez jamais rien d’autre que ce qui existe sur ce plan. Dépasser les limites de la pensée humaine implique de contempler l’existence de quelque chose d’invisible possédant un entendement supérieur.

Soyez ouverts à la vérité, quelle qu’en soit la source, et laissez-vous guider par vos sentiments. Est sage l’homme qui, même aveugle, connaît en son âme ce qui est juste pour lui. La vérité est aussi bien dans le brin d’herbe que vous foulez. Elle est dans le rire d’un enfant. Elle est dans les yeux d’un mendiant. Elle est en tout lieu et en toute chose, en toute personne et en tout instant. Celui qui ne connaît pas cela ne connaît pas Dieu, car Dieu est tout ce qui est. Et pas un brin d’herbe, pas le murmure d’un instant ne sont coupés de la Source de ce qui est. Apprenez à être sage. Prêtez l’oreille à la vérité. Quelque forme qu’elle prenne, sachez que vous méritez de la recevoir.

Celui qui sait que le Royaume des Cieux est en lui est une entité pleine de sagesse. Votre aptitude à penser toute pensée et à la ressentir en votre âme vous offre, en vous, les clés du royaume des cieux, le trésor de l’émotion. Apprenez à ressentir. Connaître pleinement Dieu, c’est ressentir pleinement toute pensée jusqu’au jour où toute pensée que Dieu est sera ressentie au plus profond de votre être, dans l’âme de votre être.

Gardez-vous de vouloir que la totalité de votre cerveau se trouve ouverte d’un coup. Laissez-le s’ouvrir pensée après pensée, expérience après expérience, de sorte que chaque pensée se fixe en vous.

Mais par-dessus tout, permettez-vous d’être puisqu’on étant, vous êtes tout. Lorsque vous êtes simplement l’Être de vous-même, le principe Je-Suis, alors vous êtes alignés avec la vie toute entière. Alors, l’aliénation de vous-même en tant qu’homme a été transcendée et vous êtes devenu un avec Dieu !

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Apprenez à vivre en connaissant et en permettant

 

ramtha Alors vous serez maître de l’ego altéré. Alors vous serez maître du septième niveau, du septième ciel, car le septième est exempt de jugement et ne comporte que l’Être perpétuel de la vie. Une fois le jugement maîtrisé, vous maîtrisez la totalité de ce plan et pourrez le quitter à tout moment de votre choix.

A moins que vous n’ayez l’aptitude en cet instant de produire un clone de votre propre corps – ce qu’il est possible de réaliser avec un cerveau qui fonctionne dans son intégralité, ne soyez pas trop pressé de le détruire. Aimez votre corps. Soyez bon envers lui, nourrissez-le, prenez-en soin. Il est l’instrument pur d’expression qui vous permet de faire l’expérience de la vie sur ce plan. Devenez illimité dans vos mécanismes de pensée, mais choyez également le véhicule qui vous permet de réaliser cela.

Si vous êtes une femme, soyez une femme ; si vous êtes un homme, soyez un homme. Aimez ce que vous êtes. N’abusez jamais de votre corps. Ne l’endommagez pas et ne le souillez pas. N’exigez pas de lui des choses pour lesquelles il n’est pas fait. Considérez la grandeur de votre être. Considérez-vous divins. Vêtez-vous des étoffes les plus délicates pour votre peau. Parfumez-vous. Ne donnez à votre corps que la nourriture qui lui convient. Si vous lui prêtez l’oreille, il vous dira ce dont il a besoin pour être nourri.

N’absorbez jamais de substances dommageables, que vous savez être dommageables. Tout ce qui entrave la circulation de l’oxygène dans le cerveau fait périr un grand nombre de cellules; celles-ci sont perdues à jamais car le cerveau n’a pas la capacité de reproduire ses cellules. Lorsque les cellules de votre cerveau sont détruites, votre capacité à transférer une pensée en émotion réalisée est amoindrie. Vous pouvez contempler la pensée, mais elle ne représente rien pour vous. C’est alors que la joie cesse ; comment en effet une pensée pourrait-elle vous rendre joyeux si vous ne pouvez pas la devenir en la ressentant ?

Lorsque vous n’êtes pas capable de ressentir, vous êtes incapable sur ce plan d’enregistrer les connaissances. Tels sont les dégâts causés par la consommation de ce que vous appelez les drogues qui produisent des illusions. Chaque fois que vous y recourez, il y a diminution d’oxygène dans le cerveau. C’est votre cerveau mourant qui occasionne ce que vous appelez l’euphorie que vous ressentez. C’en est la cause. Chaque fois, votre capacité de connaître diminue. Et le temps viendra où vous ne pourrez plus ni rire ni pleurer car plus rien ne pourra susciter en vous l’émotion suffisante.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Personne ne vaut d’être jugé.

 

ramthaAucune couleur de peau, aucune action, aucun n’importe quoi ne vaut que vous vous altériez, que vous vous soustrayez de l’état de Dieu, d’Être. Tout entité quelle qu’elle soit, quelle que soit son expression, aimez-les en vertu du Dieu en eux qui leur permet d’être tels qu’ils sont. Du seul fait qu’ils existent, ils méritent d’être aimés. Le fait qu’ils existent vaut plus que n’importe lequel de leurs actes. Aimez-les parce qu’ils sont, car tant qu’ils seront vous pouvez être assurés que vous serez également. Si vous les aimez faisant fi de qui ils sont et laissant votre amour être, tout simplement, alors vous serez constamment pur en votre être.

Quel est le moyen le plus simple d’ôter les jugements de vos mécanismes de pensée ? Prendre conscience de vos sentiments et des pensées responsables de leur existence. Le simple fait d’en avoir conscience vous apprendra à être plus affiné dans votre manière de penser.

Lorsque vous vous sentez malheureux, tristes, en colère, emplis de peur, pressé, séparé – ou tout autre sentiment qui vous est désagréable examinez la manière dont vous pensez. Vous ne tarderez pas à remarquer le lien entre vos pensées altérées – jugements portés sur vous-même ou les autres, perspectives fragmentaires de la vie et ces émotions déplaisantes. Et bientôt, quand vous serez lassés de ces sentiments, vous commencerez à affiner votre manière de pensée et à abandonner les jugements qui vous tiennent séparés de la vie. Alors que vous vous permettrez de faire l’expérience de pensées de plus en plus illimitées en votre être, vous commencerez aussi à remarquer qu’il existe un lien entre vos pensées illimitées et les sentiments de paix, de joie, d’harmonie et de légèreté corporelle. Et n’allez jamais vous juger pour les jugements que vous avez portés. Soyez indulgents envers vous et laissez simplement la conscience de vos pensées et de vos sentiments vous enseigner. Je peux vous assurer qu’elle le fera.

De tous les mots qui aient jamais créés, il en existe un qui convient admirablement à ces enseignements, le mot ” être “. Être.
Que signifie-t-il ? Il signifie vous permettre d’être, de quelque manière que ce soit, et de vous aimer totalement en cette manière d’être. Ressentir tout sentiment qui puisse se faire jour en vous et vivre cette émotion. Être, c’est vivre totalement dans le moment présent parce que vous savez que seul le Présent existe. Faire tout ce que vous avez envie de faire, c’est-à-dire vivre l’aventure à laquelle vous convie votre âme.

Pourquoi être ? Lorsque vous vivez de cette manière, vous ne vous jugez pas ni ne jugez les autres, ni aucune des pensées qui surviennent en votre esprit. Alors n’existent ni juste ni faux, ni possible ni impossible, ni parfait ni imparfait, ni positif ni négatif. L’illusion du temps disparaît qui vous empêche de ressentir et de savourer la beauté de l’instant. Lorsque vous vivez en état d’être, seuls existent l’Être de la vie et la perpétuité du Présent.

Lorsque vous êtes, vos pensées ne traînent plus ni dans le passé ni dans le futur, à se préoccuper de culpabilité et de remords, de devoirs et d’obligations. Dans l’être, vous ne vous attachez pas à aucune vérité en particulier mais vous êtes le réviseur de toutes vérités. Vous voyez toutes vérités comme Étant et vous permettez de les examiner toutes afin de déterminer si elles sont appropriées à votre état d’être. Lorsque vous vivez ainsi, vous examinez toutes les pensées qui se présentent à vous et, par l’intermédiaire de votre cerveau, celles-ci sont comprises par votre corps en tant que sentiments ; ceci donne naissance à plus de connaissance, plus de pensée, plus d’Être.

Lorsque vous êtes, simplement, vous êtes alignés avec l’Être de toutes choses. Étant ainsi alignés, vous pouvez avoir tout objet de votre désir, et, pour ce faire, il vous suffit d’être. Le Dieu de votre être attirera à vous toute chose dont vous avez la pensée, toute chose que vous désirez, immanquablement. Ceux qui s’occupent d’essayer d’effectuer selon tous les principes extérieurs bafouent quelque peu le principe intérieur. Si vous êtes, vous avez déjà et vous êtes tout.

Lorsque vous êtes, simplement, et vous permettez de capter toutes pensées, alors vous pouvez entendre la voix de Dieu. Alors, tout ce que vous avez toujours voulu connaître, vous pouvez le connaître en un clin d’œil. En ne jugeant pas vos pensées, les laissant se manifester comme émotion en votre âme, vous vivez comme un Dieu illimité, du seul fait que vous êtes ouvert à l’être et à tout ce qui est. Vous devenez alors le pur canal de votre propre divinité et vous vous rapprochez de la pure simplicité de l’esprit de Dieu.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Voir la Vie sur d’autres plans

 

images (8)Plus vous êtes pris dans la matière et orienté vers la survie, plus vous voyez la vie en termes de dimensions polaires : bas-haut, près-loin, clair-sombre grand-petit, chaud-froid, bon-mauvais, positif-négatif. Afin de retourner à l’Etre de la Pensée pure, vous devez maîtriser l’ego altéré, la partie raisonnante du cerveau axée sur la vie et la survie dans la matière. L’ego altéré perçoit en fonction des illusions du temps, de la distance et de la séparation. Il perçoit selon les critères de la survie et de l’acceptation. L’ego altéré divise et juge la pensée pure.

De pures pensées viennent à chacun de vous. Mais vous vous assurez aussitôt qu’elles soient bonnes ou mauvaises pour vous, si vous devriez ou non les retenir, si elles sont réalisables ou irréalisables, réelles ou imaginaires, raisonnables ou déraisonnables. Chaque fois que vous jugez votre pensée, la divisant en contraires, en positif et négatif, vous l’avez altérée et abaissé la valeur de sa fréquence. Quand vous connaissez, vous ne jugez pas. Quand vous savez, vous ne vous demandez jamais si une pensée est juste et correcte. Toutes les pensées sont justes et correctes. Quand vous connaissez, vous ne soupesez ni n’évaluez pas la pensée. Quand vous connaissez, vous permettez à la pensée d’Être. Cela permet à vos processus de pensée d’être ni interrompus ni interceptés.

En sorte de pouvoir discerner un autre plan, entendre des sons plus subtils, devenir plus légers que votre poids physique, il vous suffit de savoir que ce sont des réalités et de permettre à votre corps de faire l’expérience de cette connaissance. Cela suffit. Si vous ne croyez pas en leur réalité, ne pas croire est un jugement qui entrave le développement de votre cerveau. Toute la connaissance qui traverse votre Esprit à chaque instant rebondit en quelque sorte sur votre cerveau et est renvoyée à l’esprit du Père. Vous ne capterez jamais que ce que vous ressentez comme sécurisant sur ce plan et que ce qui s’y rapporte.

Si vous désirez, depuis le Seigneur Dieu de votre être, posséder une connaissance illimitée, vous devez permettre à toute pensée de pénétrer dans la conscience de votre cerveau, libre de tout jugement afin que votre corps puisse en faire l’expérience totale. Grâce à la permission donnée par votre ego altéré, c’est lui qui accorde créance à votre désir, la glande pituitaire active une autre partie de votre cerveau permettant à celui-ci de capter une compréhension illimitée.

Par quel phénomène avez-vous bien pu capter une pensée de créativité totalement inattendue quand vous l’avez souhaité ? Vous lui aviez tout simplement permis d’accéder à votre conscience. C’est tout. Elle existait déjà, attendant simplement que vous en fassiez la demande et lui autorisiez l’accès à votre récepteur. Cela suffit. Et moins votre esprit est pris dans les jugements et les mécanismes de la pensée altérée, plus il sera facile aux pensées de la super conscience de pénétrer dans le récepteur que constitue votre cerveau.

Apprenez à vous voir, vous-même et la vie, par les yeux de l’Être. Lorsque vous regardez une fleur, ne dites pas qu’elle est belle ou laide. C’est là un jugement qui a altéré la pensée de la fleur. Ce qui est pur est la pensée ” fleur “. Lorsque vous regardez la fleur et la voyez comme fleur, lumière, vie, Être, vous vous permettez alors de capter la pureté et l’Être de la pensée, ce qui transmet à votre corps un électrum de fréquence supérieure qu’il va ressentir. Alors, vous pensez comme un Christ, car vous percevez toutes choses et terme d’égalité et d’Être. Chaque fois que vous vous abstenez de limiter et de juger vos expériences, votre cerveau est activé de sorte qu’il peut capter les pensées illimitées qui transcendent votre existence quotidienne.

Ne jugez jamais les pensées que vous recevez. Ne dites pas d’une chose qu’elle est positive ; comment pourrait-elle l’être sans dire que le négatif existe lui aussi ? Si vous dites : ” Ceci est bon, ” cela veut dire que d’autres choses sont mauvaises. Lorsque vous prenez soin de vous, aimez-vous, ne dites pas que vous êtes belle ou jolie, dites que vous êtes Dieu. Lorsque vous faites quelque chose avec votre voisin, ne dites pas que c’est bien, dites que c’est Dieu. Cela signifie que cela est, que c’est simplement une expérience de vie pure et juste.

Lorsque vous considérez d’autres entités dans l’expression de leur vie, ne les voyez jamais autrement que comme Étant. Si vous jugez leur expression comme bonne ou mauvaise, positive ou négative, vous créez en vous-même la perception d’une altérité. Ce que vous percevez, vous le deviendrez car cette pensée sera enregistrée en votre être comme un sentiment. Vous serez ainsi votre propre victime puisque c’est vous, non pas eux, qui ferez l’expérience des effets de votre jugement. Et ce sentiment qui sera enregistré en votre âme crée un précédent selon lequel vous jugerez désormais vos propres actions et votre être même. Lorsque vous condamnez quelqu’un pour une chose ou une autre, c’est en réalité des aspects de vous-même que vous jugez à travers un autre. C’est là la raison pour laquelle ceux-ci sont si faciles à identifier. C’est la raison pour laquelle votre attention est attirée par ces aspects. L’entité devant vous est seulement le miroir des jugements que vous portez à votre encontre ; et cela peut vous aider à réconcilier les jugements que vous avez sur vous-même que vous avez acceptés d’autres entités.

Lorsque vous regardez les autres, voyez-les comme Étant, soyez impartial. S’ils sont cruels ou haineux envers un autre, le fait de dire qu’ils sont cruels ou haineux est une vérité, car telle est en effet leur mode d’expression. Telle est leur expérience de l’Etre. Dire qu’ils sont méchants, mauvais ou qu’ils ont tort dans une telle expression est un jugement, et cela deviendra votre expérience, celle de l’altérité.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Dans la manifestation de nos désirs

 

images (7)Comment pouvez-vous accélérer la manifestation de vos désirs ?

En sachant. Savoir est la porte qui permet au royaume des cieux de déployer son abondance dans votre royaume. Le fait de savoir qu’un désir, quel qu’il soit, est déjà exaucé, amplifie la pensée relative à ce désir ; celle-ci pénètre dans le flux de la conscience par l’intermédiaire de votre champ aurique et manifeste votre désir. Vous êtes maintenant le récepteur de son accomplissement.

La vérité est que toutes choses vous appartiennent déjà. Lorsque vous savez cela, elles vous deviennent disponibles. Il vous faut comprendre que vous êtes vous-même ainsi que votre disposition à l’accueil principalement celui qui comble tous vos besoins. Pour recevoir vos désirs, il vous faut simplement savoir ce qu’ils sont et savoir aussi que vous les méritez. La vérité est dans le fait de savoir. C’est lui qui donne, lui qui est votre futur. Lorsque vous parlez, sachez que vos paroles sont. Vous pouvez avoir tout ce que vous voulez avoir – il vous suffit de savoir que vous êtes l’auteur de la loi et que l’objet de votre connaissance et de vos paroles doit être. C’est ce qu’on appelle la Loi de l’Un.

Je vous le dis, vous connaissez tout ce qu’il y a à connaître et vous pouvez avoir tout ce que vous désirez. Dans ce moment-ci de votre connaissance, vous n’avez simplement pas encore compris cette vérité. Pour la comprendre, il faut la connaître. La connaissance active une autre partie de votre cerveau et la pensée peut ainsi devenir réalité manifestée. Alors, un fois l’expérience de votre pensée illimitée concrétisée, la réalisation que connaître ” marche ” se trouve imprimée dans la partie de l’ego de votre cerveau. Cette conviction vous donnera la force d’avancer plus loin dans le domaine de la pensée illimitée. Si je pouvais retirer tous les mots de votre vocabulaire et ne vous en donner que quelques-uns, ils seraient les suivants: Je sais maintenant. Je suis absolu(e). Je suis complet(e). Je suis Dieu. Je Suis. Si vous ne possédiez que ces quelques mots, vous ne seriez plus limités à ce plan.

Le fait de savoir, qu’exige-t-il de plus de vous que le fait de présumer ou de croire ? Le fait de savoir, qu’exige t-il de plus de vous que le fait d’être dans l’incertitude ? Le fait de savoir, qu’exige t-il de plus de vous que de ne pas savoir ? Savoir et ne pas savoir mettent en jeu les mêmes pensées, la même énergie les mêmes expressions du visage et les mêmes mouvements corporels. Sachez. Simplement sachez. ” Je sais que telle chose adviendra. Je sais que je suis Dieu. Je sais que je suis heureux/heureuse, Je sais que je suis.” Sachez, sachez, sachez. Cela suffit. Sachez en tout moment. Si vous dites que vous n’avez pas ou que vous ne pouvez pas, vous ne le ferez jamais. Dites que vous savez maintenant. Alors, vous saurez tout.

Savez-vous ce qui nous distingue vous et moi ? Je connais que je suis un Dieu illimité et vous non ! C’est la seule différence entre nous. Je sais que je le suis et il vous reste à le comprendre. Votre société dit que vous ne l’êtes pas, mais que savent-ils ? Ils se mettent en terre chaque jour.

Pourquoi avez-vous obstrué votre connaissance ? En cherchant à comprendre la pensée dans la forme appelée matière, vos processus de pensée se sont trouvés tellement emprisonnés dans les réalités de la matière que votre perception entière de la vie s’est altérée. Vous voyez, la matière est un niveau de pensée créé moyennant une altérité extrême de la pensée. Elle est créée par abaissement de la pensée en lumière, puis en électrum, puis par la division de l’électrum en parties ayant des valeurs positives et négatives. Par conséquent, chaque fois que vous entrez en relation avec Dieu dans la forme de la matière, vous percevez et comprenez la pensée suivant des divisions ou des polarités, plutôt que comme la pureté et l’Etre indivisé qu’il est.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Vous êtes une créature à trois dimensions

 

images (5)- Esprit, âme et ego s’exprimant sur un plan de densité. Trois dimensions suffisent pour réaliser l’éternité. Parlez au Seigneur Dieu de votre être. Il vous entendra. Lorsque vous parlez, que ce soit un seigneur, un Dieu, un maître qui parle. Lorsque vous lui dites de se souvenir, il se souviendra. Lorsque vous lui dites d’être plus, il sera plus. Et lorsque, depuis le Seigneur Dieu de votre être, vous désirez posséder une compréhension illimitée, il ouvrira votre esprit pour permettre à des fréquences de pensée supérieures d’être ressenties par le corps, développant ainsi la connaissance.

Il n’y a besoin de rien faire d’autre.
Lui en donner l’ordre suffit, et les glandes endocrines obéissent. Et au moment où vous ressentez que votre être est comme électrifié dans un entendement supérieur, rendez grâce au Dieu en vous de ce que les choses soient aussi simples.

Comment peut-on parvenir à une plus grande compréhension de tout ce qui est ?

En sachant que vous y êtes parvenu. La manière dont vous pensez et dont vous parlez détermine ce que vous vous permettez de connaître. Ne dites pas : ” J’espère connaître davantage, ” car cela n’est pas ainsi que vous y parviendrez. Et ne dites pas : ” Je vais essayer de connaître davantage, ” car essayer n’accomplit rien. Et ne dites pas : ” Je cherche à connaître davantage, ” car si l’on cherche, on ne trouve jamais. Dites : ” Depuis le Seigneur Dieu de mon être, je connais tout ce qu’il y a à connaître en ce moment même. Qu’il en soit ainsi ” et attendez la réponse. Peu importe que vous sachiez ou non en ce moment-là ce que vous désirez connaître, le fait de dire ” Je connais ” ouvre la porte permettant à cette réalisation de se produire. Cela suffit, et la connaissance aura lieu.

En disant que vous ne savez pas ou en mettant en doute la connaissance qui vous est donnée, vous posez des limites à votre créativité et à votre vie. La pire abomination est contenue dans ces mots : ” Je ne sais pas. “ Rappelez-vous, vous êtes celui qui établit les lois, et ce que vous pensez et dites est loi. Si vous dites ” Je ne sais pas “, vous ne saurez pas. Si vous dites ” Je ne pourrai jamais “, vous ne pourrez jamais. Si vous dites ” Je ne mérite pas l’amour du Père “, vous ne le recevrez jamais. Si telle est votre manière de parler, telle doit être votre manière de penser. Et si telle est votre manière de penser, le sentiment de cette pensée est enregistré dans votre âme, et votre âme manifeste la réalité qui satisfait vos processus de pensée.

Vous êtes comparables à un ordinateur. Chaque jour, vous mettez en mémoire des doutes. Vous mettez en mémoire le manque. Vous mémorisez, en vérité, de ne pas connaître. Le voleur de votre royaume, c’est vous. Ne connaissant que le doute et la limitation, vous vous volez la force de vie, de par votre manière de penser et de parler.

Je vous le dis, vous avez l’aptitude à connaître tout ce qui est et qui sera à jamais. Dites simplement : ” Je sais ” et la porte de la connaissance s’ouvrira. La compréhension ne tardera pas à se produire. Cela prendra peut-être quelques moments ou quelques jours, mais elle surviendra. Cela est inéluctable, car le mot ” Connaître ou savoir ” est absolu, il rend votre désir absolu. La pensée de connaître, si vous la ressentez dans votre âme, se manifeste dans votre être en ouvrant votre glande pituitaire, vous permettant de capter des pensées plus élevées. Le fait de connaître est la porte qui permet au fleuve de la pensée de couler en vous sans entraves.

Connaître n’est pas croire. La croyance est conjecturale, la connaissance est, elle, absolue. En croyant à quelque chose, votre âme comprend en vérité que quelqu’un – et ce quelqu’un peut être vous vous assaille en sorte de vous convaincre d’une vérité dont vous n’êtes pas instruits ou dont vous n’avez pas la certitude car cette vérité n’est pas encore devenue une réalité dont vous ayez fait l’expérience. Je ne vous demande pas de croire en quoi que ce soit. Je veux que vous sachiez. Être illuminé signifie savoir, en dehors du doute, de la croyance, de la foi ou de l’espoir. Ceux-ci sont conjecturaux. Tant que vous croirez ou aurez foi en quelque chose, celle-ci ne sera pas. Le fait de savoir la rend absolue, et le connu est manifesté. La manifestation de la pensée réalisée dans une expérience amènera la compréhension. Alors, elle fait partie de votre être, elle n’est pas quelque chose dont il faille vous convaincre.

Savoir absolument est ce qui crée la totalité de votre royaume. Afin de devenir tout-connaissants, dites simplement : ” Je sais.” N’ayez ni doute ni hésitation. Sachez avec une absolue conviction. Chaque fois que vous dites “je sais “, vous émettez en votre être une pensée de certitude qui créera l’espace nécessaire à la manifestation de cette connaissance. Vous devenez un génie lorsque vous ouvrez la porte de la connaissance, permettant ainsi à des pensées plus élevées de se réaliser sous une forme créative.

Si vous dites résolument : ” Depuis le Seigneur-Dieu de mon être, je connais maintenant la réponse à cette question -j’y suis réceptif/réceptive. Qu’il en soit ainsi “, cette connaissance vous apportera les solutions recherchées. Bien que la réalisation puisse ne pas se manifester aussitôt, la porte est grande ouverte pour sa réalisation dans une expérience porteuse de sagesse. Votre être s’accordera sans délai à votre connaissance et ainsi le deviendra. Il est inutile de travailler pour un tel accomplissement. Il n’y a pas à chercher, à lutter ou à combattre. Il n’y a nullement besoin de chants et de rites pour l’obtenir. Simplement sachez. En sachant, vous êtes dans un état de réceptivité permettant la prise de conscience de cette possibilité d’accomplissement.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Nos facultés de conscience supérieure

 

images14Bientôt, alors que l’intelligence, la créativité et la connaissance s’intensifient en vous, vous commencez à connaître et à sentir des choses que vous n’aviez jamais auparavant connues ou ressenties. Regardant une autre entité, vous ressentirez cette entité en votre être. Vos pensées vous dévoileront votre avenir.

Croyez-vous que les facultés métapsychiques soient une rareté ? Si oui, vous raisonnez suivant les critères de la conscience sociale, et la conscience sociale ne considère pas ces facultés supérieures normales. Tout le monde possède ces facultés métapsychiques. Lorsque vous vous permettez de connaître, vous connaissez tout, car la connaissance – libérée des illusions de la conscience sociale ôte le voile de devant vos yeux et vous permet de voir d’autres dimensions. Elle désembourbe vos oreilles et vous permet d’entendre la musique de toute vie vibrant en harmonie avec elle-même. Comment cela peut-il bien se produire ? En le désirant.

Plus votre désir de l’illimité est puissant et plus vous embrassez et ressentez les pensées qui se présentent, plus la pituitaire secrète son hormone et plus large sa bouche devient-elle. Plus vous avez le désir d’aimer ce que vous êtes et de vivre dans la connaissance, plus le Dieu qui entoure votre être ouvre votre cerveau, toujours plus. Vous devenez alors plus que votre corps. Vous devenez ce qui vous maintient en vie.

La pituitaire est en vérité la porte qui mène à Dieu. Plus vous acceptez de pensées illimitées dans votre cerveau, plus elle s’ouvre. Plus elle s’ouvre, plus votre connaissance grandira. Et ce que vous saurez, vous le deviendrez. La fleur émet une fréquence de pensée. Au même moment, le tapis émet une fréquence de pensée. Dès lors que vous avez acquis l’aptitude de capter tout l’éventail des fréquences de pensée, vous êtes aptes à devenir à votre gré toute fréquence finie. Vous êtes alors absolument libre de devenir le vent ou quoi que ce soit d’autre que vous désiriez devenir.

Bientôt, l’intégralité de la pituitaire se trouve pleinement épanouie et le cerveau complètement activé. Alors, tout ce qui appartient au corps spirituel de la pituitaire est livré à l’esprit entier, et l’esprit ne peut plus jamais retourner à un état de limitation.

Une fois que la fleur commence à s’ouvrir, elle ne se referme jamais ; elle est ouverte pour l’éternité des temps.

Lorsque votre cerveau est pleinement activé, vous n’avez plus à vrai dire de point fixe dans la réalité. Vous pouvez vous trouver ici et en même temps au septième niveau ; vous pouvez être au septième niveau et en même temps dans les Pléiades ; vous pouvez être dans les Pléiades et en même temps aux côtés d’un ami.

Une fois votre pituitaire épanouie, vous ne mourez plus ; vous ne vieillissez plus. Le corps fera ce que vous lui direz de faire. Vous pouvez dire à votre corps d’accélérer sa fréquence vibratoire et il s’élèvera dans une autre dimension. Votre cerveau est à ce point puissant. Vous pouvez même ressusciter votre corps. Arrivés à ce niveau de pouvoir, vous portez la couronne divine de Dieu. Et ; étant pur Dieu, pure vie, vous êtes à jamais. Alors, vous êtes tout. Ceci est le ciel le plus sublime. Ainsi le septième sceau s’est couronné lui-même, et votre esprit est totalement éveillé, et le déploiement entier de la connaissance peut être capté par votre magnifique récepteur. Plus vous connaissez et plus votre corps fait l’expérience de cette fréquence, plus les vibrations de votre corps s’accélèrent jusqu’à devenir toujours plus léger. Alors, un jour, lorsque vous aurez aimé et embrassé toute vie – que l’âme en a fini avec les Expériences de ce monde cette même connaissance et cette même vibration s’accroîtront des millions de fois, rendant le corps invisible et détaché de ce lieu. Alors vous serez dégagés de la roue de la vie.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, 
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Les fréquences supérieures de l’Esprit

 

dieu1Lorsque des pensées de fréquence supérieures sont présentes, elles sont captées par la portion éveillée de votre cerveau. La glande pinéale, qui est située à l’arrière de votre tête, capte cette fréquence supérieure et se met à enfler, et vous pouvez ressentir des maux de tête, des vertiges ou une grande légèreté dans la tête. Cette fréquence est alors transformée en un courant électrique de haute tension et envoyée par le système nerveux central à chaque cellule de votre corps. Vous ressentirez comme une poussée à travers le corps, ou bien des fourmillements, ou une impression d’être physiquement allégé, car une énergie supérieure à celle que vous ressentez habituellement y circule alors. Cette fréquence enflamme chaque cellule, ce qui en élève la fréquence vibratoire. Plus vous captez des pensées illimitées, plus les vibrations du corps s’intensifient. Et votre corps commence à donner l’impression de luire parce que vous commencez à faire retourner le corps de la densité à la lumière.

Comment peut-on décrire le sentiment suscité par les pensées illimitées ? On ne le peut. La connaissance d’une pensée illimitée ne peut se traduire par aucun mot car c’est l’expérience d’une pensée nouvelle, une émotion nouvelle, un sentiment immense qui vous émeut d’une manière profonde mais en même temps très paisible. La connaissance vous vient comme pure sensation : émotion soudaine, non identifiée, sans nom.

La plupart de ceux qui sont à la recherche de l’illumination pensent qu’elle se produira sous forme de mots. Mais si l’objet de votre compréhension pouvait être décrite avec des mots, vous l’auriez sentie auparavant. Si cela est impossible, et que cela prenne la forme d’un sentiment simplement, ce que vous ressentez est du génie ; c’est de l’intelligence ; c’est en vérité de la pensée illimitée. Toutes les choses que vous avez cherché à comprendre n’ont pas de mots ; elles ont de l’émotion et de la vision. Et lorsque la connaissance surviendra, elle vous rendra muets d’émotion. Limiter la pensée est l’art d’y associer des mots. Un maître n’explique rien ; il sait, simplement. Pour expliquer, il devrait se limiter. Lorsque vous en arrivez au point où vous savez, simplement – sans besoin de justifier ou d’expliquer votre connaissance, vous êtes en vérité le maître de votre royaume. Alors, vous êtes dans la connaissance absolue. Qu’advient-il du sentiment d’allégement physique ressenti devant ces pensées de fréquence supérieures ? Il est préservé dans votre âme qui le maintiendra à jamais comme mémoire. Votre âme permet que la mémoire de pensées illimitées se produise par l’émotion, par le sentiment. Ainsi, ceci appartient à jamais à votre connaissance, et ce que vous vous êtes autorisé à capter peut être atteint à volonté.

Autre chose merveilleuse au sujet de ce sentiment d’allégement : votre âme, de par votre champ aurique, le transmet au flux de la conscience, ce qui non seulement allège la densité de la conscience mais attire dans votre vie une situation qui produira le même sentiment. Pour quelle raison ? Afin que cette pensée puisse être complètement comprise grâce à l’expérience. Lorsque la pensée à fréquence supérieure est intégralement comprise, elle est enregistrée dans votre âme comme sagesse. La sagesse est atteinte lorsque la connaissance a été solidifiée en vous, qu’elle est devenue absolue. Non seulement la sagesse élève le niveau de fréquence de l’âme ce qui fait que votre vie sera conforme à son être émotionnel supérieur mais elle active aussi la pituitaire afin de permettre au cerveau de capter et de raisonner des pensées de fréquence encore supérieures, et ainsi de suite. Lorsque la glande pituitaire commence à s’épanouir, votre vie change au-delà de toute attente. Toute pensée sera l’occasion d’une vive émotion.

Alors que la connaissance que vous ressentez en vous devient créatrice, vous commencez à voir vos pensées se manifester de plus en plus rapidement. Votre amour, votre compréhension, votre compassion sont accrus. Et certaines entités sortent de votre vie car vous avez atteint une compréhension d’un niveau différent. À leur place, d’autres, de pensée comparable, se trouveront attirés dans votre vie.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Ouvrir son esprit avec ramtha

 

dieu3Vous tous connaissez à fond Dieu dans la forme limitée de la matière. Au cours de vos innombrables vies sur ce plan, vous avez fait l’expérience de tous les éléments constituant ce paradis né de votre remarquable créativité. Cette expérience vous a permis de connaître toutes les valeurs de la pense limitée du Dieu-homme vivant dans la réalité de la conscience sociale grégaire. Vous avez appris ce que sont la peur et l’insécurité, le chagrin, la colère et l’avidité. Vous avez appris à connaître la jalousie, la haine, la guerre. Vous avez appris à connaître la mort. Vous avez en vérité appris à connaître ce qu’est l’aliénation de vous-même par rapport à votre Source divine qui vous a aimé et soutenu tout au long de vos aventures entreprises afin de faire l’expérience de Dieu à ce dernier niveau de son spectaculaire déploiement d’Être.

Afin de pouvoir faire retour à un état d’illimitation, de faire l’expérience de la joie et de la liberté d’être, il vous faut redevenir cela même qui assure votre cohésion. Et pour cela, il n’existe qu’une seule voie – puisque vous voici encombrés d’un corps celle qui consiste à éveiller entièrement votre septième sceau, la pituitaire, en sorte que votre cerveau puisse capter les pensées illimitées qui sommeillent juste en dessous de la conscience sociale. Ceci est la manière de développer votre connaissance jusqu’à la compréhension illimitée de Dieu, cela qui permet, cela qui aime et cela qui est la totalité de lui-même, qui est la totalité de la pensée. Comment faire en sorte que cette merveilleuse petite glande éveille les parties dormantes de votre cerveau grâce à son flux hormonal ? Par le désir, simplement. Devenir un Christ, c’est désirer connaître le Père et devenir à l’image de Dieu. C’est désirer permettre à toute pensée de devenir la réalité en soi. C’est désirer aimer à chaque instant tout ce que vous êtes devenu. C’est désirer être l’Être de tout ce que vous êtes.

Pourquoi est-il important d’aimer la totalité de ce que vous êtes ? Parce que vous transcendez alors immédiatement la conscience sociale. Cela vous élève au-dessus de l’acceptation. Vous transcendez le jugement. Vous dépassez l’illusion du temps. Vous vivez alors pour l’accomplissement du soi. Vous n’écoutez plus que la voix intérieure. Vous ne suivez plus que le sentier de la joie. Et ce chemin recèle la connaissance de tout ce qui est.

Quelle est la voie royale qui permette la manifestation d’un désir ? Le proclamer depuis le Seigneur de votre être. Le Seigneur de votre être, votre âme, gouverne votre corps grâce à sa structure émotionnelle. C’est l’âme qui commande à votre glande pituitaire de libérer ses hormones. Le Dieu de votre être est la lumière qui entoure tout ce que vous êtes et qui permet à toute pensée de pénétrer dans votre être. L’être est l’ego qui fait l’expérience des réalités de la matière dans la forme corporelle ; c’est cette dernière qui incite au jugement et altère l’Être ou la pureté de pensée – d’où le terme d’ego altéré. Donc, en parlant depuis le Seigneur Dieu de votre être, vous alignez la totalité de ce que vous êtes, ce qui vous donne le pouvoir suprême de manifester et de créer quoi que ce soit que vous vouliez manifester et créer.

Lorsque, par le Seigneur Dieu de votre être, vous désirez capter des pensées illimitées, la pensée de cet accomplissement ressentie en votre âme se manifeste dans votre corps en activant la glande pituitaire, qui commence à s’ouvrir. Alors que celle-ci s’ouvre, elle envoie un flux d’hormones plus grand à la glande pinéale, ce qui éveille l’esprit dormant. Une autre partie de votre cerveau se trouve ouverte, qui facilite l’expérience de fréquences de pensées plus affinées dans le corps tout entier.

Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “
traduit par Chantal Lafont
Chapitre 19 – Ouvrir son esprit
Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

Le Livre Blanc

                         
Le Livre Blanc de Ramtha est basé sur les « Ramtha Dialogues® », série d’enregistrements de conférences et d’enseignements donnés par Ramtha qui a choisi JZ Knight, Américaine comme son channel exclusif pour délivrer son message. 


Le Livre Blanc dans RAMTHA nous parle 9782895650393Cet ouvrage nous apporte un point de vue unique pour considérer le mystère de la vie. Il nous offre une ossature au sein de laquelle les questions restées jusqu’alors sans réponse par la philosophie, la science et la religion, trouvent un nouveau sens et une nouvelle base pour notre expérience personnelle. Ramtha nous y délivre sa vérité personnelle résultant de son expérience en tant qu’être humain. Au travers d’un système de pensée qui comporte, dans son approche de la réalité, les éléments et les mécanismes qui permettent à chacun-e de vérifier et de faire l’expérience directe de sa philosophie. 


Et maintenant que le chemin a été parcouru, les portes sont ouvertes à ceux qui désirent l’explorer et engager leur propre voyage 

 

Source : http://www.lavoiedesmaitres.com/crbst_1.html 

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